Le futur président américain envisagerait de nommer le sénateur républicain de Floride, Marco Rubio, au poste clé de secrétaire d’État, selon le New York Times.
Le Kremlin, qui a démenti hier que le président russe, Vladimir Poutine, et le président américain élu, Donald Trump, se soient parlé, estime n'avoir reçu «aucun signal» de l'Occident pour des discussions sur le conflit avec l'Ukraine, rapporte l’AFP.
Depuis mardi dernier, les Européens jurent qu’ils redoubleront d’efforts pour compenser le retrait attendu des États-Unis, mais peu iront à Bakou. Ni Emmanuel Macron, ni Olaf Scholz ne participeront au sommet d’une centaine de dirigeants mardi et mercredi.
Le président-élu a annoncé avoir proposé à la représentante républicaine Elise Stefanik de devenir ambassadrice des États-Unis auprès de l’ONU. Tandis que l’ancien directeur de l’agence de contrôle des frontières retrouve son poste.
Le président élu aurait aussi rappelé à Vladimir Poutine l’ampleur de la présence militaire américaine en Europe, selon le Washington Post. Le Kremlin a qualifié ces informations de «pure invention».
L’un des objectifs de Joe Biden dans les semaines qui lui restent sera de «placer l’Ukraine dans la position la plus forte possible sur le champ de bataille».
Alors que le conflit entre Kiev et Moscou fait toujours rage, le Kremlin a indiqué voir des «signaux positifs» venant du président élu américain Donald Trump. «Les signaux sont positifs. Trump, pendant sa campagne électorale, a dit qu'il perçoit tout cela (le conflit en Ukraine, ndlr) via des accords.
L’ex-président, qui avait perdu cet État-clé par à peine 11.000 voix en 2020, renoue avec le succès et empoche onze grands électeurs supplémentaires.
Les tenors de la première administration Trump ne feront pas partie du prochain gouvernement américain malgré des rumeurs qui allouaient déjà le Pentagone à Mike Pompeo, ex-directeur de la CIA.
Le roi du Maroc, Mohammed VI, semble être agacé par les derniers développements concernant le dossier sahraoui, surtout après le revers subi en Europe. Sa dernière sortie confirme, en tout cas, sa colère. Dans un discours prononcé, mercredi dernier à l’occasion de l’anniversaire de la colonisation par son pays du territoire du Sahara occidental, événement appelé dans la monarchie «La marche verte (de Hassan II)», le souverain marocain s’en prend à l’Algérie, sans la citer directement.
Très mauvaise nouvelle pour le peuple palestinien, son ennemi mortel vient d’entrer à la Maison-Blanche. Le psychopathe Benyamin Netanyahu a tout fait pour prolonger la guerre, engageant l’armée israélienne dans la pire campagne de massacres et de destructions depuis la création d’Israël.
Insensible à l’élection de Donald Trump, la Banque centrale américaine a abaissé son principal taux directeur d’un quart de point de pourcentage jeudi.
Durant son premier mandat présidentiel (2016-2020), Donald Trump avait multiplié les gestes de soutien à Israël aux dépens des Palestiniens. L’un des plus décriés était la proclamation unilatérale, en décembre 2017, de Jérusalem comme capitale éternelle et indivisible d’Israël. En mai 2018, il avait ordonné le transfert de l’ambassade des Etats-Unis de Tel-Aviv à la ville sainte palestinienne. En août de la même année, Washington coupait les vivres à l’UNRWA.
Le républicain a su incarner la revanche des Américains se sentant déclassés, le conservatisme moral rassurant des millions d’Américains redoutant un progressisme caricaturé associé au «wokisme». Ces Américains qui ne croient pas à une mission particulière des Etats-Unis dans le monde, mais à la nécessité de se recentrer sur la sécurité et la prospérité du peuple américain.
Donald Trump a battu la vice-présidente Kamala Harris dans un retour politique historique, en reprenant la Maison Blanche après une défaite électorale en 2020, selon les prévisions de CNN.
Le président ukrainien espère que son élection aidera l'Ukraine à obtenir une «paix juste».
Donald Trump ne se conformera pas aux résultats du scrutin présidentiel, et cela, il l’a annoncé dès le départ, martelant qu’il ira et restera à la Maison-Blanche coûte que coûte, élu ou pas élu.
«Nous avons écrit l'Histoire», a aussi clamé le candidat républicain Donald Trump devant ses partisans, promettant d'aider le «pays à guérir».
Ce mardi 5 novembre, les Américains vont élire un nouveau Président. Et comme le veut la tradition, ils devront départager les candidats républicain et démocrate, autrement dit choisir entre Kamala Harris et Donald Trump.
Quelque 244 millions d’Américains sont appelés demain aux urnes pour élire leur président. Ils ont à choisir entre le républicain Donald Trump, président de 2016 à 2020, et Kamala Harris, vice-présidente de Joe Biden, dans un pays profondément polarisé et au climat politique tendu, illustré notamment par la tentative d’assassinat de Donald Trump le 13 juillet, lors d’un meeting en Pennsylvanie.