Le nombre des victimes de l’agression israélienne en cours contre la Bande de Ghaza dépasse de loin les chiffres officiels communiqués par le ministère palestinien de la Santé.
Depuis hier, des tractations sont en cours en vue d’aller vers une trêve d’une semaine qui permettra un échange de prisonniers entre le Hamas palestinien et l’occupant israélien.
Le gouvernement israélien utilise la famine imposée à des civils comme méthode de guerre dans la Bande de Ghaza occupée, dénonce l’ONG Human Rights Watch.
Sur le terrain, les bombardements et le siège de Ghaza aggravent de plus en plus la situation humanitaire. Les conditions de vie, selon l’ONU et les ONG, sont «cauchemardesques». L’acheminement des aides humanitaires nécessaires pour les 2 millions de civils déplacés devient impossible.
Sur le plan socioéconomique, Louisa Hanoune affirme avoir demandé au président de la République à ce que «les augmentations des salaires des fonctionnaires soient généralisées à toutes les catégories de travailleurs».
Questions de politique interne, dossiers socioéconomiques et situation à Ghaza sont les grands sujets abordés par la secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT), Louisa Hanoune, et le président Abdelmadjid Tebboune qui l’a reçue longuement, lundi dernier.
Le Premier ministre, Nadir Larbaoui, insiste sur l’application des nouvelles augmentations des salaires des fonctionnaires prévues pour l’année 2024.
Choc, grosse déception et indignation ! Le veto des Etats-Unis d’Amérique opposé, vendredi dernier, à une résolution du Conseil de sécurité de l’ONU appelant à un cessez-le-feu immédiat à Ghaza, suscite la colère dans le monde. Le secrétaire général de l’ONU, plusieurs pays et de nombreuses ONG continuent de condamner la position américaine qui ne fera qu’aggraver la crise humanitaire à Ghaza.
Tous les regards, en France et en Algérie, étaient braqués, jeudi dernier, sur l’Assemblée française. Un événement important s’y est déroulé. Il s’agit du débat et du vote sur la résolution, la première du genre, visant à dénoncer l’accord conclu entre l’Algérie et la France en 1968 sur l’immigration.
Où aller ? Quoi manger ? Dans quel abri se protéger ? Ce sont les trois interrogations existentielles qui taraudent quotidiennement les esprits des Palestiniens dans la Bande de Ghaza. Sous le déluge de feu de l’occupant israélien qui intensifie ses attaques destructrices depuis la fin de la trêve humanitaire, des centaines de milliers de civils ghazaouis fuient la mort qui a déjà fauché 16 000 personnes, majoritairement des enfants et des femmes.
La rapporteuse spéciale des Nations unies sur la situation des défenseurs des droits de l’homme, Mary Lawlor, a pu rencontrer des détenus d’opinion dans les prisons, assister à un procès de défenseurs des droits de l’homme et rencontrer différents acteurs.
Le verdict est tombé dimanche en début de soirée. Le juge près le tribunal criminel de première instance de Dar El Beïda, à Alger, a prononcé l’acquittement en faveur du militant des droits de l’homme et universitaire Kadour Chouicha, de son épouse la journaliste Djamila Loukil et de leurs coaccusés.
Le débat sur l’accord algéro-français de 1968 régissant l’immigration algérienne revient au-devant de la scène en France. Parallèlement à la préparation du projet de loi «immigration», dont la mouture finale a été adoptée par la commission des lois de l’Assemblée française, l’idée de la révision de ce texte, posée déjà depuis l’été dernier par des acteurs de la droite et de l’extrême droite, est relancée depuis quelques jours.
Les perturbations du marché et la hausse des prix font réagir le gouvernement. Le Premier ministre, Nadir Larbaoui, mobilise son staff, en vue de renforcer l’approvisionnement en produits de large consommation et de tenter de renforcer le pouvoir d’achat, toujours en berne, des Algériens.
La rapporteuse spéciale des Nations unies sur la situation des défenseurs des droits de l’homme, Mary Lowlor, entame sa mission en Algérie. Devant préparer son rapport sur la situation dans le pays, l’experte onusienne commence sa visite par des rencontres avec des représentants des organisations officielles.
Le processus d’amendement du code pénal est relancé depuis jeudi dernier. Très contesté par les avocats, dont l’Ordre national a même exigé son retrait pour son enrichissement, le projet est finalement présenté devant la commission des affaires juridiques, administratives et des libertés de l’Assemblée populaire nationale (APN). Une étape préparatoire en prévision de sa programmation en plénière pour examen et adoption.
La Confédération des syndicats autonomes algériens (CSA) dénonce l’attitude du ministère de Travail refusant de donner suite à sa demande d’agrément déposée depuis plusieurs mois.
Destructions massives et catastrophe humanitaire. Le monde découvre depuis hier, premier jour de la trêve temporaire entrée en vigueur à 7h, heure locale (5h GMT), l’ampleur des dégâts causés par l’agression barbare israélienne à Ghaza.
L’annonce a fait le tour du monde dès mardi soir. Un accord entre le Hamas palestinien et l’occupant israélien, sous l’égide du tandem Qatar-Egypte, a été conclu après de longues semaines de tractations.
La commission mixte d’historiens algériens et français, chargée de travailler sur la colonisation française de l’Algérie (1830-1962), tiendra sa première réunion aujourd’hui et demain à Constantine. C’est ce que nous avons appris d’une source proche du dossier.