Petite station balnéaire relevant de la commune de Thénia avant 1984, Boumerdès est devenue aujourd’hui une des villes les plus attractives du pays. Très prisée pour sa position géographique (proche de la mer et de la capitale), cette ville grandit de jour en jour, subissant ainsi de profondes mutations en moins de vingt ans.
Certaines cités résidentielles des villes de Boumerdès et de Corso sont devenues des lieux de pâturage pour des chevaux. Il n’est pas rare de voir des étalons déambuler entre les blocs d’habitation à la recherche de leur pitance.
Considéré comme une des plaies de l’espace urbain aux Issers, le marché informel jouxtant la zaouïa Abderrahmane Thaâlibi est loin d’être éradiqué.
La lutte contre les réseaux de délinquance s’intensifie à Boumerdès. Comme à la veille de chaque saison estivale, plusieurs opérations coups-de-poing ont été menées ces derniers jours par la police dans les sites infestés par les délinquants afin de garantir la sécurité des vacanciers, a-t-on précisé dans un communiqué de la sûreté de wilaya.
Des citoyens du village agricole Boudjellal El Ghorf, dans la commune de Naciria, alertent les autorités quant aux risques de contamination de l’eau potable par les eaux usées.
Perché sur la rive nord de Chabet El Ameur, Aït Saïd accuse un énorme retard en termes de développement. La route, qui y mène, est dans un état catastrophique. «Même les tracteurs et les camions-citernes évitent cet axe quand on les sollicite pour nous approvisionner en eau.
Lors de sa récente visite d’inspection dans la commune de Bordj Ménaïel, le wali de Boumerdès s’est montré très critique à l’égard des responsables locaux et certains entrepreneurs.
Le programme des 100 locaux commerciaux réalisés à Souk El Had a été un véritable fiasco. Destinés aux artisans, ces locaux sont livrés totalement à l’abandon.
Les projets de logement LPA/LSP inscrits au profit des localités de la wilaya de Boumerdès connaissent des blocages insurmontables.
Considéré comme la clé de réussite dans la vie professionnelle, la formation suscite l’intérêt de beaucoup d’artisans de la wilaya de Boumerdès. Si elle est l’atout de certains d’entre eux, elle constitue aussi un sérieux handicap quand elle fait défaut chez d’autres.
Initialement prévue pour le mois de mai dernier, la mise en service de la station de dessalement de l’eau de mer de Corso a été différée encore une fois à cause des retards enregistrés dans sa réalisation. En mars dernier, le wali de Boumerdès a assuréque «toutes les dispositions ont été prises pour la réception de ce projet dans les délais contractuels».
Connue pour sa propreté et le degré de civisme de ses habitants, la cité des 408 logements de Boumerdès a été sacrée meilleur quartier de la wilaya à deux reprises. Ce fut en 2018 puis en 2019 à la faveur de concours visant à faire participer les citoyens dans l’effort de protection de l’environnement.
Les habitants de certaines localités de la wilaya de Boumerdès ont vécu hier une journée particulièr. Beaucoup de cités de la région ont frôlé la catastrophe à cause des eaux de pluie mais aussi de l’anarchie caractérisant le tissu urbanistique.
Après diverses expériences, les pouvoirs publics se rendent compte que la concession des plages n’est pas une mauvaise idée. Gelé en 2016, ce mode d’exploitation des plages sera de retour dès cet été.
La commune de Hammadi a bénéficié d’une enveloppe financière de 66 millions de dinars dans le cadre du plan communal de développement (PCD) de l’année en cours.
Plusieurs villes de la wilaya de Boumerdès continuent de déverser les eaux usées dans la nature. C’est le cas de Naciria, une localité de près de 25 000 habitants qui ne compte aucune station de relevage ou d’épuration des eaux usées.
Le blocage à l’APC de Boudouaou n’est pas sans impact sur le vécu de la population. A Hlaïmia, sur les hauteurs de la ville, les habitants évoluent dans des conditions lamentables. Les dernières chutes de pluie ont rendu l’accès difficile vers plusieurs quartiers.
Après des années de laxisme et de tergiversation, les autorités de la commune de Boumerdès sortent enfin les grands bulldozers contre le chancre des bidonvilles. Cette localité balnéaire compte encore plus de 200 taudis, dont une grande partie est située à Figuier, précise un élu à l’APC.
800 logements ont été attribués cette année dans le cadre du programme social, précise le P/APC, soulignant que 2000 demandes sont encore en instance. Les exclus du relogement exigent une enquête sur la liste des attributaires.
Juste une autorisation administrative, c’est ce que réclament les exploitants des terres agricoles longeant le bas Sébaou pour pouvoir utiliser les eaux de l’oued dans l’irrigation. Grâce aux dernières précipitations, ce fleuve a repris timidement et momentanément son cours.