A son premier jour, l’opération a vu la collecte de tonnes de déchets, dont en majorité des objets que les citoyens jettent au quotidien, sans se soucier de leurs effets sur l’environnement.
A son premier jour, l’opération a vu la collecte de tonnes de déchets, dont en majorité des objets que les citoyens jettent au quotidien, sans se soucier de leurs effets sur l’environnement.
Le boulevard longeant la plage El Mordjane connaît une animation qui dure jusqu’à une heure tardive de la nuit.
La wilaya compte plusieurs lieux qui représentent un véritable danger pour les riverains, en raison des risques de crues et d’inondations.
De nombreuses associations trouvent d’énormes difficultés pour faire face aux dépenses inhérentes à la prochaine saison sportive.
Il y a des choses qui se passent sur nos plages et qui échappent à l'entendement. Durant ce mois d’août, des scènes ont choqué les estivants présents sur une plage de la ville d’El Kala dans la wilaya d’El Tarf, quand de jeunes nageurs, inconscients du danger qui les guette, ont défié les surveillants des plages qui leur ordonnaient de sortir de l’eau par une mer très agitée, alors que la baignade était interdite.
Les passagers réclament un projet d’aménagement et d’élargissement des lieux pour accueillir un plus grand nombre de véhicules.
Pour les spécialistes, qui connaissent bien l’importance de ce patrimoine, il faut plutôt penser à protéger et préserver ces lieux contre tous les actes d’incivisme et de vandalisme.
La population de la wilaya de Bordj Bou Arréridj a été surprise dans l’après-midi de mercredi 16 août par des pluies diluviennes qui se sont abattues sur toute la région vers 17h, provoquant des torrents d’eau et de boue.
L’opération se déroule selon une cadence jugée bonne dans certaines régions, et entre moyenne et faible, dans d’autres.
En visite dans la wilaya, le ministre de l’Intérieur, Brahim Merad, a exprimé son insatisfaction quant au taux d’avancement des projets et de la consommation des budgets alloués.
Les habitants de la ville réclament des projets de développement, mais aussi un hôpital, une gare routière, un marché de gros, des espaces verts et des lieux de distractions.
Les pertes ont été évaluées à plus de 26 200 oliviers, et plus de 13 000 arbres fruitiers, sans compter 29 serres, dont 18 réservées à l’aviculture et 11 pour l’agriculture, ainsi que 1577 ruches.
L’état actuel de cette artère stratégique donne une mauvaise image de la ville, un constat que se font quotidiennement les milliers d’automobilistes qui la traversent, notamment parmi les étrangers.
Mekka Saïdani avait le trac en cette chaude journée du mois de juillet. Elle qui expose pour la première fois en public dans la belle salle de l’Institut français d’Algérie à Constantine.
Trois années passées à la tête de l’Institut français d’Algérie à Constantine ont suffi pour lui assurer un capital de respect et d’estime de la part du public de cet établissement. Charlotte Aillet, puisque c’est d’elle qu’il s’agit, est une directrice pleine d’énergie, de vivacité et d’enthousiasme. Elle a su gagner toute la sympathie au point de devenir «Constantinoise par adoption».
Le chef de la daïra de Mila, Nouredine Hamlaoui, a été chargé par le wali, Mostepha Koraiche, de gérer les affaires courantes de la commune du chef-lieu, en application de la décision prise, au courant de la semaine dernière, en raison du blocage qui perdure au sein de l’assemblée communale.
L’étudiante Imen Mouzaoui, du département de littérature et de langue anglaise de l’université Frères Mentouri de Constantine, vient d’obtenir le label pour son application conçue pour l’apprentissage de la langue anglaise à l’occasion de sa soutenance de son mémoire de Master durant le mois de juillet. Une première pour ce genre de spécialité à l’université de Constantine.
Les habitants de la troisième tranche de la cité Boussouf, située dans la banlieue ouest, non loin de la RN5, à 5 km de la ville de Constantine, ne cessent de crier leur ras-le-bol, en raison de la dégradation déplorable de leur cadre de vie.
Le projet de réhabilitation du vieux bâti à l’avenue Didouche Mourad, plus connue par les Arcades, en plein centre-ville de Skikda, semble tourner au fiasco. Le constat de la wali, Houria Meddahi, révélé lors d’une journée d’études sur le vieux bâti, organisée par l’OPGI au palais de la culture Malek Chebel, est sans appel.