Le défi de l’export pour l’industrie céramique nationale a été au centre du débat soulevé hier, à Alger, dans le cadre du séminaire «ALGERCERAMICA» consacré à la thématique de la valorisation et de la promotion de l’industrie nationale de carreaux céramiques destinés aux marchés national et international.
L’Algérie continue d’être le principal pays fournisseur de gaz à l’Espagne, avec 28,7% du total, (106 275 GWh) devant les Etats-Unis et la Russie, en dépit d’un recul des exportations algériennes enregistré au mois de novembre, au profit des Etats-Unis qui continuent leur offensive pour placer leur GNL en Europe, en profitant des sanctions imposées à la Russie.
Les pays de l’alliance Opep+, dont l’Algérie, envisagent une reconduction de leur décision de réductions volontaires au-delà du mois de mars prochain, si les conditions du marché l’exigent, indique le ministre de l’Energie et des Mines. «Le ministre Mohamed Arkab a informé que l’OPEP et ses partenaires de la Déclaration de Coopération demeurent extrêmement vigilants et attentifs à l’évolution des fondamentaux du marché pétrolier à court terme.
L’ancien ministre de l’Energie, Sadek Boussena, estime que les questions pétrolières et gazières nationales ne relèvent pas uniquement d’équations économiques et techniques, car selon lui, «les bonnes réponses ne peuvent émaner que d’un débat politique en vue d’asseoir le plus large consensus possible autour de mesures et de réformes dont certaines sont certes complexes et difficiles à entreprendre mais urgentes à traiter».
Le froid qui caractérise les relations diplomatiques algéro-espagnoles et son impact sur le volet économique poussent de nombreuses entreprises espagnoles à contourner les obstacles d’exportation de leurs produits, en passant par des entreprises intermédiaires au Portugal, et en y créant des filiales.
Les cours du pétrole ont entamé la semaine de cotation en forte instabilité. Après avoir augmenté à l’ouverture de la première séance de la semaine, les prix ont nettement chuté hier, en dépit des réductions volontaires équivalentes à plus de 2 millions de barils jour, annoncées par plusieurs pays membres de l’alliance Opep+, dans le sillage de la réunion tenue en mode virtuel jeudi.
Le secrétariat de l’OPEP a noté l’annonce par plusieurs pays de l’OPEP+ de réductions volontaires supplémentaires pour un total de 2,2 millions de b/jour.
Le Brésil, le plus grand producteur de pétrole d’Amérique du Sud, rejoindra l’alliance OPEP+ à partir de janvier 2024, et permettra ainsi de renforcer les rangs du groupe de producteurs et de soutenir son rôle et son influence sur le marché, selon un communiqué de l’OPEP.
Tout en gardant un œil sur les avancées des discussions à Dubaï, les membres de l’OPEP+ se concentreront aujourd’hui sur la politique pétrolière pour 2024, tout en s’assurant de maintenir la cohésion de ses rangs et de trouver un compromis avec certains de ses membres africains autour des quotas.
L’Opep et l’AIE se sont affrontées à plusieurs reprises sur des questions telles que les perspectives de demande de pétrole à long terme.
Le report de la réunion de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et ses alliés, du 26 au 30 novembre, aurait permis de rapprocher certains points de vue sur la stratégie à adopter en 2024.
Le groupe Sonelgaz exporte annuellement plus de 500 MW d’électricité vers la Tunisie. Le PDG de Sonelgaz a souligné, il y a quelques mois, que son groupe a exporté «une quantité importante d’électricité vers la Tunisie, même dans les conjonctures exceptionnelles liées à la demande locale en électricité qui a atteint son pic durant l’été 2023».
L’alliance Opep+ a décidé de reporter sa réunion, initialement prévue le 26 novembre à Vienne, en Autriche, au jeudi 30 novembre en mode virtuel.
Le groupe Sonatrach et la société énergétique publique turque Botas ont signé un accord portant sur le renouvellement, pour trois ans, de leur contrat d’achat et de vente de gaz liquéfié.
Les marchés mondiaux du gaz et du GNL demeurent vulnérables face aux facteurs géopolitiques, notamment après la saisie d’un cargo israélien, et ce, en dépit d’une offre actuellement suffisante et de niveaux de stockages jusqu’à présent préservés par un climat plutôt clément pour la saison, notamment en Europe.
Après une forte volatilité observée depuis un mois environ, les prix du pétrole se sont stabilisés en ce début de semaine dans le sillage d’informations faisant état de probables nouvelles réductions de la production de l’OPEP et ses alliés, lors de leur réunion prévue dimanche prochain.
Les prix du pétrole étaient en voie de se clôturer hier, leur quatrième semaine consécutive de pertes après avoir chuté jeudi d’environ 5% pour atteindre un plus bas niveau en quatre mois. Une situation inattendue au vu de la stratégie de régulation adoptée par l’Opep+ et les réductions volontaires supplémentaires mises en place par l’Arabie Saoudite et la Russie.
L’Agence internationale de l’énergie (AIE) a relevé ses prévisions de croissance de la demande de pétrole pour cette année et l’année prochaine, dans son rapport mensuel consacré à l’évolution du marché de l’or noir. L’AIE rejoint ainsi le point de vue de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) qui a, dans son rapport mensuel, publié lundi ses prévisions de croissance de la demande de pétrole pour l’année en cours.
L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) a encore une fois fait fi du pessimisme exprimé notamment par l’Agence internationale de l’énergie (AIE) – qui défend les intérêts des pays de l’OCDE –, en tablant sur une demande robuste en 2023- 2024 et un marché pétrolier solide, tout en imputant la baisse actuelle des prix du brut à la spéculation.
L'Algérie, a fourni 46,5% du gaz consommé en Espagne en octobre, consolidant ainsi sa première place de fournisseur de gaz de l'Espagne durant l’année en cours avec 28,8% du total, suivie par les Etats-Unis (20,1%) et la Russie (18,1%).