La réhabilitation des forages s’avère plus qu’une nécessité pour faire face à la pénurie d’eau potable qui affecte plusieurs communes de la wilaya de Boumerdès. A Béni Amrane, l’APC a fait une étude pour la remise en service de trois forages, ce qui augmentera le volume de production d’eau potable de 5000m3/j.
Le déclassement des terres agricoles pour les besoins d’urbanisation se poursuit à un rythme effréné dans plusieurs localités de la wilaya de Boumerdès.
Malgré les temps difficiles, la solidarité se porte toujours bien au sein de la société. A Boumerdès comme dans d’autres wilayas du pays, les gestes de bienfaisance à l’égard des plus démunis se font de plus en plus nombreux.
Rien ne semble arrêter le phénomène des constructions anarchiques à Boumerdès. Vingt ans après le séisme de 2003, des villas et des promotions immobilières continuent de pousser sur le lit des oueds, dans des zones inondables ou sur la faille sismique. Les normes de l’urbanisme y sont constamment bafouées.
Des centaines d’élèves du cycle primaire à Khemis El Khechna se contentent de repas froids à midi avant de regagner les bancs de l’école. Cette commune de plus de 100 000 habitants compte 32 écoles primaires et 25 d’entre elles sont dépourvues de cantine scolaire, précise un élu à l’APC. Bien évidemment, ce sont les potaches des localités éloignées comme Ouled Ghalia, Chebacheb et Ouled Ali qui souffrent le martyre à cause de cette carence. « J’ai deux enfants.
Située à 30 km au sud-ouest de Tizi Ouzou, la commune d’Aït Yahia Moussa semble gérer au jour le jour. Certes, l’APC est confrontée au problème de manque de ressources financières, mais beaucoup lui reprochent de manquer d’initiatives permettant d’améliorer le vécu de ses administrés. «A part le changement des lampes d’éclairage, rien d’important en termes de projets ne se fait chez nous.
Grâce à la mobilisation d’une armée de bénévoles, la cérémonie a été, comme à l’accoutumée, une réussite totale.
La délivrance des actes de concession aux agriculteurs se fait au compte-goutte dans la wilaya de Boumerdès. Les services concernés ont dénombré 6070 exploitants agricoles, mais près de 2000 d’entre eux n’ont pas encore obtenu le fameux document indispensable pour le développement de leur activité.
Le secteur de la santé dans la wilaya de Boumerdès semble se remettre lentement d’une longue période de convalescence. Considéré comme le maillon faible du secteur, le volet infrastructurel ne devrait plus poser de problème à l’avenir.
Attendu depuis plus de 15 ans, l’hôpital des 240 lits de Boumerdès devra être mis en service d’ici la fin de l’année.
Embauchés fin janvier dernier, une cinquantaine d’employés de l’entreprise en charge du gardiennage et de la sécurité au nouveau stade de Tizi Ouzou sont privés de leurs droits les plus basiques.
Le problème revient chaque année à Chabet El Ameur. Signe du manque de transparence dans la gestion, la distribution de la prime de solidarité (10 000 DA) au profit des nécessiteux de la localité vire souvent à la polémique.
La lutte contre l’immigration clandestine semble s’intensifier sur les côtes de Boumerdès.
Les souscripteurs au programme des 100 logements socio-participatifs (LSP) de Figuier ont exprimé leur détresse. La période de jeûne n’a pas dissuadé certains d’entre eux d’observer un sit-in devant la wilaya pour dénoncer les lenteurs dans l’avancement des travaux de réalisation de leurs appartements. «Cela fait plus de 5 ans qu’on attend.
Le manque de foncier constitue un sérieux problème à Timezrit, localité rurale située à l’extrême sud-est de Boumerdès.
Bloquée depuis juillet 2022 à cause de désaccords entre élus, l’APC de Boudouaou (W. Boumerdès) n’a désormais aucun pouvoir. Cette Assemblée a été gelée il y a quelques jours par le wali, pour assurer la continuité du service public et la gestion des affaires de la collectivité.
La commune de Naciria compte deux cités d’habitation qui remontent à l’ère coloniale. Leurs occupants vivent dans des conditions très difficiles.
L’alimentation en eau potable pose problème dans plusieurs communes de la wilaya de Boumerdès. Si la situation s’est nettement améliorée dans les localités de l’Est, à l’Ouest la disponibilité du précieux liquide reste une préoccupation majeure pour des milliers de ménages.
L’APW de Boumerdès a établi un rapport très critique sur le secteur du transport à travers la wilaya. Débattu cette semaine en session, le rapport ne s’est pas limité aux insuffisances.
Très empruntée par les automobilistes, la RN5 se détériore à vue d’œil sur plusieurs tronçons traversant le territoire de la wilaya de Boumerdès. La partie allant de Corso jusqu’à la sortie de Thénia est devenue le cauchemar des usagers.