La promotion du patrimoine culturel, matériel et immatériel que recèle la wilaya de Ouargla et ses prolongements africains figure au programme commémoratif du mois du patrimoine (18 avril-18 mai), a-t-on appris des responsables de la Direction de la culture et des arts.
L’Italie sera cette année l’hôte d’honneur du Festival du livre de Paris qui se tiendra du 21 au 23 avril 2023 au Grand Palais Ephémère, sur le Champs de mars.
Il se définit comme « écriveur», un artiste qui écrit beaucoup de lettres, qui aime à en écrire. Plasticien, graphiste, calligraphe, c’est peut-être tout cela.
L’exposition du patrimoine culturel immatériel africain a été inaugurée, mardi au palais de la culture Moufdi Zakaria à Alger, à l’occasion du lancement officiel des festivités du Mois du patrimoine (18 avril -18 mai).
Une exposition consacrée aux sites historiques Achir et Rapidum, situés respectivement dans les communes de Kef-Lakhdar et Djouab, à l’Est de Médéa, s’est ouverte, mardi, au musée des arts et des traditions populaires de Médéa, à l’occasion de la célébration du Mois du patrimoine (18 avril/18 mai), déclinée cette année sous le slogan «Le patrimoine culturel algérien et ses prolongements africains».
El khasser y khalass, tel est le nom de la toute première pièce du comédien et metteur en scène Djawed Bougrassa, qui a joué, dimanche soir dernier, à l’Institut français d’Oran. faveurs du public ces derniers jours.
Le prolifique pianiste américain Ahmad Jamal, connu pour sa reprise du titre Poinciana et son art du trio, est décédé dimanche à l’âge de 92 ans.
L’exposition Tajadith (Héritage ancestral) du jeune artiste plasticien, Sofiane Aït Ammar, qui fixe en dessin miniature bichrome (noir et blanc) la beauté et la richesse du patrimoine matériel et immatériel algérien, a été inaugurée, lundi, à la maison de la culture Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou.
A première vue, il n’y a aucun indice qui permette de supposer qu’Octavio Paz , Prix Nobel de Littérature 1990-dont nous célébrons, aujourd’hui, le 25 éme anniversaire de sa mort-, ait eu un quelconque lien avec l’Algérie.
Elégant comme à son habitude, à peine appuyé sur une canne, l’artiste Akli Yahiatène, 93 ans, a animé sa soirée-hommage, organisée dimanche par l’Opéra d’Alger à son honneur.
Alors que le programme des soirées spécial Ramadhan tire vers la fin, ce sont les one man shows qui ont les faveurs du public ces derniers jours.
La cérémonie de distinction des lauréats du prix «Cadets de la culture» dans sa 1re édition, baptisée du nom de l’écrivain Malek Haddad (1927-1978), s’est tenue dimanche au Centre international des conférences Abdelatif Rahal (CIC, Alger), à l’occasion de la Journée du savoir, célébrée le 16 avril.
Le ministère de la Culture et des Arts a nommé l’artiste Souad Bouali commissaire du Festival de la musique et de la chanson oranaise, a-t-on appris hier auprès de la direction du secteur de la wilaya d’Oran.
Super Mario Bros, le film est encore arrivé dimanche largement en tête au box office nord-américain, une performance qui pourrait être la meilleure de l’année.
La maison de la culture Rachid Mimouni de Boumerdès, qui a bénéficié de travaux de réhabilitation, a repris son activité, dimanche, à l’occasion de la célébration de la Journée du savoir.
A la faveur d’un concert, donné le week-end dernier à Alger, l’artiste Samira Brahmia-qui est installé en France depuis quelques années déjà, revient dans cet entretien sur son nouvel album « Awa ». Avec la spontanéité et la mesure du verbe qu’on lui connait, elle évoque également sa prochaine tournée en Algérie, prévue l’été prochain.
Viviane Candas vient de mettre son film L’Algérie du possible sur Internet, un documentaire qui nous concerne parce qu’il parle de notre histoire. A voir absolument avant qu’il ne disparaisse comme cela se produit sur le Net.
Voyage, un concert de musique à plusieurs stations, essentiellement conçu dans le genre andalou, a été animé samedi soir à Alger, par le ténor de l’école Sanaâ le professeur et chercheur, Noureddine Saoudi, devant un public relativement nombreux.
Un concert de musique aux consonances pop-jazz a été animé, vendredi soir à Alger, par Samira Brahmia, qui a galvanisé le nombreux public, avec un cocktail de pièces, authentique dans son contenu et ouvert sur les formes modernes de la World Music.
Des textes qui traduisent des sentiments de chagrin et de déception.