L’Algérie a réussi à classer une cinquantaine de zones humides en tant que zone humide d’importance internationale, selon la convention de Ramsar. Ainsi, malgré son aspect aride en majorité, l’Algérie est l’un des pays d’Afrique qui recèle le plus de zones humides d’importance internationale. Et pour évaluer l’état de ces zones humides, le comptage des oiseaux reste un des outils les plus simples. Dans cet entretien, Riadh Moulaï explique l’importance de cet outil ainsi que son utilité.
La ministre de l’Environnement et des Energies renouvelables, Samia Moualfi, a mis l’accent, lors de la Journée internationale des zones humides, sur la nécessité de lutter contre la dégradation de ces dernières et de prendre des mesures efficaces pour les récupérer.
La zone humide Beni Belaïd, dans la commune Kheiri Oued Adjoul (30 km au sud-est de Jijel), classée mondialement dans le cadre de la Convention Ramsar, est l’une des régions les plus importantes de la wilaya compte tenu de son utilité dans la préservation de l’équilibre écologique et de la diversité biologique, a-t-on appris auprès du parc national de Taza.
Le ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Mohamed Abdelhafid Henni, a annoncé, jeudi à partir de Blida, le lancement prochain de la plantation d’arganier à travers plusieurs wilayas du pays.
La direction de l’environnement de la wilaya de Mila a proposé l’inscription à l’étude le classement des cascades de Tamda, dans la commune d’Ahmed Rachedi, et le lac d’Oum Lehnache, dans la commune de Tassedane Hedadda, zones humides, a-t-on appris jeudi auprès de la direction de l’environnement.
Dans l’objectif de sensibiliser quant à l'importance de préservation des zones humide, la Direction générale des forêts (DGF) a concocté un riche programme pour célébrer la Journée internationale des zones humides.
L’envahissement de la ville par quelques animaux sauvages est un phénomène assez ancien.
Le président américain, Joe Biden, a déclaré l’état de catastrophe majeure en Californie, où de nouvelles intempéries sont attendues après trois semaines de précipitations inédites qui ont fait au moins 19 morts.
Le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, a qualifié les énergies renouvelables comme «la seule voie crédible» pour éviter une catastrophe climatique.
Si la tendance au réchauffement se poursuit, les chaleurs exceptionnelles, les feux de forêt, les inondations dévastatrices et les autres effets du changement climatique feront payer un tribut de plus en plus lourd à la société, aux économies et aux écosystèmes, rapporte l’ONU.
Pour la première fois en Algérie, un laboratoire pourra mesurer les contaminants dans l’huile d’olive et délivrer des certificats «zéro résidu». Il est en phase d’installation. Les producteurs pourront aller à la conquête des marchés en disposant de ce nouvel atout -maître qui constitue un «courant porteur» dans la consommation mondiale de l’huile d’olive.
Des cultures traditionnelles comme le riz, produit dans le delta du Pô, ont été détruites et le rendement des cultures agricoles a été dramatiquement réduit, lit-on dans le bulletin d’information de Wes (Water and Environnement Support/appui dans les domaines de l’eau et de l’environnement) du mois de septembre.
Des millions de tonnes de différents types de déchets de plastique sont jetés, chaque année, dans la nature. Quelque dix pour cent sont recyclés et le reste finit soit dans les quelques sites d’enfouissement ou dans le milieu naturel contribuant à détériorer l’environnement, les écosystèmes et la santé humaine.
Le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, a pointé du doigt «l’addiction de l’humanité aux énergies fossiles» après une récente série de catastrophes climatiques et alors qu’un rapport publié hier souligne que le monde «va dans la mauvaise direction». «Inondations, sécheresses, canicules, feux et tempêtes extrêmes ne font que s’aggraver et battent des records avec une fréquence inquiétante», a souligné M. Guterres dans un message vidéo.
La prolifération des méduses en Méditerranée s’est accentuée depuis le début les années 2000. Si ce phénomène était plus ou moins cyclique par le passé, cela ne semble plus le cas aujourd’hui et ce n’est pas sans conséquences sur l’environnement. Explications !
Lors de l’expédition med 2013, à laquelle j’ai participé en tant que plongeur et caméraman, un protocole scientifique d’étude de la méduse rouge pélagique (pelagia noctiluca) en collaboration avec l’université de Bruxelles et sous le pilotage d’un jeune scientifique britannique a permis d’individualiser le cycle de reproduction de migration et de remontée nocturne de cette espèce », confie Émir Berkane, Président de la fondation Probiom pour la protection de la biodiversité marine.
Le développement des activités agricoles, le réchauffement climatique, le gaspillage ou la surexploitation des nappes phréatiques figurent parmi les principaux facteurs qui menacent les ressources hydriques de la planète. L’eau devient une denrée rare et l’économiser devient essentiel. C’est pourquoi, récupérer l’eau de pluie et la rentabiliser s’avère un geste à la fois écologique et économique.
L’association Oxy-jeunes Derguina s’est lancé un nouveau défi : former les petits et les sensibiliser vis-à-vis des problématiques liées à l’environnement. Et c’est à travers le club Jeunes écolos, une structure interne de l’association que les enfants prendront part à différents ateliers de formation et d’animation mais également à des sorties pédagogiques et des excursions de découverte.
La Banque nationale des semences vient tout juste d’être inaugurée. Celle-ci est plus que jamais nécessaire pour non seulement garantir la pérennité des espèces, mais également la création de nouvelles variétés. Explications !