Artiste-peintre autodidacte, passionnée de littérature, de lectures philosophiques, de musique et de sculpture, Aya Bennacer a créé l’événement pour sa première apparition publique.
L’idée de l’introduction de l’Intelligence artificielle (IA) a jailli lors de l’une des journées d’étude, inscrite dans le programme de la célébration du mois du mois du patrimoine 2022, (18 avril -18 mai, ndlr), initiée par l’ENSCRBC (Ecole nationale supérieure de la conservation et la restauration des biens culturels) à Tipasa.
L’exposition ‘‘Rock el Casbah’’ rend hommage au regretté Rachid Taha, aux Puces de Saint-Ouen
Sous le titre Un seul héros le peuple – La contre-insurrection mise en échec par les soulèvements algériens de 1960, Mathieu Rigouste vient de faire paraître une nouvelle édition de son ouvrage, préfacé par Kaoutar Harchi avec une postface d’Elsa Dorlin. Mathieu Rigouste, né en 1981 à Gennevilliers, est sociologue, essayiste, chercheur indépendant en sciences sociales.
La ministre adjointe aux Affaires étrangères de la République fédérale d’Allemagne, Mme Katja Keul, en visite de travail en Algérie, a été reçue lundi à Alger par le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ramtane Lamamra. Lors de cette rencontre, un accord important en matière de coopération culturelle et scientifique a été signé.
C’est à guichets fermés que s’est déroulé le gala de Lounis Aït Menguellet, samedi soir à l’Olympia de Montréal devant un public enchanté et réceptif qui a retrouvé son idole pour une sacrée soirée, après une absence de la scène canadienne depuis 2017 imposée par la crise sanitaire mondiale de la Covid-19.
La ministre de la Culture et des Arts, Soraya Mouloudji, a procédé, dimanche à Alger, à l’installation de M. Tidjani Tama au poste de directeur du Centre national du livre (CNL), en remplacement de M. Lahcène Mandjour, chargé de la gestion provisoire de ce centre, indique un communiqué du ministère.
Dans cet entretien, Koussaïla Alik, docteur en linguistique amazighe et maître de conférences (HDR) au département de langue et culture amazighes de l’université Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou, aborde la question de la langue maternelle dans une société multiculturelle et multilingue.
Ta rose de pourpre, à ton clair soleil, O Juin, étincelle enivrée ; Penche aussi vers moi ta coupe dorée : Mon cœur à ta rose est pareil.
Le journaliste, chroniqueur du Soir d’Algérie et écrivain Hakim Laâlam a signé son nouveau roman intitulé R.I., Au nom du Père, du Fils et du Sain d’Esprit paru aux éditions Frantz Fanon, à la librairie du Tiers-Monde, place Emir Abdelkader, à Alger.
Ils étaient des centaines à faire la queue devant la porte du centre culturel Mustapha Kateb pour vivre le temps d’un après-midi aux couleurs et au senteurs de l’Europe .
C’est un homme inquiet, voire désespéré, qui nous a appelés pour nous lancer un appel au secours, un cri de détresse, un SOS.
Les deux invités de l’association culturelle Tassalast, organisatrice de la rencontre, au campus Aboudaou de l’université de Béjaïa, mardi dernier, avaient pourtant deux thèmes distincts, la première proposant de parler sur la face cachée de Mouloud Mammeri, une face méconnue par beaucoup de lecteurs, atteste Tassadit Yacine.
Souk Ahras a apporté à l’occasion d’une soirée musicale animée, mercredi, à la salle Tahar Ouettar, un énième indice de bonne santé de ses artistes. La troupe de l’atelier musical qui relève de ladite salle a eu le privilège de l’ouverture du spectacle et c’est tout en joie que le public lui a présenté sa révérence.
L’homme a connu une carrière d’une extrême richesse, entre malouf et musique moderne, durant laquelle il a brillé par un talent inimitable et une classe inégalable.
Il chantait Let’s get together and be all right, «Réunissons-nous et tout ira bien»... Vendredi, le souvenir de la légende du reggae Bob Marley et de ses messages d’unité a réchauffé un Sommet des Amériques par ailleurs émaillé de fausses notes.
Lors d’une exposition à Alger en 1979, le cinéaste Jean Pierre Lledo écrira sur le livre d’or: «Continue à t’exprimer». «Ç’a été un déclic pour un débutant comme moi», reconnaitra Kamel Khalfallah durant la rencontre intime et privée, organisée, mercredi dernier, par l’association «Jijel antique» pour l’honorer à l’occasion de la célébration de la Journée nationale de l’artiste.
Dans l’entretien accordé à El Watan, Mouanis Bekari nous parle de son roman Le testament de Jugurtha, publié aux éditions Gaïa. Le récit servi par un style classique brillant est agrémenté d’une préface du poète Amin Khan, d’un préambule et de notes explicatives. L’auteur, interrogé sur les sources sur lesquelles il s’est appuyé pour écrire son roman, nous dit sans ambages : «Mon but n’est pas d’avoir raison, mais d’ouvrir un débat plutôt tombé en désuétude depuis Jean Amrouche et Mohamed Chérif Sahli. Tout se passe comme si la figure de Jugurtha avait été figée par un consensus académique qui, tout en lui reconnaissant des qualités exceptionnelles, s’accorde sur son ambition immodérée, son hubris dirait Salluste, et sur le juste châtiment qui l’a sanctionné. Or, c’est précisément parce qu’il n’y a pas de sources inédites que l’on est en droit de contester celles qui fondent la doxa sur Jugurtha»
Dans le cadre de la numérisation des activités du Théâtre régional de Constantine (TRC) Mohamed Tahar Fergani, l’administration de ce dernier vient de lancer sa nouvelle action d’archives des parcours des comédiens.
«La musique donne une âme à nos cœurs et des ailes à la pensée.» Platon C’est la fulgurante ascension du parcours exceptionnel de Cheikh Amar Ezzahi, une véritable icône sublimée par la jeunesse qui vient d’être projetée en un ouvrage au titre éloquent d’expressivité de Cheikh Amar Ezzahi ou l’éclat juvénile de la chanson châabie sous la plume de l’écrivain de renom du patrimoine musical Abdelkader Bendameche.