L’Algérie vient enfin de s’offrir l’un des trophées les plus convoités mondialement, à savoir Les Stevie Awards, programme de récompenses reconnaissant les professionnels des ressources humaines et les meilleurs employeurs au monde.
Avec en moyenne plus de 8 milliards de mètres cubes de gaz torchés chaque année, l’Algérie occupe le quatrième rang mondial en matière de volumes de gaz brûlé sur les sites de production pétrolière.
Comme si les carnages perpétrés contre les populations civiles de Ghaza ne lui suffisaient pas, l’armée sioniste est déterminée à laisser l’enclave exsangue de son patrimoine archéologique et historique. Depuis le début de cette guerre barbare, plusieurs monuments et sites culturels ont été ciblés par les bombardements aveugles, suscitant l’inquiétude de nombre d’organisations internationales des droits de l’homme mais aussi et surtout celles œuvrant pour la protection du patrimoine mondial.
D’après nombre de plateformes spécialisées dans l’aéronautique, comme le FlightAware, citées par la presse internationale, pas moins de 1000 vols ont déjà été annulés après que plusieurs compagnies aient décidé de clouer au sol des dizaines de Max 9 en exploitation.
Seulement 2% des recherches mondiales sur les nouvelles infections sont conduites en Afrique alors que le continent a, à son sinistre actif, plus du quart de la morbidité globale mondiale. Moins de 10 universités proposent des cours de vaccinologie et seules deux universités mènent des études précliniques liées aux vaccins.
«La situation à Ghaza est soumise à la loi vae victis (malheur aux vaincus). Fort malheureusement, la loi du plus fort continue de prévaloir. La justice pénale internationale n’est qu’un mécanisme partiel dans un système de droit international, fondamentalement inégalitaire, globalement et dans le détail. Elle n’est que la consécration de la force militaire et de la force tout court», soutient Me Nasr-Eddine Lezzar.
Presque la moitié (46%) des Africains déclare que «la plupart» ou «tous» les fonctionnaires de police sont corrompus, la pire appréciation des 11 institutions et leaders sur lesquels portait l’enquête.
Avec moins de 1% des plus de 2200 milliards de dollars émis en 2022, les gouvernements, entreprises, les banques ou les collectivités, toujours aussi sceptiques lorsqu’il s’agit de financements de projets climatiques et environnementaux, hésitent encore à s’engager activement sur le marché des obligations vertes.
Début octobre dernier, notre rédaction, s’appuyant sur les affirmations d’experts agricoles, indiquait que le marché irlandais pouvait être une option pour diversifier les sources d’approvisionnement en viandes bovines mais aussi et surtout parer à la difficulté de satisfaire les besoins nationaux, et parvenir à en baisser les prix, sans cesse croissants, et ce, suite, notamment, au déficit provoqué par l’interdiction, depuis le 25 septembre des importations de bovins en provenance du traditionnel principal fournisseur sur le marché international, la France, confrontée, à l’instar d’autres pays européens, à la maladie hémorragique épizootique (MHE), une pathologie virale, considérée par l’Organisation mondiale de la santé animale (OMSA) comme «potentiellement mortelle pour le bétail».
Fraîchement sacré champion d’Afrique, le frestyler algérien Ali Yahia devrait représenter le continent au prestigieux Championnat du monde de football freestyle qui se tiendra le 25 novembre à Nairobi (Kenya), est-il annoncé dans un communiqué transmis à notre rédaction par un groupe de presse panafricain.
Activement mobilisées, aussi bien au niveau national qu’international, les plus hautes autorités du pays semblent être résolument décidées à relever les défis qu’elles s’étaient fixés dans le cadre de la stratégie nationale de lutte contre la corruption. En témoigne la multiplication des initiatives tendant à aligner l’arsenal juridique et les règles de pratique et les dispositifs techniques sur les standards internationaux.
Aux dernières statistiques de l’Association internationale du transport aérien (IATA), lorsque la proportion mondiale d’accidents avec perte de cellule est d’un pour 5 millions de vols, en Afrique, cette proportion est d’un accident pour 270 000 vols.
Des petits pas, la région MENA (Moyen-Orient et Afrique du Nord) est passée aux grandes enjambées dans sa mutation numérique. De 9,1 GB (gigabyte) en 2021, le trafic data mensuel moyen par smartphone devrait se hisser à 41 GB d’ici 2027. Ce qui témoigne de la tendance exponentielle suivant laquelle évoluent les besoins exprimés en connectivité à haut débit à l’échelle de ces vastes ensembles régionaux.
Corruption, Flux financiers illicites (FFI) et évasion fiscale, trois virus devenus, depuis ces dernières années, dangereusement endémiques en Afrique, requièrent une mobilisation collective et des efforts plus concrets pour trouver les meilleurs antidotes à même de les neutraliser.
Depuis 2019, le volume de signalements de matériels d’abus sexuels sur enfants a augmenté de 87%, portant les cas signalés à 32 millions dans le monde, fait ressortir, dans son édition 2023, le rapport de We Protect Global Alliance, un mouvement international dédié à l'action nationale et mondiale et visant à mettre fin à l'exploitation sexuelle des enfants.
Les actions incitatives se multiplient tous azimuts pour faire en sorte que le marché mondial du pétrole, fortement fragmenté et devenu de plus en plus incertain – après plusieurs mois de conflit armé russo-ukrainien et les profonds bouleversements structurels majeurs intervenus –, puisse s’adapter à ces changements géopolitiques.
Après l’Egypte, l’Algérie est le plus grand importateur d’Afrique du Nord de bovins destinés à l’abattage et à la production laitière. En effet, chaque année, plus de 100 000 têtes, en moyenne, sont importées, dont des reproducteurs, des bovins d’engraissement et d’autres de boucherie.
A en croire les experts de la China Afritive, institut de recherche de l’université américaine Johns Hopkins, les entreprises chinoises présentes en Algérie engrangent quelque 7,5 milliards de dollars au titre de revenus bruts issus de leurs diverses activités.
Les effectifs de la flotte marchande mondiale qui, au début 2021, étaient de l’ordre de 74 504, devraient bondir de plus de 6% au cours des cinq prochaines années, pour atteindre 79 282 navires à la fin 2025, pronostique Baltic and International Maritime Council (Bimco).
Le professeur Laurent Chalard, qui est consultant et membre de European Center for International Affairs (ECAI), l’un des think tanks les plus influents à Bruxelles, analyse les résultats du dernier sommet des BRICS qui s’est tenu à Johannesburg. En Afrique du Sud, les cinq membres fondateurs des BRICS ont, rappelle-t-on, commencé par s’entendre sur le principe d’une ouverture de l’association, puis ils ont défini les processus d’admission. Depuis quelques mois, la Chine affirmait clairement son intérêt pour cet élargissement. Dans un discours à l’ouverture du sommet, le 23 août, le président Xi Jinping déclarait : «Les BRICS doivent œuvrer en faveur du multilatéralisme et ne pas créer de petits blocs. Nous devons intégrer davantage de pays dans la famille des BRICS.»