Les œuvres de l’artiste peintre Halima Brihoum ont orné durant deux mois les cimaises du centre culturel Bachir Mentouri à Alger. Des œuvres rivalisant de dextérité et de finesse.
Le Festival Algé’Rire élira domicile du 12 au 15 juillet au palais de la culture Moufdi Zakaria de Kouba, à Alger. Le fondateur du Festival, Tarik Ouhadj, nous donne une vue globale de cette édition, sans omettre de revenir sur les nouveautés introduites.
A la faveur de la tenue du 23e Festival européen -qui s’est déroulé, dernièrement, au Théâtre national d’Alger- a eu lieu un concert de jazz intitulé Traveller interprétée par Artur Dutkiewicz Trio avec Artur Dutkiewicz au piano, Michał Barański à la contrebasse et Sebastian Kuchczyński à la percussion. Dans cet entretien, le musicien Artur Dutkiew, réputé pour son jeu élégant et inventif, revient sur cette participation en Algérie, tout en n’omettant pas de donner son appréciation.
Après sept ans d’absence, le Festival Algé’Rire est de retour du 12 au 15 juillet au palais de la culture Moudfi Zakaria de Kouba à Alger. Un Festival qui a déjà fait ses preuves, par le passé, par la qualité de sa programmation, engendrant une affluence des plus importantes. Cette nouvelle édition est parrainée par le ministre de la Culture et des Arts.
Après une absence de six ans, le Festival international du malouf est de retour avec un nouveau commissaire, qui n’est autre que le chanteur constantinois du malouf et du hawzi notoire, Lyes Benbakir, alias Lyés Kenstini. Lors d’une conférence de presse, animée hier matin, au Palais de la culture Moufdi Zakaria de Kouba, à Alger, le commissaire Lyes Benbakir a rappelé que le Festival international du malouf est placé sous le slogan «Le malouf, la citadelle Constantine et son école authentique».
C’est devant un auditoire de qualité que trois universitaires de choix se sont succédé pour évoquer l’œuvre d’Assia Djebar avec des angles d’approches différentes. Le consultant auprès de l’ANEP et modérateur, Mohamed Balhi, a rappelé que le prix Assia Djebar a pour habitude de se tenir annuellement fin juin. Mais comme il n’y a pas eu, cette année, de production littéraire conséquente, le jury a décidé d’attendre septembre prochain pour être fixé sur la date la cérémonie au pire des cas reporter l’événement à 2024.
Le Festival européen de musique est de retour cette année, du 15 au 21 juin au Théâtre national d’Alger.
En prévision de la Journée de l’artiste, coïncidant avec le 8 juin, l’espace culturel Bachir Mentouri a accueilli le réalisateur et producteur algérien Djaffer Gacem.
Nassim Herkat est ingénieur culturel et depuis 2017 créateur #kabtihkayti, une plateforme qui consiste en des carnets de voyage culturel sur les réseaux sociaux : façon singulière de vulgariser et de valoriser le patrimoine algérien. Dans le cadre de sa thèse en Sciences humaines et sociales, l’intervenant a voulu partager son travail de recherche mené à Mila en 2022, et ce, en collaboration avec l’Agence algérienne pour le rayonnement culturel (AARC).
Le Musée national de l’enluminure, de la miniature et de la calligraphie abrite, jusqu’au 17 juin prochain, une magnifique exposition intitulée «Khizanates : les réserves des manuscrits».
Connu dans le milieu médical et littéraire, Mahmoud Aroua a toujours partagé son temps entre l’écriture et son métier de docteur. Constitué de 285 pages, «Staten Island» est un texte de fiction profond et magnifique à la fois, édité par la maison d’édition privée El Fairouz culturelle et production.
Les éditions Barzakh ont édité, dernièrement, pour la première fois en Algérie, un coffret de six contes intitulé Baba Fekrane, signé par Mohammed Dib. Dans cet entretien, l’éditrice Selma Hellal revient sur la démarche et la concrétisation de ce projet.
A chacune de ses expositions de peinture, la plasticienne Djahida Haouadef éblouit son public par la maitrise de ses sujets et par sa palette colorée.
La série algérienne Mayna, réalisée par Walid Bouchebah et écrite par Lamia Kahli, a décroché, dernièrement, lors de la première édition de Dakar Séries le prix de la meilleure photographie.
La nouvelle est tombée tel un couperet dans la matinée d’hier. Sid Ali Mazif s’en est allé vers un monde meilleur, et ce, quelques mois après le décès de son épouse et complice de toujours. Il a marqué le 7e art algérien par certaines de ses œuvres.
Le long- métrage Houria de la réalisatrice Mounia Meddour a décroché plusieurs distinctions lors du 39e Festival international de Vues d’Afrique à Montréal. C’est lors de la cérémonie de clôture qui s’est déroulée, dernièrement, au niveau de la Cinémathèque québécoise qu’a été dévoilé le palmarès de la 39e édition du 39e Festival international de Vues d’Afrique à Montréal.
Décédé en novembre dernier, le regretté sociologue et urbaniste Rachid Sidi Boumedine a laissé pour la prospérité un intéressent ouvrage intitulé L’Arbre des couscous, Unité et diversité, publié aux éditions Chiheb International.
Plus de 110 auteurs, 25 éditeurs et 5 librairies participeront au Salon du livre d’Ath Yenni.
L’artiste peintre et plasticien Hamsi Boubekeur dévoilera sa dernière collection intitulée «Kabylie de mon enfance», le 28 avril à partir de 18h30 au centre culturel algérien de Paris.
A la faveur d’un concert, donné le week-end dernier à Alger, l’artiste Samira Brahmia-qui est installé en France depuis quelques années déjà, revient dans cet entretien sur son nouvel album « Awa ». Avec la spontanéité et la mesure du verbe qu’on lui connait, elle évoque également sa prochaine tournée en Algérie, prévue l’été prochain.