Alors que les prix du pétrole connaissent depuis trois semaines une tendance baissière en dépit de la réduction de la production Opep+, et des facteurs géopolitiques dont la guerre menée par l’entité sioniste en Palestine, le ministre saoudien de l’Energie estime que ce sont «les spéculateurs pétroliers qui sont à l’origine de la baisse la plus récente des prix du pétrole».
L'OPEP est prête à accueillir le Brésil, devenu un exportateur important de pétrole, s’il souhaite rejoindre l’Organisation, selon les déclarations du secrétaire général de l'Opep. «Aujourd'hui, le Brésil est devenu l'un des plus grands exportateurs. Le pays a arrêté d'acheter du brut sur le marché international.
Le groupe Sonatrach et son partenaire espagnol Naturgy seraient parvenus à finaliser un accord sur le prix du gaz pour 2023 et 2024, suite à des négociations ardues qui se poursuivent depuis plus d’une année, la hausse des cours du gaz ayant rendu difficile un compromis satisfaisant pour les deux parties.
L’Arabie Saoudite et la Russie ont déclaré qu’elles s’en tiendraient à des réductions volontaires supplémentaires de leurs productions pétrolières jusqu’à la fin de l’année, maintenant ainsi le resserrement de l’offre. L’Arabie Saoudite a confirmé qu’elle poursuivrait sa réduction volontaire supplémentaire d’un million de barils par jour (b/j) en décembre pour maintenir sa production à environ 9 millions de b/j, a indiqué une source au ministère saoudien de l’Energie dans un communiqué répercuté par Reuters.
Le gaz naturel continuera à jouer un rôle clé dans la sphère énergétique, pendant les décennies à venir, et devrait être nécessaire pour la transition énergétique ont notamment souligné les intervenants lors d’une session plénière de la conférence OGT 2023 qui s’est tenue au Turkménistan la semaine dernière.
Les prix du pétrole fluctuent énormément ces derniers jours, soumis aux effets contradictoires des taux d’intérêt élevés - qui ont déclenché une vente massive la semaine dernière - et de la prime de guerre au Moyen-Orient. Les hausses de taux d’intérêt visant à maîtriser l’inflation peuvent ralentir la croissance économique et réduire la demande de pétrole, tandis que les baisses de taux visant à stimuler les dépenses pourraient accroître la consommation de pétrole.
Le géant énergétique allemand Wintershall Dea qualifie l’Algérie de source gazière clé pour l'Europe. S'adressant, lundi, aux journalistes après la publication des résultats du troisième trimestre de l'entreprise, le PDG de Wintershall Dea, Mario Mehren, et le directeur financier, Paul Smith, ont mis en relief les opportunités de partenariat dans le domaine gazier en Algérie et les perspectives de son développement dans le cadre du renforcement des exportations vers l’Europe.
Dans un contexte de controverses sur l’évolution de la demande de pétrole pour les années à venir, des opérations de méga fusions acquisitions entre majors pétrolières semblent prouver que des acteurs clés du marché continuent de miser sur les hydrocarbures et à en accroître la production, malgré les appels à se passer progressivement des énergies fossiles considérées comme les principales responsables du réchauffement climatique.
Le PIB de l’Algérie a retrouvé son niveau d’avant la pandémie en 2022, tandis que les prix élevés du pétrole et du gaz ont permis une amélioration marquée de ses soldes extérieurs et budgétaires.
Les prix du pétrole ont nettement augmenté en cours de cotation hier, alors que des informations, selon lesquelles l’armée américaine a mené des frappes en Syrie, donnent des indices d’une aggravation de la situation au Moyen-Orient, ce qui pourrait avoir un impact sur l’approvisionnement en provenance de cette région productrice-clé.
Le rapport de l’AIE, qui conseille les pays industrialisés, contraste avec le point de vue du groupe de producteurs de pétrole, l’Organisation des pays exportateurs de pétrole, (OPEP), qui prévoit une augmentation de la demande de pétrole bien après 2030 et appelle à des milliers de milliards de nouveaux investissements dans le secteur pétrolier.
Elaboré par l'Union internationale du gaz (IGU), la Snam et son partenaire Rystad Energy, le rapport mondial sur le gaz 2023 précise que «le marché mondial du gaz se trouve toujours dans un équilibre instable en 2023».
Les entretiens ont notamment porté sur les contrats liant les deux compagnies dans le domaine «des hydrocarbures, de l’hydrogène et des énergies nouvelles et renouvelables, ainsi que sur les opportunités d’investissement pour l’augmentation de la production et des exportations».
Le président russe, Vladimir Poutine, a déclaré, hier, que la coordination au sein de l’OPEP+, alliance des principaux producteurs de pétrole, continuerait à garantir la prévisibilité des marchés pétroliers. «Pour la stabilité du marché pétrolier, l’interaction des principaux fournisseurs est nécessaire, et dans des conditions ouvertes et transparentes.
La 15e édition du Salon Alger industries, inaugurée hier à la Société algérienne des foires et exportations (Safex), par le directeur de la compétitivité industrielle, au ministère de l’Industrie et de la Production pharmaceutique, Karim Djellili, est caractérisée – malgré une conjoncture économique défavorable au plan international et une relance industrielle qui peine à émerger au plan national –par la participation de représentants d’une dizaine de pays étrangers.
Alger Industries, le Salon phare du secteur industriel, s'ouvre aujourd'hui à Alger, dans sa 15e édition. Il se poursuivra jusqu'au 12 octobre au Palais des Expositions de la SAFEX à Alger, sous le haut Patronage du ministère l'Industrie et de la Production pharmaceutique.
Les deux parties ont exprimé leur volonté d’explorer la possibilité d’établir un accord de coopération sur l’hydrogène afin d’identifier des actions concrètes et des projets dans ce domaine de partenariat.
Le Comité ministériel conjoint de suivi (JMMC) de l’OPEP+, qui s’est réuni hier, par visioconférence, pour examiner l’évolution du marché pétrolier, a opté pour le statu quo. Les membres du comité, dont l’Algérie, n’ont ainsi recommandé aucun changement à la politique actuelle de production pétrolière de l’Alliance.
Le ministre a insisté sur les principales missions confiées par les pouvoirs publics à Sonatrach, expliquant qu’il s’agissait notamment d’«augmenter la production nationale».
Le Comité ministériel de suivi OPEP et non OPEP (JMMC), dont l’Algérie est membre, se réunira le 4 octobre, par visioconférence, pour examiner le respect des engagements de réduction de la production des pays OPEP+ et évaluer la situation du marché pétrolier mondial.