Il n’est pas aisé de rendre compte du dense, bien qu’aéré, Les oasis au fil de l’eau d’Abderrahmane Moussaoui. Leurré en général par une fascination condescendante du Sahara, le lecteur est expertement soustrait de cette perception «exotisante» des oasis rouges du Touat-Gourara-Tidikelt.
Himeur Djamel, 58 ans, administrateur principal de l’urbanisme et des équipements au niveau de la mairie de Sidi M’hamed, à Alger, a poussé de nouveau la porte de la rédaction d’El Watan pour nous révéler un secret et dévoiler un trésor.
La troisième édition de la manifestation culturelle «Les nuits Andalouses de Miliana» a été lancée en fin d’après-midi de ce jeudi, en présence des acteurs du mouvement associatif et des artistes de la ville de Miliana.
La 13e édition du festival culturel local du théâtre professionnel de Guelma aura lieu du 24 au 29 juillet avec pour «slogan» l’apport de l’action culturelle pour la préservation de la mémoire nationale.
Date : samedi 23 juillet à 20h. Installé en France depuis près de 2 ans, Djamil suit des études en musicologie à l’université de Paris VIII. Il met un terme à sa participation à l’aventure Djmawi Africa pour se consacrer pleinement à son projet solo : Djam.
Les touristes qui s’aventurent à se rendre au site archéologique du Mausolée Royal de Maurétanie de Tipasa sont surpris d’apprendre que les responsables qui gèrent ce merveilleux espace culturel inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco n’ont pas daigné installer les toilettes.
La présidente de l’association El Hachemi Guerouabi revient sur les grandes lignes de la commémoration du 16e anniversaire de la disparition de son époux, le chantre de la musique chaâbi.
En commémoration du 16e anniversaire de la disparition de l’artiste El Hachemi Guerouabi, une rencontre-débat s’est tenue, samedi dernier, au niveau de la bibliothèque du palais de la Culture Moufdi Zakaria à Alger.
Le professeur d’économie à l’université Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou, Mohamed Dahmani, actuellement en retraite active, vient de publier un nouvel ouvrage intitulé Tazeqqa. Des origines à son extinction, sorti aux éditions Achab.
Le célèbre écrivain algérien, Yasmina Khadra, animera des rencontres-débats à Alger et Tizi Ouzou au grand bonheur de ses lecteurs. Yasmina Khadra, rencontrera son public, à Alger, le lundi 18 juillet à 16h, à la Bibliothèque nationale d’El Hamma, et à Tizi Ouzou, le mardi 19 juillet à 14h, à la Maison de la Culture. Yasmina Khadra a une actualité. Il publie un nouveau roman chez son fidèle éditeur, Casbah (éditions). Il est intitulé Les Vertueux. «Il arrive ! Le préféré de tous mes romans.
La très dynamique ville de Azzazga, à l’est de de Tizi Ouzou, peut se targuer enfin de posséder son premier festival de musique. Dénommé Festival Za-One d’I3azzugen, sa première édition se tiendra sur trois jours, du 25 au 27 de ce mois de juillet, et verra la participation de Ali Amran, Karim Abranis et Mohamed Allaoua.
C’est la dernière tournée mondiale de Midnight Oil : l’occasion pour son leader Peter Garrett de revenir sur l’histoire de ce groupe australien qui a tout d’un accident».
Le célèbre écrivain algérien, Yasmina Khadra, animera des rencontres-débats à Alger et Tizi Ouzou, au grand bonheur de ses lecteurs.
Oui, Paris est une fête, et flâner au bord de la Seine en est le summum du sens intuitif, on se la coule douce sur ce hamac public, ici, dans ce magnifique coin lové dans l’île de Saint-Louis. Une petite pause tranquille s’impose, toutefois dérangée par les aller-retour des péniches bondées de touristes annonçant une revanche de Paname sur la Covid-19, avec un retrait momentané des voyageurs chinois.
Le collectif des musiciens de l’Orchestre symphonique de l’opéra d’Alger sont en train de pétitionner pour informer l’opinion publique et les décideurs culturels sur la nécessité de la reprise et la relance des activités de l’Orchestre symphonique de l’Opéra et le retour de leur chef d’orchestre, le maestro Amine Kouider.
Le théâtre Kateb Yacine de Tizi Ouzou a eu la main heureuse en optant pour Un inspecteur vous demande que lui a proposé de monter Ahmed Khoudi, une pièce qu’il a réécrite en darja avec pour titre Rosa Hnini.
Yasmina Khadra, rencontrera son public, à Oran, aujourd’hui, à 16h, au Théâtre régional (TRO), à Alger, lundi 18 juillet à 16h, à la Bibliothèque nationale d’El Hamma, et à Tizi Ouzou, mardi 19 juillet à 14h, à la Maison de la Culture. Yasmina Khadra a une actualité.
L’ambassade d’Italie en Algérie et l’Institut culturel italien d’Alger, le ministère des Affaires étrangères et de la Coopération internationale MAECI en collaboration avec la FondazioneMAXXI et le ministère de la Culture et des Arts algériens organisent l’exposition «Univers Olivetti.
Algéroise, Mme Madina Ben Ahmed, étudiante en 1re année Master dans la filière conservation et restauration des biens mobiliers culturels à l’ENSCRBC (Ecole nationale supérieure de conservation, de restauration des biens culturels) de Tipasa, participe à chaque événement inhérent à la start-up.
«Mama Binette, harragas françaises naufragées au cap Ténès», un opus de Mahdi Boukhalfa, revient sur une vraie fausse légende : celle de femmes, parties sur un navire de guerre de la flotte napoléonienne vers les Amériques, la Louisiane plus précisément, qui ne termineront jamais leur long périple. Quelques jours après son départ du port de Toulon vers Saint Domingue, le Banel est dérouté par une tempête de tous les diables et s’échoue sur une crique des côtes barbaresques, entre Ténès et Beni- Haoua, à Oued Goussine. Dans l’actuelle baie des Souahlias. C’est le début d’une légende, dramatique du reste pour les naufragés, mais surtout la fin réelle d’un rêve, celui d’aller en Amérique. Le livre revient en détail sur ce naufrage, et défait patiemment l’épais écheveau, qui s’est tissé sur ce naufrage, sur la base de témoignages, certains faux, d’autres romancés, et beaucoup n’ayant aucun lien avec ce qu’il s’est passé en ce matin venteux et pluvieux du 15 janvier 1802.