Le nombre de postulants à la candidature à la présidentielle anticipée du 7 septembre prochain augmente. Ils sont désormais 34 prétendants à avoir procédé au retrait des formulaires de souscription des signatures individuelles, annonce l’Autorité nationale indépendante des élections (ANIE), précisant que le chiffre a été enregistré dimanche dernier.
Le délai de 40 jours pour la constitution et le dépôt des dossiers de candidature à la présidentielle anticipée du 7 septembre prochain tire à sa fin. Il ne reste désormais qu’une dizaine de jours pour les candidats afin de tenter de réunir les 50 000 signatures d’électeurs ou 600 parrainages d’élus pour valider leur engagement dans la course pour le palais d’El Mouradia.
Les envois de fonds des émigrés pourraient être plus importants en raison de la présence du marché parallèle de la devise. Ils préfèrent passer par le marché parallèle où le taux de change appliqué est beaucoup plus élevé que celui fixé par la Banque d’Algérie.
L’Algérie est considérée comme un acteur clé dans la lutte contre le terrorisme et les trafics en tout genre au Maghreb et au Sahel.
Le compte à rebours commence pour les prétendants à la présidentielle. Ils ne disposent désormais que de 18 jours pour tenter de compléter leurs dossiers de candidature à la prochaine joute électorale et les déposer auprès de l’Autorité nationale indépendante des élections (ANIE).
Le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) tranchera la question de sa participation ou non à la présidentielle au début du mois de juillet prochain. «Il y a un débat qui a déjà été mené au niveau des structures locales du parti autour de ce sujet.
Les conséquences des bouleversements climatiques se font ressentir durement en Algérie. Leurs effets sur l’agriculture sont constatés dans toute la partie nord du pays, notamment durant l’année 2023. En effet, plus de la moitié des communes, situées dans 35 wilayas, ont été frappées par des calamités : sécheresse, intempéries et perte de blés dur et tendre.
Le rendez-vous présidentiel du 7 septembre prochain suscite toutes les convoitises. Réservé, jadis, aux politiques chevronnés, l’élection présidentielle attire désormais des personnes venant d’horizons divers.
Quel rôle pour les conseils d’affaires dans la dynamisation de la diplomatie économique ? La question était, hier à Alger, au centre du débat à l’occasion d’un séminaire organisé par le ministère du Commerce.
Dans un communiqué rendu public hier, le ministère de l’Agriculture a affirmé que la situation est «maitrisée» et que tous les moyens de prévention et de lutte ont été mobilisés.
Le Parti des travailleurs saisit officiellement le président de l’Autorité nationale indépendante des élections (ANIE), Mohamed Charfi. Dans une lettre signée par la candidate du parti à la présidentielle anticipée du 7 septembre prochain, Louisa Hanoune, cette formation relève une multitude de contraintes d’ordre organisationnel et administratif qui freinent l’opération de collecte des signatures des électeurs.
En l’espace de quelques mois, les différents services de sécurité ont récupéré plus de 100 kg de cocaïne. Cette quantité s’ajoute à celle découverte et saisie (près d’un quintal) durant les premiers mois de l’année 2023 dans différentes régions du pays.
Les concernés par la mesure doivent se présenter aux structures du Service national munis «d’une copie de la carte d’identité nationale et de deux photos d’identité» en vue de se faire établir la carte de dispense, synonyme de régularisation définitive de leur situation.
Les candidats à la candidature ont l’obligation de sillonner les 58 wilayas du pays en vue de collecter, dans les délais (il reste 35 jours), le maximum de signatures individuelles d’électeurs afin d’éviter toute mauvaise surprise lors du traitement des dossiers de candidature par les experts de l’ANIE qui pourraient invalider des parrainages qui ne sont pas conformes.
De nombreux partis, même s’ils ne l’assument pas ouvertement, voient dans la prochaine présidentielle un tremplin pour les prochaines échéances où les gains électoraux sont possibles.
Jusqu’à hier, trois prétendants à la magistrature suprême ont procédé au retrait des formulaires de souscription auprès de l’ANIE. Il s’agit du président de l’ANR, Belkacem Sahli, et du président du MSP, Abdelaali Hassani Chérif. Louisa Hanoune devait le faire dans l’après-midi d’hier.
«L'élection présidentielle devrait être une première étape pour faire revivre l’esprit citoyen en votant, chacun selon sa conscience et son choix», estime Jil Jadid.
Selon une étude réalisée par une dizaine de chercheurs, rendue publique hier, «le réchauffement climatique causé par les activités humaines a atteint un rythme sans précédent et la fenêtre pour limiter à 1,5°C la hausse des températures est déjà presque fermée». Mai 2024 est, selon les études sur le climat, le 12e mois d’affilée de record mensuel de chaleur dans le monde. La température mondiale moyenne enregistrée sur terre et sur les océans était 1,52°C au-dessus de la norme d’un mois de mai dans la deuxième moitié du XIXe siècle.
Qu’est-ce qui fait courir le président du parti islamiste El Bina, Abdelkader Bengrina ? Son attitude est, en tout cas, très étrange. S’étant auto-exclu de la course à la présidentielle du 7 septembre prochain, l’homme semble chercher une orbite politique où il continuera à être plus ou moins visible, en attendant de nouvelles échéances politiques. C’est l’impression qu’il donne jusque-là. Il tente, à cet effet, toutes ses chances.
Engagé dans cette alliance depuis le 23 mai dernier, Abdelkader Bengrina a décidé, jeudi dernier, de lancer une nouvelle coalition parallèle avec 13 petits partis. C’est la goutte qui a fait déborder le vase de cette alliance, plein, visiblement, de jeux politiques malsains.