Après plus de 20 ans à la tête du pays, le président sortant Recep Tayyip Erdogan a remporté la présidentielle dimanche au terme du second tour avec 52,14 % des voix contre 47,86 % pour son opposant Kemal Kiliçdaroglu, selon la commission électorale. Il succède à lui-même pour un nouveau mandat de cinq ans.
La Turquie s’apprête à un second tour aujourd’hui pour élire son Président. Il oppose le chef de l’Etat sortant, Recep Tayyip Erdogan, qui est arrivé en tête du premier tour de l’élection présidentielle le 14 mai, et Kemal Kiliçdaroglu. Erdogan a obtenu 49,5% des voix et son adversaire 44,9%, soit 2,5 millions de voix d’écart entre les deux. L’ultranationaliste Sinan Ogan est arrivé en troisième position avec 5,2% des voix.
La Papouasie-Nouvelle Guinée a signé, hier, un pacte de sécurité avec Washington, qui donne aux forces américaines l’accès aux ports et aéroports de ce pays du Pacifique, où les Etats-Unis cherchent à contrer l’influence de la Chine, rapporte l’AFP. «Nous passons d’une relation générique... à une relation spécifique avec les Etats-Unis.
Quelque 64 millions d’électeurs étaient attendus hier aux urnes pour choisir leur futur Président et renouveler le Parlement. Un ballotage obligerait à un second tour le 28 mai. Le Président ne peut théoriquement siéger que pour deux mandats de cinq ans.
Le président syrien Bachar Al-Assad a été invité hier par l’Arabie Saoudite au prochain sommet arabe, prévu le 19 mai dans le royaume, rapporte l’AFP.
Les pourparlers en Arabie saoudite entre les généraux soudanais en guerre n’ont pas débouché sur des «progrès majeurs» pour l’instant, a affirmé hier un diplomate saoudien, selon des propos recueillis par l’AFP.
Les ministres arabes des Affaires étrangères ont décidé hier au Caire de réintégrer la Syrie à la Ligue arabe après l’avoir écartée en 2011 pour la répression d’un soulèvement populaire ayant dégénéré en guerre sanglante, rapporte l’AFP.
Des discussions entre des représentants des deux belligérants au Soudan étaient prévues hier en Arabie Saoudite, ont confirmé dans un communiqué conjoint Riyad et Washington, rapporte l’AFP. Rencontre qui a pour objectif d’examiner la possibilité d’une trêve au conflit qui les oppose.
La Corée du Nord a fustigé hier l’accord conclu entre la Corée du Sud et les Etats-Unis pour renforcer la dissuasion nucléaire, affirmant qu’il ne peut conduire qu’à «un plus grave danger».
L’opposition républicaine, qui domine une des deux Chambres du Congrès, a promis de ne pas faire de «chèque en blanc» à Kiev. En outre, sa campagne pourrait être ébranlée par les attaques contre son fils Hunter, dont d’anciennes relations d’affaires risquent de resurgir.
Les deux dirigeants signeront plusieurs documents, notamment sur la coopération économique russo-chinoise à l’horizon 2030.
Le président chinois, Xi Jinping, se rendra à Moscou la semaine prochaine pour y rencontrer son homologue russe, Vladimir Poutine. Pékin, qui a renforcé ses liens avec Moscou ces dernières années dans une opposition commune à l’Occident, se présente comme partie neutre dans le conflit en Ukraine.
Le Premier ministre israélien, Yaïr Lapid, était attendu hier à Berlin, nouvelle étape de son offensive pour tenter de convaincre les puissances occidentales de ne pas renouveler l’accord sur le programme nucléaire de l’Iran, rapporte l’AFP.
Berlin, Paris et Londres ont exprimé hier leurs «sérieux doutes» sur «l’engagement» de Téhéran à parvenir à un «résultat positif» dans les négociations en cours pour sauver l’accord de 2015 sur le nucléaire iranien, rapporte l’AFP, citant les trois chancelleries. «Début août, après un an et demi de négociations, le coordinateur» de l'accord «a présenté un ensemble de textes finaux devant permettre à l’Iran de remplir à nouveau ses obligations au titre du pacte» et «aux États-Unis de revenir à l’accord», ont rappelé les gouvernements des trois pays dans un communiqué commun.
L’Iran entend boucler des dossiers dans ses négociations avec les grandes puissances pour rétablir l’accord sur le nucléaire de 2015, torpillé trois ans plus tard par l’ancien président américain, Donald Trump.
L’Algérie a appelé hier en recevant l’émissaire de l’Onu, Staffan de Mistura, pour le Sahara occidental à des «négociations directes» entre le Maroc et le Front Polisario, pour parvenir à un règlement du conflit, rapporte l’APS citant la diplomatie algérienne.
Quelque 15 millions de Chiliens ont été appelés hier aux urnes pour approuver ou rejeter le nouveau texte qui doit remplacer la Constitution actuelle rédigée sous la dictature de Augusto Pinochet (1973-1990).
Dans le cadre de sa deuxième tournée dans la région, l’émissaire de l’ONU pour le Sahara occidental, Staffan de Mistura, a rencontré hier des représentants du Front Polisario à Tindouf (Algérie), rapporte l’AFP citant des sources sahraouies.
Gorbatchev finit par éprouver de la désillusion quand, déstabilisé par la crise économique, il se rend auprès des dirigeants occidentaux réunis à Londres du 15 au 17 juillet 1991 (G7) et sollicite le soutien financier, mais n’obtient aucun engagement concret.
Relancer l’accord sur le nucléaire n’aurait «pas de sens» sans la clôture de l’enquête de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) sur les sites non déclarés de l’Iran.