C’est parce que les activités culturelles et artistiques ont repris de plus belles après une léthargie de deux ans, due à la pandémie Covid-19 que la boîte événementielle Oxygen Prod Management a programmé une tournée nationale pour deux artistes algériens d’exception.
Riadh Dahmani est un photographe autodidacte algérien qui s’est spécialisé dans la photographie d’art.
L’auteur Mahfoud Aoufi a signé aux éditions ANEP son premier ouvrage intitulé « Indépendance et souveraineté financière, Algérie 1962 ». Rencontré, dernièrement à l’occasion du 25e Salon international du livre d’Alger, cet ancien responsable financier du GPRA Ouest et ancien trésorier général de l’Algérie évoque dans cet entretien, notamment les problèmes rencontrés par les cadres algériens au lendemain de l’indépendance de l’Algérie pour prendre la succession du trésor français afin d’asseoir une souveraineté financière de l’Algérie.
La romancière et traductrice Amel Bouchareb est une jeune brillante plume. Rencontrée,dernièrement, lors de la tenue du 25e Salon international du livre d’Alger, elle revient entre autres sur la traduction en langue italienne de son premier roman Sakarat Nedjma et sur le lien qui la relie à ses lecteurs.
Diplômée en traduction à l’université d’Alger, la romancière a évoqué sa trilogie Sakarat Nedjma, composée de Fi el badê kanat al-kalima et Thabet edholma. Elle indique que sa trilogie traite des questions qui sont en relation directe avec la vie des Algériens et de la culture populaire, faisant partie du legs anthropologique. Elle est convaincue que chaque auteur qui ne s’appuie pas sur la culture populaire s’éloigne de ses lecteurs. «La littérature n’est pas une expression exclusive pour les élites, elle doit savoir exprimer les obsessions et les préoccupations communes.
Le commissaire de Salon international du livre d’Alger (SILA), Mohamed Iguerb, a animé, hier matin, une conférence, en compagnie d’Antonia Grande, directrice de l’Institut italien à Alger, à la Safex des Pins maritimes, pour donner un premier bilan exhaustif de ce 25e Sila.
La salle du Sila a reçu, lundi après-midi, les écrivains Amin Zaoui et Lounis Ben Ali, pour une rencontre, autour de la thématique «Le roman, plaisir d’écriture ou désir éditorial ?».
A la faveur de la tenue du 25e Salon international du livre d’Alger (SILA), une rencontre portant sur le marché italien du livre s’est tenue, dimanche dernier, à la salle El Djazair de la Safex, à Alger.
L’écrivain, nouvelliste, poète, dramaturge et journaliste Mustapha Benfodil a animé, samedi dernier, la deuxième estrade du 25e SILA en revenant sur son expérience professionnelle.
En marge du 25e Salon international du livre d’Alger (SILA), une conférence portant sur l’impact médiatique et diplomatique, menée durant la guerre de Libération nationale, a été animée, vendredi dernier, par trois historiens spécialistes du mouvement national et de la guerre de Libération. Les intervenants se sont relayés pour mettre en exergue le rôle important qu’à joué la diplomatie algérienne durant la lutte armée, et ce, jusqu’au recouvrement de la souveraineté nationale.
La librairie Point Virgule de Chéraga a organisé, samedi dernier, une rencontre-débat suivie d’une vente-dédicace avec l’homme politique et auteur Karim Younes autour de son dernier-né intitulé Béjaïa, passé-présent, publié récemment par les éditions Dalimen.
Après deux ans d’absence en raison de la pandémie de Covid-19, le Salon international du livre d’Alger est de retour au Palais des expositions des Pins Maritimes à Alger, au grand bonheur des nombreux lecteurs intéressés.
Le public algérois a été séduit par le timbre de voix unique du jeune chanteur chaâbi Faïz Ghemati de Cherchell. Une belle prestation qui lui a permis de décrocher, dernièrement, le Grand Prix El Hachemi Guerouabi.
Si Aghilès Issiakhem n’a pas exposé ses oeuvres depuis dix ans, il n’en demeure pas moins qu’il n’a pas cessé un instant de créer au quotidien.
Chahra Guerouabi, la présidente de l’association culturelle El Hachemi Guerouabi, nous éclaire sur la 7e édition du Grand Prix El Hachemi Guerouabi qui s’est tenue du 2 au 5 mars dernier à Alger. Dans cet entretien, elle déplore les lenteurs administratives ayant trait à la création d’une école académique de chaâbi portant le nom de son défunt mari, sans oublier de donner un petit aperçu sur la commémoration du 16e anniversaire de la disparition du maître El Hachemi Guerouabi.
Dans le cadre des activités de «Mars au féminin», l’espace culturel Bachir Mentouri a organisé, lundi dernier, une rencontre intitulée « Des femmes et des parcours ».
Jusqu’au 26 mars, le centre culturel Mustapha Kateb à Alger ouvre son espace aux œuvres de l’artiste plasticien Nacer Eddine Douadi.
Placée sous le thème «Bou Saâda regards croisés», cette résidence fait suite à la deuxième résidence euromaghrébine tenue en novembre 2014 à Constantine. Initiée par la délégation de l’Union européenne en Algérie, cette présente résidence algéro- européenne a été inaugurée mercredi dernier en fin d’après-midi.
L’ambassade d’Espagne en Algérie et l’Institut Cervantès d’Alger, en collaboration avec les ambassades ibéro-américaines, accréditées en Algérie et le ministère de la Culture et des Arts, organisent un Cycle du Cinéma Ibéro-américain du 2 au 14 mars 2022, à la Cinémathèque d’Alger.
C’est dans l’enchaînement de sa dynamique de projets que le groupe de travail sur la politique culturelle en Algérie a lancé, dernièrement, la plateforme digitale «Raqes».