Le manque de pluviométrie suscite moult inquiétudes chez les agriculteurs de la wilaya de Boumerdès. Les effets de la sécheresse se font sentir même au niveau des périmètres irrigués.
La maison de jeunes du village Ath Mendès, dans la commune de Boghni, au sud de Tizi Ouzou, a organisé du 4 au 6 mai derniers la première édition du jeune randonneur.
Après cinq ans de blocage et maintes réévaluations du marché, le projet d’évitement de la ville de Boumerdès commence enfin à voir le bout du tunnel.
Le secteur de l’habitat de la wilaya de Bouira a connu ces derniers mois une relance de la distribution de logements sociaux. En effet, la liste préliminaire des 562 bénéficiaires du chef-lieu de wilaya a été rendue publique mercredi denier.
Tout a été prévu et réalisé au pôle Imlel à Azazga sauf le château d’eau et la conduite devant l’alimenter.
Les branchements illicites sur les réseaux d’alimentation en eau potable (AEP), opérés notamment dans les localités rurales, sont de plus en plus répandus.
Le niveau du barrage Tichy Haf, érigé en travers d’Oued Boussellam dans la commune de Bouhamza, n’a jamais été aussi bas depuis sa mise en service voilà près de 18 ans.
La population locale s’inquiète quant à l’approvisionnement en eau potable cet été, suite aux faibles précipitations qui ont marqué ces trois derniers mois.
Des centaines d’hectares de céréales sont asséchés sur les quatre coins de la wilaya de Bouira à cause de la très faible pluviométrie enregistrée durant au moins les trois derniers mois de l’année en cours.
Une enveloppe de près de 300 millions de dinars a été mobilisée pour ce programme visant le renforcement des capacités de distribution de l’eau potable.
Les créances de l’Algérienne des eaux (ADE) de la wilaya de Bouira auprès de ses 152 856 clients s’élèvent à 68 milliards de centimes, a-t-on appris auprès de l’entreprise qui traverse une grave crise financière. Les choses risquent d’empirer.
La réhabilitation et l’entretien du réseau routier se pose avec acuité dans la wilaya de Bouira. Pourtant, des structures, à l’image des maisons cantonnières dotées de matériel roulant et d’un personnel spécialisé dans la réfection des routes, ont été réalisées ces dernières années.
La violence augmente d’année en année au sein des établissements scolaires de la wilaya de Boumerdès. Si par le passé ce sont les élèves qui en pâtissaient le plus, aujourd’hui la tendance semble se renverser, touchant en premier lieu les enseignants.
Des fuites fréquentes sont enregistrées à travers cette commune qui ne dispose pas de moyens adéquats pour engager des réparations.
Selon un bilan de la Protection civile, 112 accidents de la circulation ont eu lieu entre le 1er janvier et le 31 mars de l’année en cours.
A l’approche de la saison estivale, les choses semblent évoluer dans le bon sens quant au dossier de l’Epic de wilaya.
C’est l’histoire d’une section autoroutière aux surnoms effrayants. On l’appelle «La route de la mort» ou «La pente de la mort».
Dix-sept personnes ont été blessées dans un carambolage entre 4 véhicules (2 camions et 2 bus), survenu vers 1 heure du matin d’aujourd’hui, au niveau du tunnel d’Ain Chriki du tronçon de l’autoroute Est-ouest traversant la commune de Djebahia, à l’ouest de Bouira.
La localité souffre d’un manque en assiettes foncières pour l’implantation d’activités économiques et autres équipements publics.
La commission de wilaya des aires protégées s’est réunie, le 18 avril, au siège de la wilaya de Béjaïa pour examiner le dossier de classement de la forêt d’Akfadou comme Parc nation.