Le PDG de Golden Drink Algérie, Amra Salim, connu pour ses Tazedj, Aqua fine et Fruix, affirme que l‘instabilité juridique sur le plan local et l’arrêt des importations sont un «grave problème qui risquent d’emporter avec eux toute la filière.»
Les cours du blé et du maïs ont nettement reflué ces derniers jours, sous l’effet conjugué d’une météo plus propice aux cultures et de l’espoir suscité par l’hypothèse de corridors maritimes pour sortir des céréales d’Ukraine.
Les prix du pétrole poursuivaient hier leur tendance haussière, suite à la décision des dirigeants de l'Union européenne de mettre en œuvre une interdiction partielle et progressive du pétrole russe.
L’Algérie continue à cumuler du retard en matière de transparence et de contrôle budgétaires. Idem pour ce qui est de la participation du public à l’élaboration des différents budgets. Ce retard maintient le pays en bas du classement mondial, avec des scores très faibles pour ces trois indicateurs, notamment par rapport à ceux des pays de la région.
Savoir-faire local et développement, une combinaison gagnante qui nécessite l’adhésion de tous les acteurs pour fonctionner. Déceler les atouts d’une région et les valoriser pour en faire une source de revenus pérenne est au cœur de la problématique du développement local.
Le Président-directeur général (PDG) de l’EPE Alfapipe, Mahmoud Aït Youcef, a été démis, hier, de ses fonctions.
Les autorisations d’importation de matériel agricole rénové seront libérées dès ce deuxième semestre de l’année. Cette décision intervient après le lancement, le 22 mai dernier, du régime d’importation des chaînes de production rénovées et du régime d’exemption de droits de douane et de la taxe sur la valeur ajoutée.
De l’avis des représentants d’entreprises rencontrés, les signes d’une reprise ne sont pas encore là, même si l’espoir de lendemains meilleurs est toujours de mise. Pour certains, l’alimentaire a été le moins touché durant la crise sanitaire puisque certaines entreprises ont affirmé avoir maintenu leurs ventes.
La 19e édition du Salon professionnel de la production agroalimentaire, Djazagro, s’est ouverte hier à Alger, avec la participation d’exposants venus de 25 pays.
Depuis fin 2021, le ministère du Commerce et de la Promotion des exportations enchaîne les décisions portant sur le contrôle des opérations d’importation.
Saci Belgat est ingénieur agronome, docteur pédologue, retraité de l’enseignement supérieur. Il est auteur de nombreux ouvrages, notamment Ecologie du littoral algérien (Editions universitaires européennes 2014), Gestion des habitats agropastoraux (Editions universitaires européennes 2015) et Une agriculture saharienne sans les oasiens ? (Ouvrage collectif, Arak éditions, 2021).
Alors que l’Algérie est plus que jamais sollicitée pour jouer un rôle clé dans la géopolitique de l’énergie à venir, suite aux bouleversements nés de la guerre russe en Ukraine, le ministre de l’Énergie et des Mines, Mohamed Arkab, a indiqué samedi à Alger que «l’établissement de relations de partenariat avec des entreprises mondiales dans le domaine des hydrocarbures constituait le principal axe de la politique énergétique nationale», non sans rappeler au passage que «la nouvelle loi sur les hydrocarbures prévoyait plusieurs mesures visant à encourager l’investissement dans les activités d’exploration et de production en Algérie».
Sous le titre «Les pays importateurs de produits de base du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord subissent les hausses de prix», le Fonds monétaire international (FMI) met en garde sur les risques d’une inflation incontrôlée.
Le ministre des Finances, Abderrahmane Raouya, a rencontré, vendredi, à la capitale ghanéenne Accra, le président de la Banque africaine de développement (BAD), Akinwumi Adesina, en marge des travaux des Assemblées annuelles de cet organisme financier, a indiqué un communiqué du ministère des Finances.
Un communiqué du groupe pétrolier et gazier Sonatrach fait état de la signature d’un contrat de partage de production avec le groupe chinois Sinopec Overseas Oil & Gas Limited (SOOGL).
L’Algérie s’est engagée depuis plusieurs semaines dans l’importation en masse de blé dur et tendre à travers plusieurs fournisseurs européens et canadiens. Entamée au lendemain du début du conflit militaire entre la Russie et l’Ukraine, cette opération a pour objectif d’éviter, autant que faire se peut, les fluctuations des cours des blés dans les Bourses et, surtout, d’assurer la sécurité alimentaire du pays.
En visite jeudi dernier à Tipasa, le ministre de l’Industrie, Ahmed Zeghdar, est longuement revenu sur la situation des entreprises industrielles publiques, s’engageant encore une fois à voler au secours de celles en difficultés, comme c’est le cas du complexe industriel du papier Tonic Emballage, dont les comptes sont bloqués et dont l’alimentation en électricité par Sonelgaz a été coupée depuis trois mois avant d’être rétablie jeudi. Un exemple qui illustre clairement le contexte dans lequel évolue ces entités économiques, lesquelles bénéficient à chaque fois de mesures de redressement et de restructuration sans pour autant que les résultats escomptés soient au rendez-vous.
Dans cet entretien, l’économiste et expert financier Farouk Nemouchi désigne un manque de pertinence dans l’analyse officielle des raisons de la forte inflation qui secoue l’économie nationale, et explique les insuffisances qui en découlent quand il s’agit d’apporter des solutions.
La BAD, qui souligne que «les balances budgétaire et courante affichent une tendance à la hausse à court terme» (0,9 et 0,2% du PIB en 2022), explique que «la nette amélioration des finances publiques et de la balance courante est due à l’impact de la crise ukrainienne» sur les prix du pétrole. Selon la Banque africaine, l’Algérie devrait cependant diversifier son économie, en s’orientant «notamment vers la pétrochimie, le gaz et les produits agricoles qui ont un fort potentiel d’exportation».
Au total, 11 947 entreprises débutantes (primo-investisseurs), dont 11 068 personnes physiques et 879 morales, ont été enregistrées depuis janvier de l’année en cours, contre 11 605 entreprises naissantes (10 885 physiques et 720 morales) durant l’année 2021, alors qu’on comptait 6794 nouveaux établissements (6522 physiques et 272 morales) en 2020.»