Cette année, la célébration de la journée mondiale du diabète, dont le slogan choisi est «Diabète et bien-être», s’est faite en deux temps. En effet, c’est en partenariat avec Novo Nordisk Algérie que le ministère de la Santé a d’abord donné, dès le 18 novembre au niveau de la wilaya déléguée de Ksar Chellala, le coup d’envoi des activités de la journée.
Une opération de dépistage précoce du diabète et de sensibilisation à ses dangers a été organisée, avec l’appui de la clinique mobile «Route de la prévention», permettant aux citoyens d’effectuer les examens nécessaires.
A l’occasion de la Journée mondiale du diabète, l’agence AR Events International, en collaboration avec la Fédération nationale du sport pour tous, organise une course dénommée «Les foulées de la santé et du bien-être» le samedi 16 novembre au niveau du Complexe olympique Mohamed Boudiaf, à Alger.
A l'occasion de la Journée mondiale de l'enfance, une rencontre intitulée «L'enfance et la créativité numérique» s'est tenue samedi à Alger. Cet événement a été organisé par le ministère de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme en collaboration avec le Bureau de l'Unicef en Algérie.
La Journée mondiale du chardonneret élégant, alias «el maknine», célébrée le 1er mars de chaque année, a été tenue cette année au jardin d’Essai du Hamma à Alger. A cette occasion, Riadh Moulaï, président du Conseil scientifique du Jardin d’essais du Hamma, revient sur l’importance de protéger cette espèce menacée d’extinction.
A l’occasion de la Journée mondiale de la langue arabe, célébrée le 18 décembre de chaque année suite à une décision adoptée par l’assemblée générale des Nations unies, une rencontre culturelle portant sur l’enseignement de la langue arabe en Algérie vient d’être organisée à la bibliothèque principale de la lecture publique Mustapha Nettour à Constantine.
Le secteur de la santé dans sa stratégie de lutte contre cette maladie a tracé pour objectif d’atteindre zéro cas de rage à l’horizon 2030.
Une halte pour évaluer tout ce qui s’est passé, notamment les conséquences durant ces dernières années, d’abord sur les changements climatiques et ensuite la pandémie de Covid-19.
La traite des êtres humains continue d’harasser la communauté internationale. Les criminels sévissent toujours en changeant de méthodes rendant ainsi moins efficaces les mécanismes de lutte instaurés par les Etats et l’organisation des Nation unies. Les chiffres et les données officiels le confirment en tout cas. En deux mois (mai et juin derniers), les services d’Interpol et d’Afripol ont procédé à l’arrestation de plus de 1000 personnes impliquées dans ce genre de crime.
Depuis le début de la saison estivale, le 1er juin dernier, l’Algérie a enregistré 127 cas de noyade, dont 80 survenus au niveau des plages et 47 au niveau des réserves d’eau.
Le ministre des Affaires étrangères a rappelé que c’est à cette condition que l’Afrique «pourra, une fois pour toutes, tourner la dernière page de l’histoire du colonialisme odieux, de l’occupation et du pillage honteux de ses richesses».
Les peuples africains et le monde entier célèbrent, aujourd'hui, la Journée mondiale de l’Afrique, coïncidant avec le 60e anniversaire de la création de l’Organisation de l’Unité africaine (OUA, Union africaine/UA actuellement), au moment où de nombreux défis se posent avec acuité au continent notamment politiques, sécuritaires et environnementaux, ainsi que la mise en place du développement durable.
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a donné son entrevue périodique aux représentants des médias nationaux, et ce, en marge de la cérémonie qu'il a présidée mercredi à l'occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse au Centre international de conférences (CIC) Abdelatif Rahal (Alger).
La Radio algérienne organise un événement spécial prévoyant une exposition des œuvres littéraires et artistiques de ses membres à l’occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse, célébrée le 3 mai, a indiqué dimanche un communiqué de l’établissement.
Dans leur journée mondiale, les trisomiques et leurs parents ont lancé une campagne médiatique et digitale pour le reconnaissance des droits des personnes atteintes de cette maladie. Sous le slogan Lazem Tesem’ouna» (vous devez nous écouter), ces enfants et jeunes adultes réclament le droit à l’existence à part entière.
Il n’est un secret pour personne que la presse nationale traverse une période délicate, qui pourrait déboucher, à terme, et si des décisions ou mesures ne sont pas prises, à la remise en cause du pluralisme médiatique.