Accueilli au Théâtre national Mahieddine Bachtarzi (TNA), le spectacle s’est déroulé en présence de la ministre de la Culture, Soraya Mouloudji, du conseiller auprès du président de la République, chargé de la culture et de l’audiovisuel, Ahmed Rachedi, ainsi qu’une délégation mixte de hercheurs et universitaires algériens et étrangers qui participent au colloque sur la «Résistance culturelle en Algérie durant la guerre de Libération».
Le Théâtre régional Abdelkader Alloula d’Oran a produit cette année cinq nouvelles œuvres artistiques, a-t-on appris auprès de cet établissement culturel.
En «réunissant» de nouveau les quatre artistes, ou encore en revisitant les dernières œuvres de Paul McCartney avec sa voix de jeunesse, ces créations mettent en évidence les récentes avancées technologiques, tout en soulevant une ribambelle de questions éthiques et légales.
Au cœur de la ville des lumières, le pays de Mahmoud Darwich expose sa vitalité créative avec une scène contemporaine qui n’a rien à envier aux aînés.
Pour la première fois de sa carrière, Louisa Nadour, cette poétesse franco-algérienne qui n’est plus à présenter, a rencontré son public lors d’un bref séjour oranais.
Durant plus de 60 ans de carrière, Ahmed Benyahia a beaucoup marqué l’histoire culturelle en Algérie et à Constantine. L’homme, qui a fêté ses 80 ans, le 11 mai dernier, garde encore un esprit jeune par son dynamisme, son élégance, ses costumes et ses nœuds papillon.
Sous le thème «La résistance culturelle en Algérie durant la Révolution, une lutte pour la libération », ce colloque, organisé sous le patronage du Premier ministre, Aïmene Benabderrahmane, connaîtra la participation d’universitaires, d’historiens, de chercheurs et d’artistes d’Algérie, de Palestine, d’Egypte, du Qatar, de Jordanie, d’Italie, du Nigeria, de la Serbie, et d’autres pays.
La caravane cinématographique a séjourné durant trois jours à partir du 1er juin, Journée de l’enfance, avec au programme la projection de 6 long métrages d’animation et d’autres films à caractère informatif concernant les droits de l’enfant (réalisé sous l’égide l’Unicef), la sensibilisation sur l’importance de l’eau, la nécessité de sauvegarder et de prendre soin de la planète, etc.
Surprise : alors que la 14e édition de la nuit blanche était attendue à Oran le premier samedi du mois d’octobre — comme cela se fait chaque année —, elle s’est vu cette année avancer de quelques mois pour se tenir en juin.
La wilaya de Khenchela accueillera, du 16 au 19 juin, la 11ème édition du Festival national du théâtre pour enfants, a indiqué, samedi, le commissaire du festival, Tarek Acheba.
Placée sous le parrainage de la ministre de la Culture et des Arts, le Dr Soraya Mouloudji, cette 5e édition aura lieu du 12 au 15 juillet prochain au palais de la culture Moufdi Zakaria. Organisé par l’agence BroshingEvents, l’Algé’Rire Festival sera inscrit sous le signe de «L’Algérie aux cœurs».
Accueillie à l’Institut supérieur des métiers des arts du spectacle et de l’audiovisuel (Ismas), l’ultime répétition de cette belle performance, conçue par le dramaturge et metteur en scène, Omar Fetmouche, prélude à la participation de ce spectacle inédit, aux Xe Olympiades du Théâtre, ouvertes depuis le 15 avril dernier et s’étalant jusqu’au 15 juillet prochain à Budapest (Hongrie).
Les Algérien (ne) s ne sont pas très difficiles et semblent bien organisés, ils et elles aiment le cinéma, pendant l’année, et la télévision, mais seulement pendant le ramadan. Ils ne sont pourtant pas les seuls, dans tout le monde musulman, c’est pendant le ramadan, après le ftour, qu’on suit les dernières réalisations TV, après manger il faut bien voir, ce qui semble donner à toutes ces représentations une fonction purement digestive.
Une manifestation intitulée «Journées d’histoire et image d’Algérie» est attendue du 5 au 7 juillet dans la ville de Porto (Portugal) à l’occasion de la célébration du 61e anniversaire de l’indépendance, a-t-on appris à Oran auprès de l’Association d’amitié luso-algérienne des arts et de la culture, initiatrice de l’évènement.
Le plus Algérien des Brésiliens était de retour à Cannes cette année. Karim Aïnouz avec Firebrand met en scène rien de moins que Jude Law pour un biopic sur la sixième épouse du Roi Henri VIII. Déjà sélectionné à Cannes pour son autofiction autour de ses racines algériennes O marinheiro das montanhas (Le Marin des montagnes), où, de père algérien et de mère brésilienne, revient sur ses terres.
A la caméra pour Les jours d'avant, moyen métrage sélectionné entre autres au Festival de Locarno et du long métrage En attendant les hirondelles, sélectionné à Cannes, il vient de réaliser une série TV pour le ramadan 2023, Aïn el Djenna, sur un scénario original d’Oussama Benhassine et prépare son prochain film adapté du roman de Samir Toumi L'effacement, paru en 2016 aux Editions Barzakh, Alger. C’est tout ? Non, Karim Moussaoui est aussi producteur, du jeune Lamine Ammar-Khodja qui va sortir son nouveau film Houbla, déjà auteur de Demande à ton ombre en 2012, film présenté au MoMA à New York.
ABOU LEILA Pour ceux qui ne l’ont pas encore vu, il reste une séance le 4 juin à 15h au cinéma El Sahel de Chéraga, Alger, pour le film d’Amin Sidi Boumediene Abou Leïla. Ce premier long métrage sorti en 2019 du réalisateur qui avait déjà fait un remarquable court métrage Al Jazira, produit par Thala Films, rassemble autour d’un road movie sur les séquelles du terrorisme, les acteurs Lyes Salem, Meriem Medjkane et Samir El Hakim. Passé presque inaperçu en raison de la pandémie Covid, ce film a reçu plusieurs distinctions internationales dont le prix Nouvelle vague du Festival de Séville, le prix de la critique au Festival du cinéma méditerranéen de Montpellier, le prix de la critique au Festival du cinéma méditerranéen de Montpellier et il a été en compétition pour la Caméra d’or au Festival de Cannes 2019 dans la section Semaine de la critique.
L’ouvrage «Mémoire culinaire de l’Algérie. Histoire de recettes» de Yasmina Sellam, édité par l’ANEP en 2022, vient de recevoir à Umea (Suède) le Premier prix, dans la catégorie «Histoire culinaire», du prestigieux « Gourmand World Cookbook Awards», qui récompense chaque année les meilleurs livres de cuisine, un concours disputé par plusieurs pays des quatre coins du monde.
Les élèves de l’école primaire, baptisée du nom du Docteur en médecine, Youcef Damerdji (1929-1958), natif de Miliana, qui avait rejoint le maquis en 1956 et tombé au champ d’honneur à Saïda le 19 août 1958, avaient célébré d’une manière inhabituelle la fête du 1er juin.
Nassim Herkat est ingénieur culturel et depuis 2017 créateur #kabtihkayti, une plateforme qui consiste en des carnets de voyage culturel sur les réseaux sociaux : façon singulière de vulgariser et de valoriser le patrimoine algérien. Dans le cadre de sa thèse en Sciences humaines et sociales, l’intervenant a voulu partager son travail de recherche mené à Mila en 2022, et ce, en collaboration avec l’Agence algérienne pour le rayonnement culturel (AARC).