Les films algériens, "Halim Er'Raâd", long métrage de Mohamed Benabdellah, "Akennaw", documentaire de Houria Hamadouche et "Irréparable", court métrage de Djamel Bacha, entrent en compétition officielle du 7 Festival international du cinéma d'El Qods, prévu du 29 novembre au 6 décembre prochains, dans la ville de Ghaza, annoncent les organisateurs.
Plus de 30 recueils de poésie et de prose du défunt poète palestinien Mahmoud Darwich ont été exposés pour la première fois dans l'histoire des salons du livre à travers le monde arabe dans un pavillon spécial à la Foire internationale du livre de Sharjah, selon une responsable de la Fondation Mahmoud Darwich.
L’interprète de la nouba çan’a, Beihdja Rahal, vient de mettre dans le bac son 28e album. Parue chez les éditions Ostowana, l’œuvre décline une nouba dans le mode Mezdj Raml el Maya – Raml. Nous avons saisi l’occasion pour approcher celle qui abhorre qu’on lui colle l’attribut de diva, pour nous parler de cet opus et d’un pan de sa passion «zyriabienne» qu’elle chérit tant et qu’elle tente de présenter au jeune public avec une autre manière.
La maison de la culture Omar Oussedik de Jijel a vibré trois jours durant au rythme de la musique andalouse à l’occasion des Journées jijeliennes de la nouba andalouse organisées par l’association culturelle «Angham Cordoba» en hommage à Abdenour Lounis, une infatigable cheville ouvrière dans les domaines culturel et sportif, disparu il y a une année à l’âge de 63 ans.
Loin des feux de la rampe, l’artiste-peintre Boubakeur Smaane formé à l’École supérieure des beaux-arts d’Alger, apporte les dernières retouches, prépare son exposition. Méticuleux, l’élève de Hassen Chayani et Denis Martinez est comme un enfant.
La ministre de la Culture et des Arts, Soraya Mouloudji, a annoncé, mardi à Alger, la promulgation prochaine du cahier de charges relatif à l’exploitation et à la gestion des salles de cinéma par les privés.
R. Sam a essayé, dans un livre sorti aux éditions Identité, de revenir sur l’itinéraire et le travail de Feraoun. Le même auteur a également publié un autre ouvrage intitulé Une vie en mélis-mélos. Le travail de Mouloud Feraoun est «le plus prolifique mais aussi le plus critiqué et le plus audacieux», précise R. Sam, cet enseignant normalien, ancien inspecteur des collèges et maître assistant à l’université de Tizi Ouzou, qui estime que l’œuvre de Feraoun «retrace toute une série de fatalités qui aboutirent à sa mort».
Agitateur de la Nouvelle Vague, il a dynamité les codes du cinéma avec des films résolument novateurs, d’«A bout de souffle» à «Sauve qui peut (la vie)» : le cinéaste franco-suisse Jean-Luc Godard est décédé mardi à l’âge de 91 ans, emportant avec lui un pan de l’histoire du 7e art. «Ce fut comme une apparition dans le cinéma français. Puis il en devint un maître (...).
L’éditeur et photographe Samir Djama expose une imposante collection de photos sur toiles, et ce, jusqu’au 8 octobre prochain à la galerie Baya du palais de la culture Moufdi Zakaria à Alger. Si par le passé l’artiste photographe Samir Djama a participé à quelques expositions dans un cadre intime, aujourd’hui, il signe sa première exposition de photos sur toiles individuelle. Intitulée «Ombres et lumières, La passion du patrimoine», l’exposition en question grandeur nature se décline sous la forme d’une série de photos à thèmes suavement sélectionnés. Quatre vingt photos en couleurs et en noir et blanc attirent le regard de tout visiteur. Les sujets sont à la fois captivants et parlants. Le cadrage est des plus étudiés.
