Considérée comme la plus grande ville de la wilaya de Boumerdès, Khemis El Kechna est difficilement accessible par véhicule. Pourtant, ce chef-lieu de daïra n’est pas loin des grands axes routiers. L’autoroute Est-Ouest passe juste à côté. Idem pour la 2e rocade.
De nombreux citoyens réclament la réhabilitation du jardin public abandonné. Car, toute personne qui pénètre aujourd’hui dans cet ancien jardin public communal ne peut qu’éprouver à la fois un sentiment de réprobation et d’indignation face à l’état de désolation dans lequel se trouve ce jardin dévasté.
Les postulants au programme des 588 logements AADL d’Ouled Moussa dénoncent les retards enregistrés pour l’achèvement de leurs appartements.
Le tronçon de la RN05 allant de Corso à Thénia sera finalement réhabilité dans les deux sens. Les travaux ont été lancés cette semaine par la Sarl ETHB pour un montant de 549 millions de dinars.
Le secteur de l’éducation dans la wilaya de Boumerdès sera renforcé par plusieurs structures scolaires dès la prochaine rentrée. Une bonne nouvelle pour la famille éducative durement pénalisée par le problème de la surcharge des classes. Le cycle primaire verra la réception de 38 nouvelles écoles, 81 classes en extension,
La saison estivale avance à grands pas. A Boumerdès, les fortes chaleurs de ces derniers jours ont déjà incité plusieurs personnes à se rendre à la plage pour se rafraîchir. Avant-hier, plusieurs parasols étaient visibles sur le rivage.
Le manque de pluviométrie suscite moult inquiétudes chez les agriculteurs de la wilaya de Boumerdès. Les effets de la sécheresse se font sentir même au niveau des périmètres irrigués.
Après cinq ans de blocage et maintes réévaluations du marché, le projet d’évitement de la ville de Boumerdès commence enfin à voir le bout du tunnel.
La violence augmente d’année en année au sein des établissements scolaires de la wilaya de Boumerdès. Si par le passé ce sont les élèves qui en pâtissaient le plus, aujourd’hui la tendance semble se renverser, touchant en premier lieu les enseignants.
Tous les textes de loi insistent sur l’impératif de préserver le foncier agricole afin de garantir la sécurité alimentaire du pays.
Ancien investissement du groupe Mazouz, la raffinerie de sucre réalisée à la zone industrielle de Larbatache est désormais propriété de l’Etat.
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a ordonné, début avril, l’élaboration de trois projets de décrets présidentiels régissant la répartition du foncier économique, touristique et urbain. Il avait donné des instructions fermes afin d’enrichir et procéder à une révision en profondeur de la loi.
Effectivement, le foncier industriel constitue une véritable problématique pour le développement de l’activité économique, particulièrement pour l’environnement de l’investissement, qui est considéré comme un des principaux moteurs de la croissance.
La réhabilitation des forages s’avère plus qu’une nécessité pour faire face à la pénurie d’eau potable qui affecte plusieurs communes de la wilaya de Boumerdès. A Béni Amrane, l’APC a fait une étude pour la remise en service de trois forages, ce qui augmentera le volume de production d’eau potable de 5000m3/j.
Le déclassement des terres agricoles pour les besoins d’urbanisation se poursuit à un rythme effréné dans plusieurs localités de la wilaya de Boumerdès.
Malgré les temps difficiles, la solidarité se porte toujours bien au sein de la société. A Boumerdès comme dans d’autres wilayas du pays, les gestes de bienfaisance à l’égard des plus démunis se font de plus en plus nombreux.
Rien ne semble arrêter le phénomène des constructions anarchiques à Boumerdès. Vingt ans après le séisme de 2003, des villas et des promotions immobilières continuent de pousser sur le lit des oueds, dans des zones inondables ou sur la faille sismique. Les normes de l’urbanisme y sont constamment bafouées.
Des centaines d’élèves du cycle primaire à Khemis El Khechna se contentent de repas froids à midi avant de regagner les bancs de l’école. Cette commune de plus de 100 000 habitants compte 32 écoles primaires et 25 d’entre elles sont dépourvues de cantine scolaire, précise un élu à l’APC. Bien évidemment, ce sont les potaches des localités éloignées comme Ouled Ghalia, Chebacheb et Ouled Ali qui souffrent le martyre à cause de cette carence. « J’ai deux enfants.
Située à 30 km au sud-ouest de Tizi Ouzou, la commune d’Aït Yahia Moussa semble gérer au jour le jour. Certes, l’APC est confrontée au problème de manque de ressources financières, mais beaucoup lui reprochent de manquer d’initiatives permettant d’améliorer le vécu de ses administrés. «A part le changement des lampes d’éclairage, rien d’important en termes de projets ne se fait chez nous.
Grâce à la mobilisation d’une armée de bénévoles, la cérémonie a été, comme à l’accoutumée, une réussite totale.