Dans le cadre de l’arrêté ministériel n° 1275 du 27 septembre 2022 portant sur le mécanisme «un diplôme, une Start-up», l’auditorium de la faculté de médecine à Kharouba a abrité, mercredi et jeudi derniers, une formation au profit des étudiants concernés pour l’obtention d’un «diplôme start-up».
Il s’agit d’une start-up spécialisée dans les services 24/24, nommées Four GM, se déclinant en une plateforme numérique réunissant des demandeurs et prestataires de services.
Un séminaire national sur «Le rôle des étudiants dans la révolution technologique et leur adhésion au processus d’édification de l’Algérie nouvelle», a été organisé, samedi, à l’université des sciences et technologies Houari Boumediène (USTHB) à Bab Ezzouar (Alger).
Durant leur visite, jeudi, à Tizi Ouzou, le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari, ainsi que celui de l'Economie de la Connaissance, des Start-up et des Micro-entreprises, Yacine El Mahdi Oualid, ont souligné l'importance de l’innovation des étudiants pour l’économie locale et nationale.
La faculté des sciences économiques de gestion et des sciences commerciales de Tizi Ouzou organise, les 30 et 31 mai, deux jours de workshops destinés aux étudiants de fin de cycle, enseignants et personnel ATS.
La décision d’introduire l’anglais comme langue d’enseignement à l’université dès la prochaine rentrée fait toujours débat. Si, au niveau officiel, la question semble tranchée, avec toute une batterie de mesures, ce n’est pas le cas dans les campus.
Si la nécessité de placer la qualité de l’enseignement supérieur au centre des défis fait l’unanimité en Algérie, il reste la question cruciale de savoir comment y parvenir.
Le président de la République a rendu, à l’occasion, un hommage appuyé à la communauté des enseignants et chercheurs universitaires et a insisté sur l’obligation de lui accorder le plus grand intérêt.
Les ministres de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari, et de la Pêche et des Productions halieutiques, Ahmed Badani, ont souligné, hier à Alger, la nécessité de renforcer la coopération entre les universités et les centres de recherche, d’une part, et les secteurs économiques, d’autre part, notamment dans le domaine de la biodiversité marine.
Reconnue pour son excellence dans le domaine de la recherche et d’innovation, l’université Abdelhamid Ben Badis de Mostaganem figure en haut du podium dans la catégorie des universités algériennes en nombre de dépôts de brevets en 2023.
Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari, a présidé, mardi à Alger, le lancement de six plateformes numériques, portant ainsi à 35 le nombre total de plateformes initiées par le ministère.
La mise en œuvre de la stratégie «zéro papier» dans les universités algériennes va bon train à la faveur de la dématérialisation de la gouvernance, de la formation, de la recherche scientifique et des œuvres universitaires, a indiqué hier à Alger le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari.
Le séminaire international sur les bioressources et le développement durable aura lieu les 3 et 4 mai prochain au Centre national des sports et loisirs de Tikjda (CNSLT).
Des chercheurs et professeurs sont mécontents des dernières décisions émanant du ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Mr Abdelbaki Benziane, en ce qui concerne la réception des projets de formation universitaire pour l’année 2022-2023.
Les deux invités de l’association culturelle Tassalast, organisatrice de la rencontre, au campus Aboudaou de l’université de Béjaïa, mardi dernier, avaient pourtant deux thèmes distincts, la première proposant de parler sur la face cachée de Mouloud Mammeri, une face méconnue par beaucoup de lecteurs, atteste Tassadit Yacine.
Plus de 1200 enseignants universitaires ayant atteint l’âge de 70 ans seront mis à la retraite. C’est ce qu’a indiqué, jeudi dernier, le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique.
Des dizaines de travailleurs de l’université Abdelhamid Mehri (Constantine 2), ont tenu, dimanche dernier, un mouvement de protestation devant le siège du rectorat.
Le professeur Djamal-Eddine Akretche est le recteur de la mythique USTHB : l’Université des sciences et de la technologie Houari Boumediène, de Bab Ezzouar. Créée officiellement par l’ordonnance n°74-50 du 25 avril 1974, cette université au style architectural si particulier, signé Oscar Niemeyer, célèbre aujourd’hui son 48e anniversaire. Depuis sa création, l’USTHB a formé plus de 100 000 diplômés, dont des chercheurs de renom, à l’instar de Belkacem Haba, Yasmine Belkaid ou encore Noureddine Melikechi. Aujourd’hui, l’université compte près de 50 000 étudiants, une capacité d’accueil qui fait de l’USTHB le plus grand campus du pays. Le professeur Djamal-Eddine Akretche est un pur produit de Bab Ezzouar, lui qui a fait partie de la toute première promo de l’ex-USTA (l’Université des sciences et de la technologie d’Alger), celle de 1974, en tant qu’étudiant en chimie, et qui a gravi les échelons jusqu’à en prendre les rênes. Dans cet entretien, il revient sur l’évolution de l’USTHB, nous parle des nouvelles filières qui y ont été introduites et des spécificités du système LMD. Il soulève également un aspect important : le taux d’échec élevé des nouveaux bacheliers en première année et le problème de l’orientation des étudiants. Il est question, en outre, dans cette interview, du défi pédagogique que constitue la volonté de concilier enseignement de masse et standards de qualité, et aussi, de la relation de l’université avec le monde économique.
Selon le rapport du laboratoire Kaspersky, le secteur de l’énergie est le plus touché par ces attaques, alors que l’Algérie ne figure pas non plus sur la liste des pays ayant une bonne infrastructure en cybersécurité.
Le contenu des programmes de formation au sein des Ecoles normales supérieures (ENS) fera l’objet d’une révision, en coordination avec le secteur de l’Enseignement supérieur, en vue de cadrer avec les évolutions technologiques en cours, a fait savoir le ministre de l’Education nationale, Abdelhakim Belabed.