L'action d'UBS a réussi à inverser la tendance lundi à la Bourse de Zurich, après l'accueil glacé qui avait suivi l'annonce dimanche de la fusion de la première banque helvétique avec Credit Suisse.
Le ministre saoudien de l’Energie a déclaré que le Royaume ne vendrait pas de pétrole à un pays qui imposerait un prix plafond à ses approvisionnements. Le prince Abdelaziz a souligné dans une interview publiée par Energy Intelligence que le plafonnement des prix du pétrole conduirait inévitablement à l’instabilité du marché.
La Caisse nationale de mutualité agricole (CNMA) a annoncé, hier, dans un communiqué, l'augmentation de son capital social de 45%, passant de 5,5 à 8 milliards de dinars. Cette décision a été prise jeudi dernier, lors de l'Assemblée générale extraordinaire de la CNMA, conformément aux perspectives de développement et aux objectifs ambitieux fixés dans son plan stratégique 2020-2024, selon le communiqué.
La tendance des exportations dans le secteur des mines est à la hausse. Le groupe industriel minier Manadjim El Djazaïr (Manal) a en effet réalisé un total 216 millions de dollars d’exportation en 2022, selon le PDG du groupe, Mohamed Sakhri Harrami.
Contrairement à la tendance mondiale, l’Afrique a enregistré une production agricole exceptionnelle, indique un rapport trimestriel de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation (FAO).
La plus grande banque de Suisse UBS, poussée par les autorités, doit absolument finaliser dimanche le rachat de sa rivale Credit Suisse pour espérer éviter une débâcle et une vague de panique contagieuse sur les marchés lundi.
Institué en vertu d’un arrêté interministériel datant du 16 février 2021, l’entrée en vigueur de l’obligation d’utilisation du code-barres devrait intervenir dans une dizaine de jours, soit à compter du 29 mars 2023. Qu’il soit importé ou fabriqué localement ou destiné à l’exportation, aucun produit ne sera exempté de cette obligation.
Les cours du pétrole sont repartis à la baisse vendredi et ont clôturé à leur plus bas niveau depuis près de 15 mois, minés par la crise bancaire persistante qui fait redouter un freinage du crédit et de l’économie.
L’agence de notation S&P Global Ratings a relevé d’un cran la note de l’Arabie saoudite, à A, en invoquant les réformes engagées ces dernières années et son rôle de leader sur les marchés pétroliers.
Semaine chaotique pour le secteur des finances américain dont la faillite de certaines banques fait craindre aux établissements financiers occidentaux un effet de contagion. L’économie mondiale reste aux aguets face aux nouvelles venant d’outre atlantique craignant une récession semblable à celle provoquée par la crise des subprimes en 2008.
Un quota de 786 logements de divers types a été distribué samedi à Bordj Bou Arreridj dans le cadre de la célébration du 61ème anniversaire de la fête de la victoire.
Credit Suisse doit trouver les moyens de rassurer coûte que coûte les marchés avant leur ouverture lundi matin, même si la deuxième banque de Suisse est l'une des 30 banques au niveau mondial considérée comme trop grosse pour faire faillite.
Devant les difficultés que rencontrent les investisseurs agricoles pour financer leurs projets, le Premier ministre, Aïmene Benabderrahmane, a rassuré, jeudi dernier à Alger, quant à la prise en charge de ce dossier appelant les banques à jouer le jeu. Il a même évoqué un éventuel recours aux poursuites judiciaires contre les banques qui refusent de financer des projets sans motifs valables.
L’OCDE a relevé ses prévisions de croissance mondiale pour 2023 et 2024 grâce à une baisse de l’inflation et la réouverture de la Chine, mais reste fragile, sur fond de grandes difficultés rencontrées par certaines banques. Le produit intérieur brut (PIB) mondial devrait augmenter de 2,6% en 2023, contre 2,2% anticipés en novembre dernier par l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), selon ses perspectives publiées hier. L’an dernier, la croissance mondiale s’était élevée à 3,2%. En 2024, la croissance mondiale devrait accélérer à 2,9%, soit 0,2 point de pourcentage que préalablement prévu. Les économies continueront toutefois à subir le contrecoup du relèvement du taux d’intérêt décidé par les banques centrales pour lutter contre l’inflation.
Pour ses efforts consentis dans le domaine de la formation professionnelle, la société Sorfert (complexe pétrochimique), fruit d’un partenariat entre Sonatrach (49%) et le groupe Orascom Construction (51%), a fait jeudi en fin de journée l’objet d’une visite effectuée par une délégation conduite par le ministre de la formation professionnelle, Yacine Merabi, apprend-on auprès de l’entreprise.
Après la pire semaine de cotation de l’année, les cours du pétrole se sont nettement raffermis hier, avant de reculer à nouveau, dans le sillage d’une chute de plus de 10 % en quelques jours, par crainte notamment d’un effondrement du secteur bancaire.
L’élaboration d’une feuille de route pour le développement du secteur minier sera au centre d’une rencontre organisée aujourd’hui et demain, à Alger par l’Agence du service géologique de l’Algérie (ASGA), en collaboration avec le ministère de l’Energie et des Mines. Intitulé «Ressources minérales de l’Algérie : bilan, perspectives de développement et prospective d’exploration minière».
Le secteur des cryptomonnaies est depuis des mois le théâtre d'une série de déboires et scandales, entre faillites de banques ou plateformes, et les régulateurs cherchent des solutions pour protéger les particuliers de fraudes et arnaques à répétition.
L’OPEP a encore relevé ses prévisions de croissance de la demande mondiale de pétrole en 2023, en raison notamment de l’assouplissement des restrictions liées à la Covid-19 en Chine, sans pour autant écarter des risques potentiels de retour à une tendance baissière. «La demande mondiale de pétrole en 2023 augmentera de 2,32 millions de barils par jour (bpj), soit 2,3%», a indiqué l’Organisation des pays exportateurs de pétrole dans son rapport mensuel publié sur son site Internet.
L’Algérie peine toujours, semble-t-il, à mettre sur rails son ambitieux programme de modernisation des systèmes d’information (SI) de l’ensemble des banques publiques, à savoir le Crédit populaire d’Algérie (CPA), la Banque nationale d’Algérie (BNA), la Caisse nationale d’épargne et de prévoyance (CNEP), la Banque extérieure d’Algérie (BEA), la Banque de l’agriculture et du développement rural (BADR) et la Banque de développement local (BDL).