Le rendez-vous présidentiel du 7 septembre prochain suscite toutes les convoitises. Réservé, jadis, aux politiques chevronnés, l’élection présidentielle attire désormais des personnes venant d’horizons divers.
Quel rôle pour les conseils d’affaires dans la dynamisation de la diplomatie économique ? La question était, hier à Alger, au centre du débat à l’occasion d’un séminaire organisé par le ministère du Commerce.
Dans un communiqué rendu public hier, le ministère de l’Agriculture a affirmé que la situation est «maitrisée» et que tous les moyens de prévention et de lutte ont été mobilisés.
Le Parti des travailleurs saisit officiellement le président de l’Autorité nationale indépendante des élections (ANIE), Mohamed Charfi. Dans une lettre signée par la candidate du parti à la présidentielle anticipée du 7 septembre prochain, Louisa Hanoune, cette formation relève une multitude de contraintes d’ordre organisationnel et administratif qui freinent l’opération de collecte des signatures des électeurs.
En l’espace de quelques mois, les différents services de sécurité ont récupéré plus de 100 kg de cocaïne. Cette quantité s’ajoute à celle découverte et saisie (près d’un quintal) durant les premiers mois de l’année 2023 dans différentes régions du pays.
Les concernés par la mesure doivent se présenter aux structures du Service national munis «d’une copie de la carte d’identité nationale et de deux photos d’identité» en vue de se faire établir la carte de dispense, synonyme de régularisation définitive de leur situation.
Les candidats à la candidature ont l’obligation de sillonner les 58 wilayas du pays en vue de collecter, dans les délais (il reste 35 jours), le maximum de signatures individuelles d’électeurs afin d’éviter toute mauvaise surprise lors du traitement des dossiers de candidature par les experts de l’ANIE qui pourraient invalider des parrainages qui ne sont pas conformes.
De nombreux partis, même s’ils ne l’assument pas ouvertement, voient dans la prochaine présidentielle un tremplin pour les prochaines échéances où les gains électoraux sont possibles.
Jusqu’à hier, trois prétendants à la magistrature suprême ont procédé au retrait des formulaires de souscription auprès de l’ANIE. Il s’agit du président de l’ANR, Belkacem Sahli, et du président du MSP, Abdelaali Hassani Chérif. Louisa Hanoune devait le faire dans l’après-midi d’hier.
«L'élection présidentielle devrait être une première étape pour faire revivre l’esprit citoyen en votant, chacun selon sa conscience et son choix», estime Jil Jadid.
Selon une étude réalisée par une dizaine de chercheurs, rendue publique hier, «le réchauffement climatique causé par les activités humaines a atteint un rythme sans précédent et la fenêtre pour limiter à 1,5°C la hausse des températures est déjà presque fermée». Mai 2024 est, selon les études sur le climat, le 12e mois d’affilée de record mensuel de chaleur dans le monde. La température mondiale moyenne enregistrée sur terre et sur les océans était 1,52°C au-dessus de la norme d’un mois de mai dans la deuxième moitié du XIXe siècle.
Qu’est-ce qui fait courir le président du parti islamiste El Bina, Abdelkader Bengrina ? Son attitude est, en tout cas, très étrange. S’étant auto-exclu de la course à la présidentielle du 7 septembre prochain, l’homme semble chercher une orbite politique où il continuera à être plus ou moins visible, en attendant de nouvelles échéances politiques. C’est l’impression qu’il donne jusque-là. Il tente, à cet effet, toutes ses chances.
Engagé dans cette alliance depuis le 23 mai dernier, Abdelkader Bengrina a décidé, jeudi dernier, de lancer une nouvelle coalition parallèle avec 13 petits partis. C’est la goutte qui a fait déborder le vase de cette alliance, plein, visiblement, de jeux politiques malsains.
Le journaliste d’El Watan Amar Fedjkhi s’est distingué en reportant, vendredi dernier, le 1er prix de concours vert organisé par le Parc national du Djurdjura. Notre collègue dans la wilaya de Bouira a été désigné lauréat de la première édition de ce concours pour son article intitulé : «Parc national du Djurdjura (PND) : L’urgence d’un plan de sauvegarde», publié dans l’édition d’El Watan du 24 avril 2023.
Intervenant hier soir sur le plateau de la chaîne privée, El Watania TV, Abdelaziz Rahabi a insisté sur le fait que l’Algérie «n’a jamais eu un processus politique stable qui débouche sur des décisions politiques en phase avec l’évolution de la société».
N’ayant pas accepté les sorties du président du mouvement El Bina, Abdelkader Bengrina, et celle du RND qui se sont précipités pour annoncer leur soutien à la candidature du chef de l’Etat, Abdelmadjid Tebboune, le secrétaire général du FLN, Abdelkrim Benmbarek, les a critiqués sévèrement.
Les succès réalisés durant les premiers mois de l’année en cours témoignent d’une stratégie minutieusement préparée par l’appareil diplomatique algérien, qui semble libéré des contraintes qui l’ont longtemps ligoté.
L’équipe d’historiens algériens, conduite par Mohamed Lahcen Zeghidi, invite la partie française à transmettre au président Emmanuel Macron ses préoccupations en matière de restitution de biens culturels, archivistiques et autres.
Le Centre de recherche en économie appliquée pour le développement (Cread) lance un projet de recherche sur une thématique d’une extrême importance : «La rétention des compétences étrangères formées en Algérie».
Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a insisté sur la nécessité d’aider le continent africain à affronter les problèmes l’empêchant d’avancer, tout en défendant son droit à siéger dans toutes les instances multilatérales, y compris le Conseil de sécurité de l’ONU.