L’annonce a fait le tour du monde dès mardi soir. Un accord entre le Hamas palestinien et l’occupant israélien, sous l’égide du tandem Qatar-Egypte, a été conclu après de longues semaines de tractations.
La commission mixte d’historiens algériens et français, chargée de travailler sur la colonisation française de l’Algérie (1830-1962), tiendra sa première réunion aujourd’hui et demain à Constantine. C’est ce que nous avons appris d’une source proche du dossier.
Il n’entend rien, tant qu’il a le soutien des puissants, ou plutôt le puissant du monde, les Etats-Unis d’Amérique. L’occupant israélien, qui fignole sa besogne consistant à massacrer les Palestiniens de Ghaza et forcer les survivants à l’exode, n’écoute aucun appel de la communauté internationale l’invitant à mettre un terme à sa sauvagerie.
Les crimes commis par l’occupant israélien dans la Bande de Ghaza continuent de susciter l’indignation de la communauté internationale. En effet, le haut-commissaire de l’ONU aux droits de l’homme, Volker Türk, affirme que «les événements horribles» survenus ces dernières 48 heures à Ghaza «dépassent l’entendement».
Le Premier ministre, Nadir Larbaoui, fraîchement désigné à la tête du gouvernement, connaît, depuis mardi, la mission qui lui est confiée par le président Tebboune. En effet, tout en maintenant le même staff gouvernemental – du moins aucune nomination d’un nouveau gouvernement n’est évoquée pour l’instant – le chef de l’Etat lui a tracé une feuille de route assez précise.
Le président Abdelmadjid Tebboune détaille la feuille de route du Premier ministre, Nadir Larbaoui. Désigné à ce poste, samedi dernier, en remplacement de Aïmene Benabderrahmane, M. Larbaoui a assisté, hier, au premier Conseil des ministres en tant que premier responsable du gouvernement, où il a reçu les instructions sur sa mission.
Encore une provocation. En plus des massacres des civils dans la Bande de Ghaza, l’occupant israélien et ses colons multiplient les provocations contre les Palestiniens, particulièrement dans la ville d’El Qods, en Cisjordanie.
Quelle mission pour le nouveau Premier ministre ? C’est la question que se sont posés de nombreux observateurs de la scène nationale après le changement surprise effectué, samedi, par le chef de l’Etat à la tête du gouvernement, avec la nomination de Nadir Larbaoui en remplacement de Aïmene Benabderrahmane, remercié.
Changement à la tête du gouvernement ! Le président, Abdelmadjid Tebboune a mis fin aux fonctions du Premier ministre Aïmene Benabderrahmane. La nouvelle a été annoncée, hier en fin de matinée, par la présidence de la République dans un communiqué, précisant que Nadir Larbaoui le remplace à la tête du gouvernement. «Vu la Constitution, notamment son article 91 (alinéas 5 et 7), et en vertu du décret présidentiel 21-275 du 30 juin 2021, portant nomination du Premier ministre, le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a nommé Nadir Larbaoui Premier ministre, en remplacement de Aïmene Benabderrahmane, dont il a été mis fin aux fonctions», a indiqué le communiqué.
Le génocide israélien se poursuit à Ghaza. Trente-cinq jours depuis le début de la nouvelle agression, le nombre de victimes civiles est effarant. Et il ne cesse d’augmenter.
La dénonciation du génocide en cours à Ghaza et de la nouvelle agression israélienne contre cette partie du territoire palestinien prend plusieurs formes. Outre les réactions des ONG internationales activant sur le terrain humanitaire et des agences de l’ONU, la condamnation et le rejet de la barbarie de l’occupant israélien s’étend au domaine économique et militaire.
La énième agression de Ghaza par l’occupant israélien n’est visiblement pas un simple acte de vengeance en réaction à l’opération «Toofan Al Aqsa», menée le 7 octobre dernier par des combattants du Hamas palestinien. L’opération vise un autre objectif : la réoccupation de la Bande de Ghaza, placée sous l’autorité palestinienne, suite aux Accords d’Oslo en 1993 et abandonnée par Israël et ses colons depuis la seconde Intifada en 2005.
L’armée d’occupation israélienne sort, depuis le début de sa nouvelle agression contre la Bande de Ghaza, son arsenal militaire sophistiqué fourni particulièrement par les Etats-Unis.
Rareté des denrées alimentaires, manque d’eaux et de médicaments, panne d’électricité et de carburant…la bande de Ghaza, sous les bombardements de l’armée d’occupation israélienne depuis près d’un mois, vit une situation humanitaire catastrophique. C’est le constat fait par les agences de l’ONU et les ONG présentes sur le terrain.
La position du président américain, Joe Biden, concernant l’attaque en cours d’Israël contre la Bande de Ghaza et son soutien inconditionnel à l’Etat hébreu ne passent pas, y compris aux Etats-Unis. Depuis quelques jours, des voix, et pas des moindres, s’élèvent pour dénoncer cette attitude.
L’annonce de la composante de la nouvelle direction de l’UGTA a été faite lors d’une réunion tenue à la Mutualité des matériaux de construction de Zéralda. Le nouveau secrétaire général, Amar Takdjout, a défini, à cette occasion, les priorités de l’organisation pour les mois à venir.
Le rejet de la normalisation des relations avec Israël a été exprimé par les manifestants, mettant les dirigeants dans une mauvaise posture.
Comme prévu, le sommet du Caire sur la Palestine auquel a appelé le président égyptien, Abdel Fattah Al Sissi, s’est terminé sans déboucher sur des résultats.
L’Algérie a renoué, jeudi dernier, avec l’atmosphère du hirak du 22 février 2019. Des milliers d’Algériens, privés de manifestations publiques depuis plus deux ans, ont battu le pavé à Alger et dans la majorité des grandes villes du pays. Cette fois-ci, ils se sont mobilisés pour une autre cause qui leur est chère : la question palestinienne.
Du Maroc à l’Iran, en passant par la Tunisie, la Jordanie, le Liban et la Turquie, plusieurs manifestations dénonçant les agissements de l’occupant israélien ont été organisées au lendemain du carnage perpétré par l’armée d’occupation qui a ciblé un hôpital, tuant près de 500 personnes.