Selon le ministère libanais de la Santé, le bilan des pertes humaines enregistrées entre le 23 septembre et le 11 octobre s’élève à 2255 morts et 10 524 blessés au Liban.
La directrice générale de l’Unicef, Catherine Russell, a déploré hier, dans un communiqué, la détresse des enfants en Palestine et au Liban.
Alors que l’armée israélienne continue à bombarder massivement le Liban, tout particulièrement les localités du Sud ainsi que le fief du Hezbollah à Beyrouth, le mouvement de résistance libanais riposte en tirant des salves de roquettes vers Israël et en repoussant les troupes sionistes au sol.
Bien qu’elle soit une destination touristique par excellence, la localité montagneuse de Chréa est mal pourvue en réseau de la téléphonie mobile.
Plusieurs personnes ont été tuées hier et d’autres ont été blessées dans de nouveaux raids meurtriers de l’armée israélienne à Ghaza. Au camp de réfugiés d'Al Nuseirat, un bombardement aérien qui a ciblé une habitation a fait dix morts dont des enfants, et plus de 15 blessés, rapporte l’agence Wafa. Un chiffre confirmé par l’AFP.
Après plus de 11 mois d’une guerre atroce l’opposant à l’armée israélienne dans la bande de Ghaza, le mouvement de résistance palestinien Hamas s’est dit prêt à une «longue guerre d’usure» dans sa lutte contre l’occupant sioniste.
D’après une nouvelle enquête menée par Amnesty International accablant une fois de plus l’Etat hébreu, l’ONG a établi que l’armée israélienne a mené une vaste campagne militaire «pour étendre largement une “zone tampon” le long du périmètre est de la bande de Ghaza occupée».
La rapporteure spéciale de l'ONU pour les Territoires palestiniens, Francesca Albanese, estime qu’on risque de voir le même scénario qui se déroule depuis 11 mois à Ghaza se répéter en Cisjordanie occupée.
En assistant impuissants à la dégradation de leur cité, pourtant de type promotionnel, les habitants des 1108 logements, relevant d’une promotion immobilière privée et appelée communément Résidence Chréa, ne cessent de lancer des SOS aux autorités locales pour l’amélioration du cadre de vie et de l’aspect sécuritaire.
L’armée israélienne poursuit sa campagne de destruction massive à Ghaza pour le 11e mois consécutif. Selon l’agence Wafa, des dizaines de morts et de blessés ont été enregistrés hier dans divers secteurs de la bande de Ghaza, notamment dans la capitale de l’enclave, au 332e jour de la guerre d’agression israélienne. Selon Al jazeera, ces attaques ont fait 23 morts en tout, et il ne s’agit que d’un décompte provisoire.
La secrétaire générale adjointe aux Affaires humanitaires et coordonnatrice des secours d’urgence par intérim au sein de l’ONU, Mme Joyce Cleopa Msuya Mpanju, a eu des mots très forts ce jeudi, au cours d’une réunion du Conseil de sécurité consacrée à la situation humanitaire à Ghaza. Mme Msuya a qualifié la situation à Ghaza d’«extrêmement désespérée».
Le chef du Hamas à l’étranger, Khaled Mechaâl, a appelé à la reprise des «opérations suicides» en représailles à l’acharnement des forces d’occupation israéliennes contre les Palestiniens à Ghaza et en Cisjordanie, ont annoncé plusieurs médias internationaux.
Faute de cessez-le-feu, les habitants de la bande de Ghaza continuent de subir un véritable déluge de feu au milieu d’une détérioration épouvantable de leurs conditions de vie.
Parmi les victimes enregistrées ces dernières 48 heures à Ghaza, ce jeune reporter palestinien, Ibrahim Moharib. Ibrahim avait seulement 26 ans. Il exerçait comme freelance. Il est tombé dimanche soir sous les balles de l’occupant sioniste près de la localité de Hamad, au nord de la ville de Khan Younès, selon le Syndicat des journalistes palestiniens.
Après plusieurs années de clochardisation sans précédent de la ville des Oranges, Boufarik semble, enfin, retrouver son organisation d’antan. «On espère que cela ne sera pas provisoire», insistent des citoyens.
A la cité Si Rabah de Oued El Alleug, à la base une ferme agricole, ils sont plusieurs habitants qui ont les robinets à sec... depuis 5 ans ! La cause : un problème technique dans les conduites. «Certes, notre cité est alimentée en eau potable. Mais certaines familles restent privées de cette denrée puisque le problème se pose dans la canalisation», explique-t-on.
Avant-hier matin, ils étaient une dizaine de commerçants à avoir organisé un sit-in devant le siège de l’APC de Boufarik pour «faire valoir leurs droits». Les protestataires estiment que leur délocalisation vers un nouveau marché couvert à Boufarik leur a provoqué une situation de «banqueroute», à cause de son éloignement.
Je ne veux plus entendre parler de ces marchés informels, nous avons construit un marché couvert pour combattre l’informel et la clochardisation de la ville», a insisté, sur un ton ferme, le wali de Blida lors de sa dernière visite à Boufarik il y a plus d’un mois.
Samedi à Beni Tamou, des représentants du haut conseil de la jeunesse ainsi que le médiateur de la République de la wilaya de Blida se sont donné rendez-vous au centre culturel pour écouter les doléances des citoyens. Parmi les problèmes soulevés, on note notamment le blocage de l’APC depuis plusieurs mois.
Alors que 830 000 Palestiniens ont fui Rafah en deux semaines, selon l’UNRWA, l’armée israélienne maintient la fermeture du poste frontalier de Rafah et celui de Karam Abu Salem, et ce, pour le quatorzième jour consécutif. Ce blocus aggrave la situation humanitaire à Ghaza. «Les forces d’occupation ont empêché l’entrée de plus de 3000 camions chargés d’aide humanitaire dans la bande de Ghaza et le déplacement d’environ 700 malades et de blessés pour se faire soigner hors de l’enclave assiégée», alerte l’agence Wafa.