L’état lamentable du réseau routier de la ville de Sétif n’est plus «l’exclusivité» de la périphérie, des chemins secondaires et des itinéraires «non fréquentés par le chef».
La citation «Tel est pris qui croyait prendre» sied parfaitement à Redha Djaïdi, le coach espérantiste ayant joué et bouclé le quart de finale de Ligue des champions pendant la conférence de presse d’avant-match où il a manqué de respect à l’ESS et à son coach invité à «passer une nuit blanche avant de croiser le fer avec l’Espérance à Radès».
L ’absence d’un directeur de l’éducation (DE) de la deuxième wilaya du pays en nombre d’habitants et d’élèves scolarisés «plonge» un secteur aussi stratégique dans une anarchie indescriptible.
Les sétifiens sont arrivés hier à Tunis, avec l’obligation de réussir un bon coup à Carthage. Le changement de coach a, le moins que l’on puisse dire, ravivé la flamme des partenaires de Djabou, retrouvant soudainement la joie de travailler, de s’en donner à cœur joie, et d’être ensemble.
Tenaces et téméraires à la fois, d’anciens habitants de Diar Enakhla à Sétif ne lâchent pas prise. Faisant fi de la fin de non-recevoir des uns et des dérobades des autres, les anciens propriétaires devenus soudainement des locataires, ne baissent pas pour autant les bras. Ils se battent pour recouvrer leurs droits.
Reléguée au dernier plan par les gestionnaires de la ville et de la wilaya de Sétif, la culture essaye, en ces jours du mois de ramadhan, de renaître de ses cendres. Héritant d’un véritable cadeau empoisonné, la nouvelle équipe communale, marchant, le moins que l’on puisse dire, sur un champ miné, essaye tant bien que mal de redorer le blason d’un secteur naufragé.
L’ambiance au lycée Salah Benalioui de la capitale des Hauts-Plateaux n’est pas au beau fixe. La relation entre le directeur de l’établissement et des parents d’élèves d’une part, le chef de l’établissement et de certains enseignants, de l’autre, en est la cause.
Evoluant avec du plomb dans les jambes, les Sétifiens n’ont pas été capables de bousculer les Tunisois plus entreprenants et moins adroits devant les buts.
Ce succès booste le capital confiance, attenue la pression, permet aux Ententistes de préparer le big match face à l’EST dans de bonnes dispositions psychologiques.
Inscrite depuis presque dix ans, la méga-zone industrielle d’Ouled Saber, commune située à 10 km à l’est de Sétif ne voit pas encore le bout du tunnel.
Les temps sont durs pour les malades chroniques à Sétif où bon nombre de médicaments sont en rupture. Les plus affectés sont les malades atteints d’une pathologie cardiaque et l’HTA (Hypertension artérielle).
Après une perte de temps et de points, Serrar – le président d’un fantomatique conseil d’administration d’une invisible SSPA, trouve un remplaçant à Nabil Kouki. N’ayant pu s’attacher les services du Français Hubert Velud, le premier responsable du naufrage jette son dévolu sur le Serbe Darko Novic.
Le remplaçant de Nabil Kouki devrait commencer sa mission par le big match des quarts de finale de la Ligue des champions face à l’ES Tuni
Peut-on gérer un grand club bardé de titres avec la folie des grandeurs? Peut-on commander une équipe qualifiée pour les quarts de finale de la Ligue des champions d’Afrique placée sous un gigantesque zoom avec uniquement de la parlotte ?
La maxime «nul n’est prophète en son pays» sied parfaitement à Abdallah Megradi dit «Hacen», un monument du judo national. Formateur de plusieurs générations de judokates et judokas de Sétif, Hacen continue, après plus de 54 ans d’activité, à servir sa discipline en particulier et le sport en général. Mu par l’amour du tatami, le judoka qui vient de souffler sa 70e bougie n’est pas disposé à ranger son kimono.
Les concernés sollicitent l’intervention du wali et du ministre des Transports pour le gel de délivrance de nouveaux agréments dans une région saturée en lignes de contrôle.
Depuis le début de saison, l’Entente met les nerfs de ses supporters à rude épreuve. Sous la houlette de Nabil Kouki puis de Rédha Bendris, les Noir et Blanc, en plein doute, collectionnent les sorties en dents de scie.
Parti au Maroc sans dirigeant puisque Serrar (exempt) depuis la nuit des temps, Lafi se ravise en dernière minute et Halfaya en «stand by» depuis le fameux Amazulu-ESS, fatidique pour Nabil Kouki, le onze sétifien n’ayant pas encore consommé son pain noir croisera le fer ce soir avec le RAJA de Casablanca version Rachid Taoussi ayant drivé l’ESS en 2018.
Pour parer au plus pressé, Serrar le président du conseil d’administration de l’ES Sétif n’ayant pas réussi à faire de Rédha Bendris un deuxième Madoui devait impérativement trouver un remplaçant à Nabil Kouki.
Le onze sétifien a abandonné le gain du match et a de nouveau montré ses limites dans les rendez-vous ordinaires. Une vingtaine de minutes ont donc suffi pour comprendre que l’ES Sétif, version «intérim et bricolage» pouvait facilement sombrer, perdre pied et ses dernières illusions. Inscrits aux abonnés absents, les Noir et Blanc n’ont pas fait le poids face à un adversaire réaliste et bien préparé.