Le gouvernement a entendu une communication sur l’amélioration et la modernisation des services publics relevant du secteur du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale. Objectif : modernisation des prestations de services et généralisation de la numérisation afin de lutter contre la bureaucratie.
Le ministre des Finances, Laaziz Faid, a souligné l’importance de renforcer la coordination entre les secteurs ministériels pour réaliser la justice fiscale et restaurer la confiance dans le système économique.
On assiste depuis la chute de Bachar Al Assad à des scènes inquiétantes de violence vengeresse en Syrie : pendaisons sur la place publique, exécutions sommaires de membres de l’armée syrienne filmées et diffusées sur les réseaux sociaux ou encore l’incendie, mardi soir, du tombeau de Hafez Al Assad. Des scènes qui montrent que le rétablissement de la sécurité, la démilitarisation des milices et la mise en œuvre d’une justice transitionnelle sont l’un des grands défis qui attendent le premier gouvernement post-Al Assad.
Depuis Riyad, le président français a affirmé qu’il ne pouvait «pas croire au vote d’une censure» du gouvernement.
Le gouvernement Larbaoui II entame le travail. Remanié lundi 18 novembre, le nouvel Exécutif a tenu, hier, sa première réunion pour se pencher, selon un communiqué du Premier ministère, sur «la mise en place des mesures opérationnelles permettant la pleine mise en œuvre des directives données au gouvernement par le président de la République lors du Conseil des ministres tenu le 24 novembre 2024».
Le 29 octobre, des inondations meurtrières ont ravagé le sud de l’Espagne. L’enveloppe globale d’aide s’élève à 16,6 milliards en soutien aux régions affectées.
Le Premier ministre, Nadir Larbaoui, passera-t-il devant le Parlement ? La Constitution l’oblige en tout cas. Installé à la tête du gouvernement le 11 novembre 2023, l’homme a été a été reconduit dans ses fonctions une année plus tard, soit le 8 novembre 2024, à l’issue d’un remaniement ministériel.
Aussitôt le nouveau gouvernement installé, le président Tebboune a organisé, jeudi, une réunion de travail dédiée à l’importante question des exportations hors hydrocarbures.
Architecte des monuments historiques de formation, le nouveau ministre de la Culture et des Arts Zouhir Ballalou cumule une longue carrière et expérience dans le secteur culturel. Il a occupé plusieurs postes importants au niveau de ce département : il a été respectivement secrétaire général au ministère de la Culture et des Arts, directeur de la restauration et de la préservation du patrimoine culturel et inspecteur du patrimoine au ministère.
Attendu depuis quelques jours, le changement de l’exécutif a été annoncé vers 17h.
Le remaniement ou le changement du gouvernement ne devrait pas tarder. Il serait même imminent au regard de la célérité avec laquelle a été examiné et adopté le projet de loi de finances 2025 (PLF-2025) au Parlement. Mais alors que l’opinion nationale attend toujours de connaître la composante officielle du nouvel Exécutif, un fait, tout à fait nouveau et étrange, suscite à la fois curiosité et interrogations.
C’est sous un ciel immaculé et un soleil radieux que s’est ouvert, jeudi dernier à El Oued, le Salon international du tourisme saharien, un événement attendu par les passionnés de désert et les professionnels du secteur touristique.
Deux jours après avoir entamé une grève de la faim pour exiger un dialogue avec le gouvernement du président Arce, Evo Morales, dont l’ambition est de revenir au pouvoir, dénonce «une persécution totale».
Le Premier ministre, Nadir Larbaoui, a présidé, jeudi à Alger, une réunion du gouvernement consacrée à l’examen de projets de décrets exécutifs et la présentation d’exposés relatifs à plusieurs secteurs, indique un communiqué des services du Premier ministre, dont voici le texte intégral : «Le Premier ministre, Monsieur Nadir Larbaoui, a présidé, le jeudi 2 mai 2024, une réunion du gouvernement, consacrée à la poursuite de l’examen du projet de loi relatif aux assurances, qui s’inscrit dans le cadre des réformes économiques que Monsieur le président de la République a ordonné d’accélérer l’achèvement.
Le Premier ministre, Nadir Larbaoui, a présidé, hier, une réunion du gouvernement, consacrée à l’examen de projets de textes juridiques et la présentation d’exposés relatifs à plusieurs secteurs, a fait savoir un communiqué des Services du Premier ministre.
Le texte de loi qui vient d’être publié dans le dernier Journal officiel fixe de nouvelles règles de prévention, d’intervention et de réduction des risques de catastrophes dans le cadre du développement durable. Il prévoit pour chaque risque majeur l’élaboration d’un plan général de prévention (PGPR) adopté par décret.
Le Premier ministre, Nadir Larbaoui, a présidé hier une réunion du gouvernement, consacrée à l’examen de plusieurs secteurs, et ce, dans le cadre du suivi et de la mise en œuvre des directives du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, indique un communiqué des services du Premier ministre, dont voici le texte intégral : «Le Premier ministre, M. Nadir Larabaoui, a présidé, ce mercredi 13 mars 2024, une réunion du gouvernement consacrée à l’examen du projet de décret exécutif fixant les règles générales relatives à l’aviation civile, ainsi que les moyens de renforcement du cadre réglementaire relatif aux volets commerciaux des produits de large consommation, ainsi qu’à la présentation de communications sectorielles relatives au suivi de la mise en œuvre des directives de Monsieur le président de la République.
Tayeb Zitouni a rappelé que «l’approche participative fait partie intégrante de la stratégie du ministère». Elle constitue, a-t-il précisé, «un facteur clé» dans l’organisation du marché national et dans la promotion de la croissance économique.
Apartir d’aujourd’hui et à une semaine du Ramadhan, les prix des légumes secs et du riz seront revus à la baisse, suite à la décision du gouvernement d’annuler la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) appliquée à ces marchandises, et qui était de 9%.
Les investissements publics consentis en faveur des wilayas affichant des retards en matière de développement, notamment en ce qui concerne les infrastructures de base, viennent, faut-il le souligner, en appui des programmes destinés précédemment aux zones dites d’ombre et aux autres plans de développement des régions frontalières.