A un jour de décalage du décès de Mustapha Chougrani, son beau-frère, Yamina Ghassoul est décédée lundi dernier. Elle avait demandé à ce que sa dépouille repose sur la scène du théâtre qu’elle a chéri mais qui ne lui a rendu la pareille que sur le tard de sa carrière. Son vœu a été exaucé avant qu’elle ne soit inhumée.
«Pourquoi la wilaya de Tipasa ne dispose-t-elle pas d’un salon national des arts plastiques, en dépit de l’existence de très nombreux artistes peintres,
Resté vide pendant treize ans après l’arrêt de travaux de réfection, il est aujourd’hui occupé par un collectif d’artistes qui exigent sa rénovation urgente. Cet imposant bâtiment de 6 étages et 4000 mètres carrés qui se dresse en plein centre-ville «était le cœur, le fleuron de la culture en Guadeloupe pendant trois décennies, des années 1970 aux années 1990», se souvient Laurence Maquiaba, membre du Kolèktif Awtis Rézistans (collectif des artistes en résistance). Avec une trentaine d’autres, cette quadragénaire organisatrice de spectacles occupe les lieux depuis le 5 juillet 2021 pour «faire bouger les lignes».
Préfacé par le professeur Mostéfa Khiati, celui-ci note que L’Emir Abdelkader a été la personnalité arabo-musulmane qui a le plus marqué le XIXe siècle.
Le talent de l’écrivain est d’entraîner le lecteur dans l’illusion d’une île, l’île de Mingher, territoire éloigné de l’Empire ottoman à partir de laquelle on voit - et on vit - les grandes évolutions du début du XXe : l’effritement progressif de l’Empire ottoman, l’affirmation des puissances occidentales, leur mainmise sur le monde (il est même question du sac de Pékin de 1900), les résistances des musulmans.
Cinéaste formé à Moscou et ancien réalisateur à l’ex-RTA, essayiste et romancier, né en 1947 à Biskra, Hassan Bouabdellah qui a bourlingué en Europe et aux Etats-Unis, n’a pas mâché ses mots pour fustiger le secteur de la culture nationale «dirigé par des responsables incapables n’ayant pas la conscience de la valeur de leurs activités, car ils naviguent à vue en dehors d’une véritable politique culturelle», a-t-il lancé lors de la dernière édition du Café littéraire de Biskra.
La première édition du salon du livre de Takeriet (48 km au sud du chef-lieu de la wilaya de Béjaïa) se déroule depuis le 2 septembre, et ce, jusqu’au 6 septembre à l’école primaire du village, au grand bonheur des amoureux du livre.
Le commissariat du Festival national du théâtre professionnel (FNTP) a lancé mardi un appel à participation à la 15e édition du concours du meilleur texte de théâtre, dans l’objectif d’encourager les dramaturges algériens.
Installé en France depuis quelques années déjà, Mohamed Sahraoui, Alias Moho, fait une escale heureuse dans son pays natal pour dévoiler aux esthètes une série d’œuvres anciennes et nouvelles. Bien que cette exposition soit visible depuis le 1er septembre, le vernissage est attendu pour cet après-midi, dès 15h, à la galerie Mohamed Racim.
L’association théâtrale El Moudja, sise au quartier la Salamandre à Mostaganem, vient d’inaugurer une nuit blanche, celle du souvenir pour tous les 20 août à venir, en hommage aux artistes des tréteaux qui ne les hantent plus. Compte-rendu d’une nuit pas comme les autres.
Une véritable opération de public-relations compte rattraper les aléas de ce préjudice en termes de visibilité et de médiatisation, d’autant plus que l’auteur, qui a quitté son pays en 1964, n’a pas la même popularité chez lui en Tanzanie qu’en Angleterre.
Il est rare de croiser un jeune président d’une association de musique andalouse qui contribue financièrement jusqu’à 45% du coût des activités culturelles de son association. Pourtant, il existe.
Le premier prix littéraire attribué aux livres de la rentrée 2022, le prix Méduse, a été attribué mercredi à la journaliste Blandine Rinkel pour Vers la violence (éditions Fayard), a annoncé le jury mercredi.
L’auteur de ce livre nous plonge dans le dialogue intérieur à équidistance entre le réel et l’imaginaire, d’une personne rongée par une détresse existentielle, l’angoisse de l’au-delà et la progression du désespoir.
L’établissement public Al Djazaïri pour la production, la distribution et l’exploitation du film sur l’Emir Abdelkader, déclare avoir réalisé d’importantes avancées dans la préparation du lancement de ce grand projet cinématographique, indiquent à l’APS les responsables de cette structure.
L’organisation de salons du livre se multiplie dans la wilaya de Tizi Ouzou au point où pratiquement chaque daïra a son événement avec le livre et la lecture.
Deux auteurs, deux musiciens compositeurs et deux artistes visuels algériens participeront à un programme de résidence de quatre mois entre Paris, Marseille et Cassis en France.
Gare de l’Est dans les cabines de la Night jet. Les instructions pour le port du masque ne semblent pas faire la priorité des passagers, l’urgence pour la plupart d’entre eux est de trouver un siège après tous les chamboulements dûs au annulations des programmes.
De retour de Tanzanie, Tiriaki Ahmed, un cadre du secteur du tourisme, un fervent pratiquant des escalades des montagnes, a préféré passer les derniers jours de son congé auprès de sa famille.
-Nos lecteurs sont curieux pour vous connaître. Brièvement, qui êtes-vous ? Un Algérien âgé de 56 ans. Un universitaire, qui exerce à l’hôtel de Beni-Abbès, un établissement public de tourisme, en qualité de directeur.