La consommation de drogues est un des principaux facteurs de risque de survenue d’un accident vasculaire cérébral.
La station de dessalement de l’eau de mer (SDEM) de Cap Djinet, dans la wilaya de Boumerdès, a été raccordée au réseau de distribution de Taksebt. «L’opération a pris cinq jours et a été réalisée par des entreprises et des compétences 100% algériennes.
La lutte contre les réseaux de vente de psychotropes, dans la wilaya de Boumerdès, ne connaît pas de répit.
La situation des haouchs ou les anciennes fermes coloniales recensés dans la wilaya de Boumerdès sera bientôt régularisée. C’est ce qu’a affirmé Fella Adjaz, directrice de l’antenne locale de l’Office national des terres agricoles (ONTA), en invitant les agriculteurs concernés par ce problème à déposer leurs dossiers en vue d’obtenir les actes de concession.
Les habitants des villages d’Iwaryachen, Ait Slimane et Ihmaden, sur les hauteurs de Naciria, parcourent plus de 15 km pour une simple consultation médicale. «Dans les années 1980, on était mieux qu’aujourd’hui.
Les habitants de Draâ Zmam, au sud de Corso (Boumerdès), sont confrontés à une myriade de difficultés. Pour rallier la localité, les villageois doivent faire un détour via Boudouaou et emprunter une route à la limite du praticable.
Beaucoup d’écoles primaires n’ont pas de directeurs, les CEM et les lycées manquent plutôt d’adjoints d’éducation.
La commune de Sidi Daoud ne compte officiellement plus de chalets. Les derniers occupants de ces habitations provisoires qui remontent au séisme de 2003 ont été relogés, hier, dans une ambiance de fête.
Située sur les hauteurs de Beni Amrane, Souiga est un véritable carrefour où se rejoignent des habitants de 17 villages. Son emplacement entre cinq communes, dont Tidjellabine, Thénia, Kaddara, Ammal, est un atout qui semble négligé dans l’élaboration des politiques de développement, estiment certains habitants. «Notre région mérite d’être érigée au rang de commune.
Certains locaux ont été transformés en bureaux de poste, alors que plusieurs marchés couverts servent désormais comme salles de sport
Les postulants au programme des 140 logements socio-participatifs (LSP) de Bordj Menaïel sont dans un profond désarroi. «Cela fait plus de 10 ans que nous attendons nos logements, mais l’entrepreneur est confronté à plusieurs difficultés.
En février dernier, des dizaines d’habitants d’Ouled Ali, Benbakhta et Chouarbia, dans la commune de Khemis El Khechna, ont protesté devant le siège de la wilaya afin de réclamer l’amélioration de leurs conditions de vie.
Organisée par l’université de Boumerdès, la 3e conférence internationale sur la mécanique et les matériaux connaît un franc succès.
Le manque de foncier industriel contraint beaucoup d’opérateurs économiques à acquérir des terrains privés et à réaliser leurs projets en dehors des zones d’activité.
Le directeur de l’environnement a fait récemment état de 156 points de rejet anarchique des déchets à travers la wilaya. M. Aiwaz a affirmé qu’une centaine de décharges ont été éradiquées ces derniers mois, mais certains dépotoirs réapparaissent au bout de quelques jours à cause de l’incivisme et la permissivité des certains services.
L’Agence accompagne les demandeurs de crédits jusqu’à l’aboutissement de leurs projets.
Le centre d’enfouissement technique (CET) de Corso génère des odeurs désagréables, impactant durement la vie des habitants des localités environnantes. «Il nous arrive de ne pas dormir la nuit à cause des puanteurs qui se dégagent de ce centre.
C’est l’engagement pris par le président de la République, qui a installé récemment la commission de révision des codes communal et de wilaya. Objectif : «accorder de larges prérogatives aux élus et renforcer davantage la décentralisation afin d’insuffler une nouvelle dynamique de développement au niveau local».
Effectivement, le président de la République, dès l’entame de son deuxième mandat comme premier magistrat du pays, a installé la commission nationale pour la réforme des codes communal et de wilaya. La cellule est présidée par M. Dahou Ould Kablia qui est bien rodé dans les rouages des collectivités locales.
L’Algérie doit développer la bio-informatique, une nouvelle technologie qui est au cœur des avancées scientifiques dans les domaines de la santé, de l’agriculture et des sciences de la vie en général. C’est la principale recommandation des participants à la 2e Conférence internationale de bio-informatique, organisée hier et aujourd’hui à l’université M’hamed Bougarra de Boumerdès.