La nouvelle escalade des forces d’occupation israéliennes contre la bande de Ghaza, après l’offensive menée par la résistance palestinienne, suscite de vives inquiétudes.
Le président palestinien, Mahmoud Abbas, qui a présidé une réunion d’urgence avec un certain nombre de responsables civils et militaires, a appelé à «la protection» du peuple palestinien qui «a le droit de se défendre contre le terrorisme des colons et des forces d’occupation». Le ministère palestinien des Affaires étrangères et des Expatriés, Riyad Al Maliki, dénonce, pour sa part, «l’absence de solution à la question palestinienne après 75 ans de souffrances et de déplacements».
Le plan national de gestion des catastrophes a fait l’objet d’une évaluation lors de la dernière réunion du gouvernement, tenue le 5 octobre sous la présidence du Premier ministre, Aïmene Benabderrahmane.
La Tunisie refuse de prendre les modestes fonds dégagés par l’Union européenne (UE) pour l’assister dans sa lutte contre les flux migratoires. «La Tunisie qui accepte la coopération, n’accepte pas tout ce qui s’apparente à de la charité ou à de la faveur», a déclaré, lundi, le président tunisien, Kaïs Saïed, assurant que la Tunisie et son peuple «ne veulent pas de la sympathie et ne l’acceptent pas quand elle est sans respect». «Par conséquence, la Tunisie refuse ce qui a été annoncé ces derniers jours par l’UE», a conclu M. Saïed.
La situation sécuritaire se dégrade de manière inquiétante au Sahel. Le Niger est de nouveau secoué par une attaque terroriste qui a fait 29 morts et deux blessés dans les rangs de l’armée. L’attentat, combinant l’utilisation d’engins explosifs et de véhicules kamikazes, a été perpétré dans la nuit de lundi à mardi, contre un détachement militaire qui était en opération près de la frontière avec le Mali, a précisé un communiqué du ministre nigérien de la Défense.
Le président Abdelmadjid Tebboune a ordonné «le recensement, le suivi et l’évaluation de toutes les décisions prises en Conseil des ministres, en relevant ce qui n’a pas été encore appliqué».
Accompagné d’une forte délégation de chefs d’entreprise, le ministre du Commerce et de la Promotion des exportations, Tayeb Zitouni, effectue une visite de travail en Ouganda où se tient une foire des produits algériens. Le gouvernement poursuit ses efforts visant à renforcer sa coopération économique avec plusieurs pays africains et à garantir une plus forte présence des produits algériens sur le marché africain.
Le ministère des Affaires étrangères (MAE) est revenu sur la visite en Algérie du rapporteur spécial des Nations unies en charge des droits à la liberté de réunion et à la liberté d’association. Une visite dix jours, qui s’est achevée le 26 septembre.
La forte pression de la rue nigérienne a contraint la France à rapatrier son ambassadeur et retirer ses 1500 soldats du Niger, mettant ainsi fin à sa coopération militaire avec les autorités issues du coup d’Etat.
Le ministre des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, a relevé «le besoin urgent de faire entendre la voix africaine, sage et engagée, dans le contexte mondial actuel pour passer outre les divisions et surmonter l’état de polarisation qui altère l’efficacité du Conseil de sécurité de l’ONU».
Le ministre des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, a rencontré, en marge des travaux de la 78e session de l’Assemblée générale de l’ONU, pas moins d’une dizaine de ses homologues et a participé à des réunions régionales et internationales liées aux situations de crise et à la lutte contre le terrorisme en Afrique et plus particulièrement au Sahel.
Le ministre des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, plaide pour un traitement global et cohérent des défis sécuritaires en Afrique et plus particulièrement dans la région du Sahel.
Le ministre des Affaires étrangères (MAE), Ahme d Attaf, a examiné avec de hauts responsables du département d’Etat américain la situation au Sahel et plus particulièrement les derniers développements au Niger et au Mali. Le premier pays est plongé dans une grave crise provoquée par un coup d’Etat contre le président Mohamed Bazoum. Le second souffre de la recrudescence du terrorisme et de la résurgence du conflit armé au nord du pays à cause du non-respect de l’Accord de paix d’Alger.
Les appels pour la réforme du Conseil de sécurité retentissent à nouveau au sein de l’Assemblée générale des Nations unies. A l’ouverture, mardi, du débat général, António Guterres, secrétaire général de l’ONU, a appelé à une refonte urgente de l’organisation, estimant que les instituions «ne reflètent pas le monde tel qu’il est aujourd’hui».
Le secrétaire général de l’Organisation des Nations unies (ONU), António Guterres, appelle à un renouvellement des institutions multilatérales pour relever les défis du XXIe siècle.
Cette première rencontre algéro-américaine vise à déterminer les moyens concrets de partenariat dans le domaine de la génétique bovine.
Le secrétaire général de l’ONU appelle à «l’intensification des efforts» pour «sauver» les Objectifs du développement durable (ODD).
La 78e session ordinaire de l’ONU a été déclarée ouverte le 5 septembre dernier par le nouveau président de l’Assemblée générale, le Trinidadien Dennis Francis. Elue le 6 juin dernier comme membre non permanent au Conseil de sécurité, l’Algérie compte bien défendre les valeurs et les principes fondamentaux de sa politique étrangère.
Le président Tebboune, qui place, au centre de ses préoccupations, la lutte contre la spéculation, veut garantir la stabilité du marché des produits alimentaires et agricoles durant toute l’année, afin de préserver davantage le pouvoir d’achat du citoyen.
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a ordonné au ministre de l’Agriculture de prendre des mesures dissuasives et fermes pour assainir le secteur. Il a également demandé la mise en place d’une politique de communication claire pour informer régulièrement les citoyens sur la disponibilité des produits de large consommation, afin de lutter contre la spéculation.