C’est sous le thème de «Musées, durabilité et bien-être» que le monde a célébré, cette année (18 mai), la Journée internationale des musées (JIM). Qu’il s’agisse de soutenir l’action en faveur du climat, de favoriser l’inclusivité, de lutter contre l’isolement social ou d’améliorer la santé mentale, les musées ont un rôle crucial à jouer dans la réalisation des 17 objectifs de développement durable de l’agenda 2030, insiste le Conseil international des musées (ICOM).
Booster les relations de sous-traitance entre les entreprises nationales industrielles, grandes entreprises, PMI et micro entreprises, renforcer le tissu industriel et substituer la production locale aux importations, tel est l’objectif assigné au Salon national inversé de la sous-traitance Sanist, dont la 6e édition devrait se tenir du 22 au 25 mai 2023, à l’initiative de la Chambre algérienne de commerce et d'industrie (Caci), en partenariat avec la Safex.
Déjà bien installée dans nombre de pays et fortement exacerbée par la guerre entre la Russie et l’Ukraine, la précarité énergétique est devenue ce grand problème planétaire auquel il faut remédier en urgence. S’avérera, par conséquent, irréversible la transition vers un monde plus résilient et de moins en moins dépendant des énergies fossiles.
De plus en plus accros au café, les Algériens le sont bel et bien. Si en Europe, la Finlande demeure le premier gros consommateur, l’Algérie est, elle aussi, en voie de trôner sur le marché africain de la consommation. Les données de l’Organisation internationale du café (OIC) le confirment.
Le coton, produit coté en Bourse, nous revient excessivement cher à l’importation. Nous exhortons les pouvoirs publics à penser à relancer la culture de cette matière.
Bien qu’il soit bien loin de refléter la réalité, le nombre des millionnaires algériens est enfin «connu» et c’est toujours de l’étranger qu’en est livré un aperçu.
Venir à bout des inégalités, démesurément aberrantes, entre riches et pauvres, face à l’impôt demeurent au cœur des priorités majeures mondiales. D’où la mobilisation, accrue ces derniers temps, d’ONG internationales militant pour la justice fiscale, dont, entre autres, Oxfam International, basée au Kenya et l’Icrict (Commission indépendante pour la réforme de la fiscalité internationale des entreprises) au Mexique.
Institué en vertu d’un arrêté interministériel datant du 16 février 2021, l’entrée en vigueur de l’obligation d’utilisation du code-barres devrait intervenir dans une dizaine de jours, soit à compter du 29 mars 2023. Qu’il soit importé ou fabriqué localement ou destiné à l’exportation, aucun produit ne sera exempté de cette obligation.
L’Algérie peine toujours, semble-t-il, à mettre sur rails son ambitieux programme de modernisation des systèmes d’information (SI) de l’ensemble des banques publiques, à savoir le Crédit populaire d’Algérie (CPA), la Banque nationale d’Algérie (BNA), la Caisse nationale d’épargne et de prévoyance (CNEP), la Banque extérieure d’Algérie (BEA), la Banque de l’agriculture et du développement rural (BADR) et la Banque de développement local (BDL).
Des petits pas, l’Algérie est passée aux grandes enjambées pour mener à bon port sa politique d’internationalisation de ses universités aux fins de les rendre plus attrayantes, d’améliorer leurs performances et les faire gagner davantage de points dans les classements mondiaux des établissements d’enseignement supérieur.
Jusqu’au milieu de l’année en cours, l’Algérie, avec des indices de criminalité et de sécurité, respectivement de l’ordre de 53,25 et 46,75, occupait la 46e place mondiale sur 142 pays étudiés.
Depuis le début de la saison estivale, des dizaines de personnes ont perdu la vie dans différents accidents de la route. Mais c’est surtout pendant le mois d’août que le pire bilan a été enregistré. En moins d’une semaine, soit du 14 au 20, près d’une soixantaine de personnes ont péri et 1898 autres ont été blessées dans des accidents survenus dans différentes wilayas du pays, d’après le tout dernier décompte dressé par la Protection civile. Jamais nos routes n’ont ainsi été en si féroce appétit pour les vies humaines.
Si elle a été accueillie avec un retentissant ouf de soulagement dans le milieu des professionnels du voyage, algériens et tunisiens, la réouverture, depuis vendredi 15 juillet, des frontières terrestres entre l’Algérie et la Tunisie, en application de la décision commune du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, et de son homologue tunisien, Kaïs Saïed, est, pour leurs «collègues» voyagistes clandestins, la pire nouvelle de l’été. En ce début de reprise du trafic terrestre, après deux longues années de fermeture due à la pandémie de Covid-19, vers et en provenance du voisin de l’Est, c’est toute la chaîne touristique souterraine qui est grandement affectée.
Considérant les prolongements des retombées au plan social et économique de la crise de la Covid-19 et la folie inédite qui s’est emparée des cours énergétiques, davantage exacerbée par la guerre russo-ukrainienne, la transition vers un monde de moins en moins dépendant de l’énergie fossile est devenue une priorité, voire une urgence mondiale absolue. Et l’éolien offshore est une des solutions pour y parvenir.
Founders Hub vise à «soutenir la croissance de près de 10 000 start-up africaines et à investir massivement dans le développement de l’écosystème des start-up en Afrique au cours des cinq prochaines années», précise sur son site la multinationale des TIC.
Après nombre d’ONG et institutions régionales, à leur tête l’Union africaine (UA) qui se dit vivement interpellée par la multiplication, ces derniers jours, des accusations, via les réseaux sociaux, de maltraitances et de comportements discriminatoires, xénophobes et racistes dont ont été victimes plusieurs centaines d’Africains, pour la plupart des étudiants, qui, fuyant la guerre en Ukraine, tentaient de quitter les zones touchées par le conflit, de franchir les frontières vers les pays voisins, la Roumanie et la Pologne, notamment, et de chercher une assistance vitale, c’est au tour de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) d’exprimer sa préoccupation à l’égard de cette violation caractérisée du droit international.
Si leurs pairs intervenant dans le négoce de blés sont dans la tourmente, la crise entre Moscou et Kiev ayant faussé tous leurs calculs en raison des lourdes contraintes logistiques, les compagnies de fret maritime désormais de moins en moins favorables à de nouveaux engagements pour les expéditions céréalières depuis les ports de la mer Noire à destination de nombre de marchés et de pays dont, en particulier, l’Algérie qui s’est tournée vers cette zone après l’interruption des achats en France, les négociants et traders spécialisés dans les fertilisants, l’ammoniac, surtout, commencent, quant à eux, à s’agiter et à se frotter les mains.
N’obéissant à aucune règle de frontières, la Covid-19 s’est propagée dans pratiquement tous les pays du monde, plongeant de plus en plus de personnes, les enfants en particulier, dans l’insécurité alimentaire et la malnutrition chronique.
Tel un «serpent de mer» à la peau dure, la transition vers un marché céréalier plus diversifié semble être laborieuse pour l’Algérie, ce gros client que tout le monde cherche à séduire.
Enfin une bonne nouvelle pour commencer 2022 : après ceux d’Alger, d’Oran et de Constantine, le pôle universitaire de la ville d’Annaba s’apprête à accueillir une nouvelle Ecole d’ingénieurs. Il s’agit de l’Ecole nationale polytechnique appelée à accueillir des bacheliers dès la prochaine rentrée universitaire.