Ces derniers jours, des négociateurs ont fait état d’avancées dans les pourparlers visant à sauver l’accord nucléaire conclu en 2015 à Vienne.
Un accord entre l’émir Abdur Rahman Khan et sir Mortimer Durand a tracé, le 12 novembre 1893, la «ligne Durand» qui sépare l’Afghanistan de l’empire britannique. Ligne qui constitue une source de contentieux entre le Pakistan et l’Afghanistan.
Un peu plus tôt dans la journée, le président russe, Vladimir Poutine, a mis l’accent sur le caractère «non négociable» des intérêts et de la sécurité de son pays, tout en se disant disposé à trouver des «solutions diplomatiques» dans la crise avec l’Ukraine.
La tension monte entre la Russie et les pays occidentaux sur l’Ukraine : outre les condamnations, ces derniers ont annoncé hier les premières sanctions contre Moscou suite à la reconnaissance, la veille, par le Kremlin des deux provinces indépendantistes de l’est de l’Ukraine.
Le 13 novembre 2013, l’Ukraine refuse de signer l’accord d’association avec l’Union européenne (UE). De son côté, la Russie propose à Kiev une assistance financière de 15 milliards de dollars et la réduction du prix du gaz pour l’intégrer dans sa sphère d’influence.
Le Kremlin a jugé hier «prématuré» un sommet entre le président russe, Vladimir Poutine, et son homologue américain, Joe Biden. «Parler de plans concrets d’organisation de sommets est prématuré», a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, selon l’AFP.
La Conférence annuelle de Munich (sud de l’Allemagne) sur la sécurité a débuté hier. Cette conférence, qui s’étend jusqu’à demain, sera dominée par la crise russo-occidentale sur l’Ukraine. Outre l’Ukraine, seront abordées la situation sécuritaire au Sahel et la relance de l’accord nucléaire iranien de 2015.
Pour trouver une solution diplomatique à la crise russo-occidentale sur l’Ukraine, le chancelier allemand, Olaf Scholz, a effectué hier une visite à Moscou, où il s’est entretenu avec le maître du Kremlin, Vladimir Poutine.
Le président tunisien, Kaïs Saïed, a remplacé, hier, le Conseil supérieur de la magistrature (CSM), qu’il a dissous il y a une semaine, par un autre organe «temporaire», rapporte l’AFP.
Mouvements de troupes et contacts diplomatiques. Une situation de ni guerre ni paix. C’est ce qui marque jusque-là l’évolution de la crise russo-occidentale sur l’Ukraine.
En mars 2021, le chef de la diplomatie américaine a qualifié la Chine de «plus grand défi géopolitique du XXIe siècle».
Après avoir dissous, dimanche dernier, le Conseil supérieur de la magistrature (CSM), le président tunisien, Kaïs Saïed, fait face aux pressions croissantes des juges et des Occidentaux.
Le ballet diplomatique européen se poursuit dans l’espoir d’atténuer la tension entre la Russie et l’Occident sur la crise ukrainienne.
Le sommet annuel de l’Union africaine (UA) s’est ouvert hier dans la capitale éthiopienne Addis-Abeba avec un appel du Premier ministre palestinien, Mohammed Shtayyeh, à retirer l’accréditation accordée à Israël, rapporte l’AFP.
Soutien de la Chine à la Russie au moment où Moscou est engagé dans un bras de fer avec l’Occident sur l’Ukraine. C’est ce qui ressort de la déclaration russo-chinoise «sur l’entrée des relations internationales dans une nouvelle ère» publiée, hier, à l’occasion de la rencontre du président russe, Vladimir Poutine, avec son homologue chinois, Xi Jinping, à Pékin, juste avant l’ouverture des Jeux olympiques d’hiver à Pékin, citée par l’AFP.
A l’appel à la grève silencieuse des opposants au régime de la junte birmane, les rues de plusieurs villes de Birmanie sont restées vides hier, et les habitants, retranchés dans leur domicile, rapporte l’AFP.
Nouvelle escalade dans la tension entre Bamako et Paris. Les autorités maliennes ont décidé d’expulser l’ambassadeur de France, a annoncé hier la télévision d’Etat, relayée par l’AFP. «Le gouvernement de la République du Mali informe l’opinion nationale et internationale que ce jour (...) l’ambassadeur de France à Bamako, son excellence Joël Meyer, a été convoqué par le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale (et) qu’il lui a été notifié la décision du gouvernement qui l’invite à quitter le territoire national dans un délai de 72 heures», a indiqué un communiqué lu par la télévision d’Etat.
Sous les tirs de grenades lacrymogènes, des milliers de Soudanais ont convergé une nouvelle fois hier vers le palais présidentiel de Khartoum pour dénoncer le putsch d’octobre et réclamer justice et démocratie, rapporte l’AFP.
Menaces de sanctions occidentales et manœuvres militaires russes en Crimée et près de l’Ukraine. La crise entre la Russie et l’Occident sur l’ex-République soviétique ne cesse de s’accroître.
La veille, des soldats se sont mutinés dans plusieurs casernes du pays pour réclamer le départ des chefs de l’armée et des «moyens adaptés» à la lutte contre les djihadistes qui frappent ce pays depuis 2015. Ils n’ont pas, en revanche, exigé le départ du Président.