Il était difficile de se frayer un chemin devant cette affluence qui a pris d’assaut les stands du Salon du livre de Boghni. Cette magnifique manifestation en hommage à l’écrivain et chercheur Youcef Nacib a été clôturée en apothéose, samedi, à la bibliothèque municipale de la ville.
la failli passer à la trappe, mais le Festival de la chanson amazighe est revenu in extremis, au grand bonheur de ses nombreux fans qui l’attendent de pied ferme car, en l'absence de galas et d'animations culturelles dans la ville de Béjaïa, il reste l'une des rares occasions d'apprécier de la musique de façon vivante et de vibrer avec les artistes.
Avec une énorme tristesse, en notre nom et au nom de la famille, nous avons le regret d’annoncer que notre grand auteur et ami Javier Marías est décédé cet après-midi à Madrid», a déclaré Alfaguara dans un communiqué.
-Comment avez-vous eu l’idée d’organiser ce Salon du livre ? Nous avons eu l’idée d’organiser cette manifestation depuis longtemps, mais ces derniers mois, cette idée a germé, notamment chez les amateurs du livre dans la région. C’est pour cette raison que nous avons décidé de préparer cette activité pour honorer un enfant de notre commune (originaire du village Ath Kouffi), en l’occurrence Youcef Nacib, écrivain, chercheur et enseignant universitaire qui mérite amplement cet hommage compte tenu de son parcours aussi bien dans l’activités scientifique que littéraire. Ses publications sont d’une valeur inestimable surtout lorsqu’on sait qu’il a souvent travaillé sur des thématiques ayant trait à l’histoire et l’anthropologie de la région. Nous avons, donc, profité de l’occasion de sa venue au village pour lui organiser cet hommage.
S’il y a une troupe qui a donné à l’art scénique toutes ses lettres de noblesse, c’est bel et bien cette association chère à Ahmed Redha Houhou qui, malgré les obstacles érigés par l’administration coloniale, a réussi la gageure d’être sous les feux de la rampe. Voici une plongée dans l’histoire, parfois tumultueuse, d’El Mezhar El Kassentini.
L’élégant Mustapha Chougrani, élégant par l’être et le paraître s’entend, n’est plus. De son vrai nom Mustapha Fethi Benchougrani, il a vécu une belle destinée dont une partie essentielle se confond avec l’époque de l’héroïque et tumultueuse constitution du TNA, dans les années 1960. Evocation.
Quelque temps avant sa disparition, Nabile Farès me confiait sa frustration de n’avoir pas pu écrire un roman qui lui tenait à cœur et dont le titre aurait été La Mort du Conteur. Je ne pensais pas que, quelques années plus tard, précisément le 2 septembre 2022, faute de lire ce roman, je le vivrais à travers la disparition de mon oncle Djafer Chibani, «dernier des Mohicans», comme il se surnommait en reconnaissant ce qu’il avait de spécifique dans une société kabyle où la culture est réduite à sa composante la plus folklorique.
La nouvelle production théâtrale intitulée Androïna, un titre, faut-il préciser, est composé du mot androïde et Rouina. La Rouina comme nous le savons tous est obtenue à partir de grains de blé légèrement grillés et moulus. Les familles algériennes utilisent cette semoule pour en faire des plats sucrés.
Les cimaises de la galerie Ezzou’art à Alger abrite, du 3 au 22 septembre , une exposition de peinture signée par l’artiste Myriam Mohli Aoues.
L’historienne et universitaire algérienne Malika Rahal a reçu, jeudi en France, le Grand prix des rendez-vous de l’histoire pour son dernier ouvrage Algérie 1962, une histoire populaire publié cette année, chez les éditions Barzakh a annoncé l’APS.
On continue d’affirmer que « le cinéma algérien est né dans les maquis ». Cette croyance laisse entendre que les premiers films furent tournés dans les maquis. Si c’est le cas, on est en droit de se demander qui sont ces cinéastes et quels films ils ont réalisés.