La question de l’eau est davantage posée en Méditerranée. Tous les avis convergent sur son urgence, mais les solutions significatives sont encore largement à explorer.
Le Dénombrement international des oiseaux d’eau (DIOE) est une opération qui se répète chaque année durant des périodes bien précises. Les dates varient légèrement d’une région à l’autre. En Algérie, cette période se déroule en janvier. Le DIOE a commencé dans de nombreuses zones humides du pays. Zoom sur la région de Bouira.
L’association OXY-Jeunes Darguina a tenu, cette semaine, un sit-in au niveau du Oued Agrioune, situé dans la commune de Darguina à Béjaïa, pour dénoncer «l’exploitation arbitraire du «tout-venant» et matériaux alluvionnaires d’Oued Agrioune».
Exploiter les lits d’oued pour extraire les agrégats n’est pas une particularité de l’Algérie.
Neuf mille deux cent quarante (9240) tonnes de déchets ont été ramassées en 10 jours dans 38 wilayas. C’est le premier bilan établi hier par le ministère de l’Environnement, qui vient d’entamer une campagne nationale de sensibilisation à la propreté de l’environnement.
C’est dans la «zone crépusculaire» de l’océan Pacifique qu’un récif corallien de 3 km de long pour une largeur allant de 30 à 70 m a été découvert au large de Tahiti, à plus de 30 m de profondeur, et ce, lors de plongées sous-marines destinées à cartographier les fonds marins de Polynésie, plongées auxquelles participaient des chercheurs du Criobe (Centre de recherche insulaire et observatoire de l’environnement) à Moorea.
Les observateurs remarquent que le glacier Thwaites, en Antarctique, surnommé le «glacier de l’apocalypse», se fissure de plus en plus rapidement.
Un appel particulièrement via les réseaux sociaux est lancé pour que cesse l’hécatombe à partir du 15 janvier. «Boycottons la chasse, surtout en cette période d’accouplement».
«Hayii Yafriz », un projet qui vise à reconsidérer les déchets comme ressource économique à valoriser, a reçu, lors du Forum National des Clubs Verts organisé par la wilaya de Boumerdès, le second prix national du meilleur projet environnemental.
Ces sept dernières années (2015 - 2021) ont été les plus chaudes jamais enregistrées même si le phénomène météorologique de la Niña a temporairement fait baisser les températures l’année dernière, confirme mercredi l’Organisation météorologique mondiale.
Une «nouvelle orientation» des pouvoirs publics dans le domaine agricole. Ces derniers «misent sur l’agriculture saharienne pour relancer le secteur». Les décrets exécutifs portant création des écoles supérieures de l’agriculture saharienne dans les wilayas d’Adrar et d’El Oued, publiés au Journal officiel n°97 du 27 décembre 2021, sont là. En revanche, le Sahara est connu pour son climat aride, à cela s’ajoute un autre facteur qui n’est pas des moindres : le changement climatique. Dans cet entretien, Sofiane Benadjila, spécialiste de l’agriculture bio dans la région du Sud, explique les atouts et les contraintes de cette démarche.
De plus en plus d’entreprises sont sensibles à la cause environnementale et au développement durable. Conscientes qu’elles ont un rôle à jouer en tant qu’acteurs, elles se sont engagées à limiter au maximum les impacts sur la nature à travers plusieurs axes majeurs. Parmi les initiatives, figure la collecte des emballages des produits afin qu’ils ne finissent pas comme des déchets sauvages ou dans les mers.
L’actualisation du Plan directeur d’aménagement des ressources en eau du bassin Sahara (PDARE) a permis d’établir des scénarios de gestion à l’horizon 2030 et 2040.
Son brevet d’innovation vient d’être signé au niveau de l’INAPI. Il porte sur l’énergie écologique. Son auteure, le docteur Souheyr Méziane, chercheuse algérienne de l’université de Tlemcen. Portrait.
La récupération des eaux de pluie demeure, depuis la nuit de temps, un rempart contre les inondations. La conservation des eaux permet une économie très importante de la ressource qui pourra être utilisée dans le cadre de l’alimentation artificielle des nappes d’eau, d’où un gain très important en matière d’eau. Larbi Djabri, professeur en hydrogéologie et environnement à l’université de Annaba, insiste, dans cet entretien, sur la nécessité de se lancer d’avantage dans les formations des métiers de l’eau.
Des robinets secs dans une zone désertique qui cultivait un écosystème oasien ou chacun trouvait son compte avec une économie d’eau érigée en règle du groupe, la sonnette d’alarme a été lancée par le mouvement associatif local depuis quelques années, avec une prise de conscience remarquable des enjeux de la rareté de l’eau et de l’indispensable mise en place d’un système d’économie.
La 3e édition de la formation des ambassadeurs de l’environnement au profit de 20 jeunes acteurs associatifs à la responsabilité citoyenne en matière de l’environnement s’est clôturée le 31 décembre 2021.
Les avis des spécialistes divergent sur l’impact négatif du dessalement de l’eau de mer. On manque encore de recul et d’étude, mais les premières recherches révèlent d’ores et déjà des conséquences sur le sol et le milieu marin.
«A quelque chose malheur est bon», dit-on. C’est le cas du tri sélectif qui a trouvé dans l’informel la raison d’exister, faute d’une véritable mise en place d’une récupération intelligente des déchets.
La force d’attraction touristique de certains sites naturels peut devenir une menace pour les écosystèmes. Et bien souvent, le tourisme de masse a des répercussions négatives sur la population locale et l’environnement. A titre d’exemple : Taghit fait face chaque année à l’incivisme de certains touristes, venus passer le réveillon. Des sites naturels et préhistoriques sont alors défigurés.