Coup de tonnerre dans le secteur automobile en Algérie. Le géant mondial de l’industrie de voiture Toyota met un pied dans le pays. Toyota vient de décrocher son permission provisoire pour l’importation de voitures neuves.
Ce n’est plus un secret de Polichinelle. Après les européennes Fiat, Opel du groupe Stellantis, les chinoises Chery, Geely et JAC, les marques de voitures venues du pays du Soleil-Levant annoncent leur grand retour dans le pays. En effet, la marque japonaise Suzuki commence à se profiler à l’horizon.
Avec le lancement durant ces dernières semaines de plusieurs marques automobiles dans le pays, ayant obtenu l’agrément final pour la commercialisation en premier lieu et la fabrication à moyen terme, de nombreux modèles rentrent d’ores et déjà dans l’arène de la compétition pour s’affronter.
la marque allemande Opel annonce le début de la commercialisation de ses véhicules dans le pays. Son lancement a été annoncé lors d’une cérémonie organisée hier à l’hôtel Sheraton d’Alger, durant laquelle une foule nombreuse a été conviée pour assister à l’événement, rehaussée par la présence de Florian Huettl, CEO d’Opel/Vauxhall et de Hakim Boutehra, patron de la zone Maghreb du groupe Stellantis.
Comme quoi, le large éventail de véhicules présentés la semaine dernière par la marque Chery, lors du lancement de la commercialisation des véhicules, n’a pas suffi au géant de l’Empire du Milieu pour satisfaire la clientèle algérienne.
La société Auto Leader Company (ALC) a annoncé, jeudi dernier, le début de la commercialisation en Algérie des véhicules de la marque chinoise Chery.
Où est passé la loi 90/29 du 1er décembre 1990 régissant le code de l’urbanisme ? s’interrogent les habitants des 136 logements dans la commune côtière algéroise de Aïn Benian (ex-Guyotte Ville).
Dans une nouvelle manœuvre stratégique ambitieuse préparée par l’Algérie, le secteur de l’automobile dans le pays s’apprête à entamer un virage décisif. Cette démarche est le fruit de plusieurs collaborations conclues avec notamment la Chine laquelle est l’un des plus grands partenaires automobiles de l’Algérie.
Le Rallye international des Colombes est de retour. Il se tiendra du 15 au 19 novembre 2023, autour de quatre étapes (Tipasa-Mostaganem-Aïn Témouchent et retour à Tipasa), indique la Fédération algérienne des sports mécaniques (FASM).
Un groupe d’élèves curieux et sympathiques venu de l’école privée El Amane de Safsafa (Birkhadem-Aïn Naadja) ont investi, hier en début d’après- midi, la rédaction du quotidien El Watan en suscitant, pendant près de deux heures, discussions et débats avec les journalistes et responsables du journal.
● Ce type de moteur se voit attribuer les faveurs du public algérien grâce à sa technologie micro-hybridation rechargeable ● Un atout qui se traduit par la diminution de la consommation du carburant et la diminution des rejets de CO2 dans l’air.
Stellantis a conclu un accord avec le groupe chinois Dongfeng pour lui céder trois usines basées en Chine détenues par la coentreprise Dongfeng Peugeot Citroën Automobile (DPCA), a annoncé le constructeur automobile jeudi. DPCA est une coentreprise de Stellantis et Dongfeng Motors qui détient trois usines en Chine, à Wuhan, Chengdu et Xiangyang.
A quelques semaines du lancement officiel de l’usine Fiat Algérie implantée à Tafraoui, dans la wilaya de l’Ouest oranais, le réseau de sous-traitance commence à se tisser. En effet, cette démarche est une condition sine qua non dans toute industrie automobile afin de satisfaire les besoins des usines de fabrication en matière de pièces équipant les voitures.
Le groupe chinois Geely, figurant parmi les dix premiers (8e) constructeurs au monde en termes de volume de ventes, affiche d’ores et déjà ses ambitions sur le marché algérien. Le groupe Sodivem, représentant et distributeur officiel de la marque dans le pays, a obtenu l’autorisation finale de la part du ministère de l’Industrie.
Après Fiat, Jac et Opel, c’est au tour du constructeur japonais Nissan de faire son grand come-back en Algérie. L’annonce a été faite la semaine dernière durant la plénière de l’Assemblée populaire nationale (Apn) durant laquelle le ministre de l’Industrie et de la Production pharmaceutique, Ali Aoun, avait annoncé l’accord de vingt-quatre (24) agréments d’exploitation dans le secteur de l’automobile dont la marque Nissan fait partie.
Le marché des véhicules en Algérie traverse une zone de turbulences depuis environ cinq ans sans grande perspective. Une situation qui a engendré une disette et un écart entre l’offre et la demande, provoquant une flambée des prix des véhicules, notamment ceux d’occasion. En somme, une demande qui dépasse l’offre.
L’année 2023 a été marquée par le retour de l’importation automobile après cinq années de suspension de l’activité mais qui n’a pas connu les résultats escomptés. Il est évident que la réorganisation du secteur n’est pas chose aisée, il n’en demeure pas moins que cette relance effective de l’activité s’inscrit dans la durée.
Face aux défis de la réorganisation du marché de l’importation et de l’exportation, le parc automobile algérien se retrouve face à une situation des plus délicates, s’agissant de l’aspect entretien et changement de pièces des véhicules en circulation. Tous les processeurs de véhicules s’accordent à dire qu’entretenir sa voiture devient chose inaccessible. D’abord, de part la cherté de la pièce de rechange mais aussi sa rareté.
La version revue de la Sochalienne Peugeot 208 affiche, certes, un nouveau visage plus moderne mais revoit son prix aussi qui est plus élevé. Une hausse qui se traduit par une présentation assez flateuse sur l’entrée de gamme.
Fiat El Djazaïr, consciente de la délicatesse et du manque à gagner qu’accuse le secteur, s’appuie d’ores et déjà sur une nouvelle stratégie pour remplir sa mission comme annoncée auparavant, tout en s’articulant sur une série de mesures mises en avant via son réseau de distribution.