Les sorties inopinées du wali de Skikda, Houria Meddahi, dans les établissements de santé ne cessent de révéler de nombreuses défaillances de gestion et de fonctionnement.
Bien des choses ont été dites sur la relation qu’entretiennent les Algériens avec le livre, et la lecture en général. Un sujet qui continue de susciter les débats. Durant des décennies, on s’est posé la question, devenue lancinante : «Les Algériens lisent-ils ?» Est-ce qu’ils le font souvent ou seulement durant le Salon international du livre d’Alger ? Le SILA est-il un baromètre pour mesurer l’importance et l’impact de cet intérêt ?
Dans le but de promouvoir et développer la recherche scientifique au niveau de la ville universitaire de Batna qui comprend les universités Batna 1, Batna 2, l’Ecole nationale des énergies renouvelables et suite aux instructions du wali Mohamed Ben Malek, une convention de partenariat et de coopération a été signée entre les responsables de l’université Batna 2, Mustapha Benboulaid, et l’université de Tunis El Manar.
Instauré comme un rendez-vous culturel qui prend de l’importance à la Bibliothèque principale de la lecture publique Mustapha Nettour de Constantine, le Forum du livre a été marqué dans sa deuxième édition du 14 octobre par un débat passionné et passionnant en présence de deux invités qui se rejoignent dans plusieurs volets et semblent avoir bien accorder leurs violons.
Les passionnés du 7e art étaient bien chez eux à la cinémathèque Ennasr, par cette journée ensoleillée du mercredi. Ils n’en pouvaient pas l’être autrement.
Qualifiée de cinquième roue de la charrette, la culture en Algérie vit encore une situation peu enviable, et ce sont les femmes et les hommes ayant servi cette culture qui en font les frais. Leur tort est d’avoir sacrifié des années de leur vie pour l’art de leur pays.
Le match amical entre l’Algérie et le Cap-Vert, prévu aujourd’hui à partir de 20h, au stade Chahid Hamlaoui de Constantine, anime déjà les débats au sein de la population, non pas sur le plan sportif, mais au sujet des mesures prises par les autorités de la wilaya, et qui suscitent déjà des inquiétudes.
Bouzid Temtem est un artiste à l’esprit éveillé. Sa tête est bouillonnante d’idées. Il touche à tout. Il ne cesse d’expérimenter de nouveaux moyens d’expression et il l’a déjà montré à diverses occasions. Pour lui, l’art est vaste comme l’espace.
Le vol des câbles électriques dans les différentes unités de voisinage de la nouvelle ville Ali Mendjeli, commune d’El Khroub (wilaya de Constantine) est devenu une spécialité que des bandes organisées semblent avoir bien étudiée. Des cas de vols des câbles alimentant le réseau d’éclairage public sont souvent signalés.
Des laboratoires algériens, qui travaillent sur ce domaine pointu et très vaste, arrivent à produire des recherches intéressantes et peuvent faire beaucoup de choses, car ce n’est pas vraiment de l’utopie.
Durant toute la journée d’hier, l’espace qui lui a été consacré a accueilli des centaines d’écoliers, de collégiens, de lycéens et d’étudiants venus de plusieurs communes de la wilaya de Constantine.
Le tronçon de la wilaya d’Oum Bouaghi faisant partie du projet du chemin de fer reliant la ville de Aïn Beida à la wilaya de Khenchela sur une distance de 51 km sera réceptionné vers la fin de l’année», a assuré Aissa Aissat, le wali d’Oum El Bouaghi en marge de la visite effectuée jeudi 5 octobre dans les communes de Fkirina et Zorg.
Philatéliste passionné et collectionneur de longue date, bien connu grâce à ses nombreuses expositions à l’échelle nationale, Allaoua Seghiri ne rate pas un événement pour faire connaître la fabuleuse histoire du timbre poste algérien. Des faits qu’il a toujours cherché à apprendre aux profanes et transmettre aux jeunes générations.
Le feuilleton «fleuve» de l’autoroute Est-Ouest est loin d’être terminé. C’est un constat qui s’impose. Dix-sept ans après son lancement officiel, suite à la décision prise par l’Etat de la financer par des deniers publics, et sans compter les premiers tronçons déjà entamés dans les années 1990, «le projet du siècle» fera encore parler de lui.
L’importance des assurances contre les risques en milieu industriel, dont les conséquences peuvent mener à l’arrêt des activités des entreprises, sans compter leurs effets financiers et la difficulté de reprendre la production, a été mise en évidence, hier, lors d’un séminaire organisé par la compagnie Cash Assurances à l’hôtel Marriott de Constantine, au profit des chefs d’entreprise de la région est du pays, avec pour thème «L’assurance, outil de la gestion des risques».
Un important programme d’attribution de 3000 logements, toutes formules confondues dans la wilaya d’El Tarf, avec une grande partie pour les logements locatifs et ceux du type AADL, est en cours de préparation pour ce mois d’octobre, en prévision de la célébration du 69e anniversaire de la Révolution.
Le projet de réalisation de 1440 logements publics locatifs (sociaux) à Azzaba, dans la wilaya de Skikda, vient d’être relancé après un arrêt de 11 ans.
Ils attendent le jour de la réception de leurs logements depuis 14 ans. Les souscripteurs au projet des 60 logements socio-participatifs (LSP), réalisés par la SARL Welfare- Promotion et gestion immobilière- à l’UV18 de la nouvelle ville Ali Mendjeli, dans la daïra d’El Khroub (wilaya de Constantine), sont au bout du rouleau. «Nous avons conclu des actes notariés avec la Sarl Welfare - Promotion et gestion immobilière pour l’acquisition de logements du type LSP et nous avons payé toutes les tranches fixées dans les contrats, mais nous attendons toujours de bénéficier de ces logements depuis 2008», soutiennent les concernés dans une requête adressée au wali de Constantine.
La fin de la situation de blocage, qui a duré 14 ans à l’union de wilaya de l’UGTA de Constantine, vient d’avoir des répercussions sur les différentes structures.
On ne présente plus Mohamed Dib. On le lit pour apprécier son style inimitable.