Opération «un diplôme-une start-up» La faculté de lettres de Ouargla lance le défi
Les membres du peuple semi-nomade Moken écoulent leur stock auprès de Tide, une start-up suisse souhaitant valoriser des débris plastiques recueillis sur le littoral ou au large où, selon une estimation de l’OCDE, plus de six millions de tonnes de ce matériau se déversent chaque année.
Pour inciter les nouveaux diplômés à être des entrepreneurs, l’opération «un diplôme/une start-up» est lancée depuis deux ans. Etat des lieux et mode d’emploi de l'entrepreneuriat universitaire.
Le e-commerce vient en tête des projets proposés par les étudiants en fin de cycle. Les universités de l’est du pays sont classées premières en nombre d’idées innovantes. Un guichet unique sera prochainement mis en place. Ahmed Mir, président de la Commission nationale de coordination et de suivi de l’innovation et des incubateurs universitaires et aussi directeur des études à la direction générale de la recherche scientifique et le développement technologique au ministère de l’Enseignement supérieur, explique dans cet entretien que la politique «un diplôme/une start-up» connaît une adhésion de la corporation estudiantine.
En Algérie, elles sont plus de 1000 entreprises à avoir obtenu le label de start-up sur un total de 4000 sociétés enregistrées pour création et le nombre d’incubateurs est passé de 10 en 2020 à 60 en 2022. C’est ce qu’a révélé ce lundi devant les membres de la commission des affaires économiques, du développement, du commerce et de la planification de l’Assemblée populaire nationale (APN) Yacine El Mahdi Oualid, ministre de l’Economie de la connaissance, des Start-up et des Micro-Entreprises.
Le nombre de projets soutenus depuis la création de la Commission nationale de coordination, du suivi de l’innovation et des incubateurs universitaires (CNCSIIU), dans le sillage de la mise en application de l’arrêté 1275, pas moins de 6058 projets innovants ont été soutenus par des étudiants en licence, en mastère et même en doctorat, à travers les différentes universités du pays.
Lancée officiellement en novembre dernier, la start-up Kheliha alina a signé, hier, une convention de partenariat avec l’université Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou. Créée par de jeunes entrepreneurs, dont certains sont diplômés de l’UMMTO, cette entreprise innovante continue à faire son chemin dans un domaine qui gagne de plus en plus de terrain, ces dernières années, en Algérie.
Le ministère de la Pêche et des Productions halieutiques a annoncé que 71 start-up opérant dans le secteur de la pêche et de l'aquaculture bénéficient actuellement d'un accompagnement de diverses structures du secteur.
Un deuxième mode de financement a également été finalisé cette année. Il s’agit des organismes de placement collectif à risque (OPCR), destiné aux PME, à travers des participations dans les PME avec une certaine prise de risque.
Une trentaine de projets de start-up diversifiés ont été déposés par des étudiants de l’Ecole supérieure d’agronomie relevant de l’université Abdelhamid Ibn Badis de Mostaganem pour cette année universitaire en cours, a-t-on appris de sources concordantes.
Les travaux du Sommet des ministres africains chargés des Start-up ont pris fin, mercredi dernier à Alger, avec l’adoption de la Déclaration d’Alger pour le développement des start-up, a rapporté l’agence APS.
L’université de Mostaganem accorde une grande importance au développement des start-ups.
L’application de la numérisation et de la digitalisation au niveau des exploitations agricoles à Tipasa a fait l’objet, mardi dernier, d’une rencontre-débat entre les experts de la start-up Nabatic de Béjaïa et les représentants de l’univers agricole, au niveau du siège de la Chambre de l’agriculture de la wilaya (CAW), à laquelle ont assisté des fellahs, ingénieurs forestiers, des étudiants du centre universitaire de Tipasa, des chercheurs de l’UDES de Bou Ismail, des stagiaires de l’INFP de Hadjout, mais aussi des pépiniéristes.
Les start-up sauveront-elles l’Afrique ? Des faiblesses économiques structurelles subsistent certes sur ce continent émergent, mais sa jeunesse est bouillonnante d'idées qui façonnent une économie de plus en plus basée sur les nouvelles technologies.
La jeune entreprise algérienne Tarik Education Center a remporté la première place lors du concours intitulé «Défi arabe pour l'internet des objets et l'intelligence artificielle», qui s'est tenu en marge du Salon international du multimédia et des technologies Gitex Global au World Trade Center de Dubaï, du 16 au 20 octobre.
Jeunes, clubs étudiants, entrepreneurs et startups, une opportunité leur a été donnée hier et avant-hier pour exprimer et faire entendre leur voix sur le changement climatique.
Tous les moyens seront mis à la disposition des start-up créées, qui vont exercer d’abord au niveau du CRBT, où le responsable avait négocié le prix avec les fabricants des puces pour une réduction jusqu’à 80%.
Rapprocher l’université de son milieu socioéconomique à travers la valorisation des résultats de la recherche et création de nouveaux mécanismes de financement des entreprises innovantes sont, entre autres, les recommandations d’un séminaire national sur les incubateurs organisé à la FSEGSC de Tizi Ouzou.
Sur les 10 porteurs de projets «Hackathon des solutions innovantes dans le domaine de l’économie bleue», retenus par un jury d’experts, trois ont été désignés lauréats, à la faveur d’un concours en solutions informatiques innovantes.
Le décret exécutif n°23-323 du 6 septembre 2023 modifiant le décret exécutif n°21-170 du 28 avril 2021 vient d’être publié dans la dernière publication du Journal officiel n°60 du 13 septembre courant. Il fixant les conditions et les modalités d’octroi des avantages fiscaux accordés aux entreprises disposant du label «start-up» ou du label «incubateur».