Le jury de la sixième édition du Grand prix Assia Djebar du roman a sélectionné 13 ouvrages pour la participation à cette prestigieuse distinction, a indiqué jeudi un communiqué de l’Entreprise nationale de communication, d’édition et de publicité (ANEP), organisatrice du prix.
Il aura fallu attendre plusieurs décennies avant que le cinéma ne se penche sur le sacrifice de ces pieds-noirs, en réalité des fils de l’Algérie, qui se sont mobilisés au prix de leur vie pour la cause du peuple algérien.
La Journée nationale de l’artiste, qui coïncide avec le 8 juin de chaque année, a été marquée mercredi soir à Alger par la distinction de plus d’une trentaine d’artistes dans divers domaines, outre la remise du Prix du président de la République pour les jeunes créateurs, Ali Maachi.
Juan Antonio Bardem, le réalisateur de « Calle Mayor » et « Muerte de un ciclista », né il y a cent ans, était un pionnier de portée internationale qui a lutté contre la censure franquiste et a cru au caractère révolutionnaire du cinéma. Il était un créateur indispensable et d’une figure toujours proche des problématiques sociales. Fils des acteurs, Rafael Bardem et Matilde Muñoz Sampedro et frère de Pilar Bardem, il connut dès son plus jeune âge, les misères du métier artistique.
La ministre de la Culture et des Arts, Soraya Mouloudji, a annoncé lundi à Alger, la création d’un nouveau mécanisme devant soutenir la production cinématographique, rassurant les acteurs de l’industrie du cinéma que l’Etat ne renoncera jamais à l’accompagnement de leurs projets, selon un communiqué du ministère.
Cette manifestation livresque ne cesse de prendre une dimension importante compte tenu de l’engouement admirable suscité dans la région.
Avec eux, il n’y a pas de silence radio. Vous êtes aussitôt branchés «on air» du temps. Car leur son tourne et tourne bien. Tels des derviches tourneurs de bonne musique. Celle du groupe italo-palestinien Radiodervish. Ils ont célébré la paix, Gaza, Jérusalem, la fraternité, l’amour…Ils se sont produits, dimanche soir, à la salle Ibn Khaldoun, à Alger
Dans le cadre du projet des Enfants du nouveau monde, un après-midi de conférences-discussions se tiendra à Alger aux Ateliers Sauvages le samedi 11 juin 2022. Quatre figures intellectuelles, dont chacune dessine une trajectoire de pensée, de recherche et d’écriture singulière, interviendront pour proposer leur regard.
34 œuvres sur 38 candidatures en arabe, 8 sur 9 en tamazight et 38 sur 42 en français ont été retenues pour cette huitième édition dont les lauréats seront connus le 22 octobre prochain.
C’est un grand homme de culture qui a été l’hôte de la librairie du Tiers-Monde, samedi après-midi. Celui qui fait beaucoup pour le patrimoine et la mémoire musicale algérienne. Abdelkader Bendamèche, celui qu’on ne présente plus, musicologue, chanteur, parolier, journaliste, conférencier, ex-président du Conseil national de la musique et des lettres et directeur général actuel de l’ Agence algérienne pour le rayonnement culturel (AARC), signait un nouvel ouvrage rendant hommage à un géant de la musique chaâbi, Amar Ezzahi, intitulé Amar Ezahi ou l’éclat juvénile de la chanson chaâbi paru chez les éditions ENAG.
Dans l’entretien accordé à El Watan, Achour Mihoubi, architecte au long cours, nous parle de l’ouvrage publié avec son associé Abderrahmane Mahgoun : Itinéraire d’architectes. Dans cet ouvrage, les deux auteurs présentent les travaux de leur cabinet (MMA). Mihoubi est catégorique : «La place dévolue à l’architecture est totalement désavantageuse pour l’exercice de la profession d’architecte aujourd’hui en Algérie.»
L’ambassade d’Italie à Alger a publié un nouveau livre intitulé Enrico Mattei et l’Algérie. Un ami inoubliable (1962-2022), imprimé en Algérie pour l’ambassade d’Italie par la maison d’édition Barzakh.
Dans l’entretien accordé à El Watan, le militant politique et auteur d’un essai Le miroir amazigh publié récemment aux éditions Tafat nous parle des « traits permanents » de l’âme amazighe. Pour lui, il est nécessaire de « bâtir ». « Aujourd’hui, nous avons conquis des droits et, par conséquent, la question amazighe n’est plus appréhendée de la même façon par ceux qui nous gouvernent. Ces deniers ont consenti des concessions. Il n’en demeure pas moins qu’une hostilité ouverte ou pernicieuse est toujours présente. C’est dans cet espace restreint, même largement insuffisant, qu’il faut exceller », tranche-t-il
Mina Namous naît en 1984 à Paris dans une famille algérienne et passe son enfance et son adolescence en Algérie. Après un doctorat de droit, elle s’installe en tant que juriste et exerce d’abord à Alger avant de revenir vivre en France.
L’essayiste Lydia Haddag vient de publier un ouvrage remarqué La génération du Môle d’Alger paru chez les éditions Casbah. Entretien
Main dans la main, pieds nus, Nesrine Chimouni et Faysal Achoura, mari et femme dans la vie et duo sur scène, ont fait leur apparition lors d’une mémorable rencontre avec leurs fans pour un spectacle qu’ils ne seront pas prêts d’oublier.
L’idée a vu le jour lors de l’une des journées d’étude organisées par l’Ecole nationale supérieure de conservation et restauration des biens culturels (ENSCRBC) de Tipasa à l’occasion de la célébration du Mois de patrimoine.
Le site de Saqqara, à un peu plus de 15 km au sud des célèbres pyramides du plateau de Guizeh, est classé au patrimoine mondial de l’Unesco et est connu pour la célèbre pyramide à degrés du pharaon Djéser.
Une dizaine d’artistes et de plasticiens algériens participeront à la 14e Biennale de Dakar Off 2022.
Alain Ruscio, historien, chercheur et militant, a signé son nouvel ouvrage intitulé «Les communistes et l’Algérie : des origines de la guerre d’indépendance 1920-1062 », paru chez les éditions APIC, dimanche après-midi, à la Librairie du Tiers-Monde, place Emir Abdelkader, à Alger.