L’OIT a soutenu que «les travailleurs migrants sont indispensables pour remédier aux pénuries mondiales de main-d’œuvre».
Un rapport de l’OIT met l’accent sur les conditions préalables essentielles à un dialogue social au plus haut niveau efficace.
Les inégalités salariales ont diminué dans environ deux tiers des pays depuis 2000. Malgré cette tendance positive, d’importants écarts salariaux persistent dans le monde entier. C’est ce que révèle un nouveau rapport de l’Organisation internationale du travail (OIT).
Salaire décent, salaire vital ? «On observe une tendance mondiale positive à long terme en ce qui concerne les salaires moyens.
Les perspectives pour le marché du travail devraient se dégrader bien que «modérément», et ce, face aux crises multiples qui nuisent à la justice sociale.
L’intelligence artificielle générative est plus susceptible d’augmenter que de détruire les emplois…» C’est là une des conclusions phares d’une nouvelle étude de l’Organisation internationale du travail (OIT), qui affirme que cela est possible «en automatisant certaines tâches, plutôt qu’en remplaçant entièrement un rôle».
Quelque 160 millions d’enfants, soit près d’un enfant sur dix dans le monde, travaillent. 80 millions sont soumis aux formes les plus dangereuses du travail.
Selon l’Organisation internationale du travail (OIT), «il est nécessaire d’investir dans des systèmes nationaux de protection sociale» pour faire face aux crises. «Ces pensions de vieillesse de base dans les pays en développement réduiraient la part de la population qui vit au-dessous du seuil de pauvreté.»
Les secteurs de l’agroalimentaire, notamment la filière huile d’olive, les industries sidérurgiques, métalliques, mécaniques, électriques et électroniques notamment l’électroménagers, ainsi que l’industrie chimique, plastique et caoutchouc, font actuellement l’objet d’analyses sectorielles, et ce, dans le cadre du Projet STED-AMT, financé par l’agence coréenne de coopération internationale KOICA et mis en œuvre par le bureau de l’Organisation internationale du travail (OIT) en Algérie.
L’Organisation internationale du travail (OIT) se penche sur le rôle des conventions collectives dans le monde du travail. C’est le premier d’une série de rapports phares sur le dialogue social.
L’ancien Premier ministre du Togo, Gilbert Houngbo, a été élu vendredi à la tête de l’Organisation internationale du travail (OIT), devenant le premier Africain à diriger la plus ancienne agence spécialisée des Nations unies.
Un atelier de restitution et de consultation a été organisé le 10 mars à Alger, autour des résultats de l’étude «Cadre stratégique pour un environnement favorable aux micro-entreprises durables en Algérie».