La COP15 contre la désertification a débuté hier à Abidjan, en présence de plusieurs chefs d’Etat africains, pour tenter d’agir concrètement face à la dégradation rapide des terres et répondre «à l’urgence climatique».
Une solution écologique aux déchets plastiques qui ne peuvent être recyclés. De nombreuses expériences d’intégration de déchets dans les matériaux de construction ont déjà été tentées. Rencontre avec Oum Keltoum Haddad qui a tenté cette expérience.
De simples gestes, quotidiens, ininterrompus qui font de leur cité un bijou en plein quartier caractérisé par un manque d’urbanisme, l’anarchie et l’incivisme. Un exemple de l’amour de la nature et de civisme à suivre.
En mars 1970, à la demande du Club de Rome basé en Suisse, un groupe de réflexion, on dit think tanks aujourd’hui, réunissant des scientifiques, des économistes et des industriels de 52 pays, trois chercheurs du prestigieux Massachussetts Institut of Technologie (MIT), Donella Meadows, son mari Dennis Meadows et Jorgen Randers, ont préparé un rapport intitulé «Les limites de croissance (dans un monde fini)» mais qui a fini par porter le nom de ses principaux auteurs.
A propos de ces travaux, le célèbre écrivain de l’époque, Voltaire, a écrit, en 1775, une lettre sensationnelle à Claude Bourgelat (qui était son ami) dans laquelle il lui témoigna sa reconnaissance, notamment sur ses expérimentations en pharmacologie et en pathologie animales.
Il y a quelques jours, des photos montrant le massacre d’un loup doré font le tour des réseaux sociaux. S’il est difficile de déterminer la date exacte ainsi que le lieu du drame, les chercheurs assurent tout de même que les faits sont réels et les massacres récurrents.
C’est incontestablement un beau livre, genre luxueux de ceux qui embellissent le rayon de la bibliothèque sur lequel on le met bien en évidence. Ce nouvel atlas des 50 zones humides algériennes qui figurent sur la «liste Ramsar», du nom de la Convention internationale relative aux zones humides, est le cinquième du genre.
La demande de classement est officiellement introduite auprès de la Commission de classement des aires protégées de la wilaya de Aïn Témouchent. L’étude de classement du BE «Abyss» approuvée a donc été validée.
L’histoire de la médecine vétérinaire est presque aussi vieille que celle de la médecine humaine. Si cette dernière remonte aux premiers âges de l’Humanité, la médecine vétérinaire, quant à elle, plonge dans la nuit des temps.
Sept espèces de tortues marines vivent dans les océans du monde, à l’exception de l’océan Arctique. Elles sont toutes considérées comme vulnérables ou menacées. La Liste rouge de l’UICN les classe dans les statuts de conservation vulnérable (EN), en danger critique (CR) et en danger critique d’extinction (CR). Des efforts de conservation sont déployés par des gouvernements, des organismes et des ONG pour améliorer leur statut. Détails.
La Méditerranée est une destination majeure de millions de touristes pendant la période estivale. Cette période correspond malheureusement avec la saison de nidification des tortues marines.
Sept espèces de tortues marines appartenant à deux familles (Cheloniidae et Dermochelyidae) sont les seules vivantes de ce qui a été autrefois, un grand et diversifié groupe de tortues marines.
La station de traitement des lixiviats (liquide produit par la décomposition des déchets ménagers), réalisée en amont du Centre d’enfouissement technique (CET) de Oued Falli, à Tizi Ouzou, sera prochainement fonctionnelle. Le taux d’avancement dans la réalisation de ce projet est actuellement estimé à plus de 85%.
Selon les observations d’un groupe de chercheurs publiées mardi, la banquise antarctique a atteint à la fin de l’été austral, en février, son niveau le plus bas depuis 44 ans.
La ministre de l’Environnement, Samia Moualfi, a appelé, mardi à Tamanrasset, les jeunes à s’impliquer dans la préservation de l’environnement à travers la création de micro-entreprises activant dans la gestion des déchets, du tri et du recyclage.
Une étude nationale a été lancée par l’Agence nationale des déchets (AND) pour définir les niveaux de gaspillage alimentaire chez les familles algériennes et les différents opérateurs économiques publics et privés. Initiée en mars dernier, l’étude s’étalera sur une année, selon les explications données par la directrice de gestion intégrée des déchets à l’Agence, Fatma Zohra Barça, reprises par l’APS. L’AND aspire à travers cette étude à définir les indicateurs quantitatifs pour mesurer l’ampleur du fléau du gaspillage alimentaire en Algérie, au niveau des ménages et des entreprises économiques, en prévision de l’élaboration d’une feuille de route prévoyant des objectifs précis de lutte contre ce fléau. «L’étude en question tend à définir les opérations à engager pour éviter le gaspillage alimentaire et à élaborer des applications permettant de localiser les lieux de gaspillage, en sus de mettre en place des programmes de collecte des restes alimentaires inutilisés, en coopération avec la société civile», a-t-elle précisé.
Comme c’est le cas de nombreux pays exerçant la pêche en Méditerranée, l’Algérie n’a pas été épargnée par le fléau de la pêche illicite non déclarée et non réglementée. D’ailleurs, les représentants des pays de la Méditerranée et de la mer Noire, dont l’Algérie, ont adopté, lors de la dernière session annuelle de la Commission générale des pêches pour la Méditerranée (CGPM) de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), plusieurs mesures contraignantes visant à renforcer les efforts en faveur de la conservation des ressources halieutiques et contrer la pêche illicite.
La révision de la loi relative à la pêche et à l’aquaculture s’impose au regard de plusieurs paramètres internes (nationaux) et externes «imposés» par l’évolution de la législation internationale, notamment des décisions adoptées par la Commission générale des pêches pour la Méditerranée (CGPM)
L’Algérie dispose de 200 systèmes épuratoires constitués de stations d’épuration (Step), dont la gestion de 159 relève de l’Office national de l’assainissement (ONA) avec une capacité globale installée près de 1,6 million de m3/j. 31 stations sont gérées par les Assemblées populaires et 10 autres font partie de la gestion délégataire des services publics de l’eau d’Alger (SEAAL), Oran (SEOR) et Constantine (SEACO).
Lors de sa récente visite dans la wilaya de Blida, la ministre de l’Environnement, Samia Moualfi, n’y est pas allée avec le dos de la cuillère pour appeler les opérateurs économiques à ne plus compter sur l’État concernant certaines commodités.