Donald Trump, qui a toujours impliqué ses enfants dans ses activités commerciales et sa carrière politique, est actuellement à New York pour faire face à un procès civil lié à des allégations de fraudes financières qui menacent son empire immobilier.
Un jour en meeting devant les casquettes rouges de ses partisans, le lendemain au tribunal : Donald Trump est revenu, hier, assister à New York à son procès civil pour de vastes fraudes financières présumées, illustrant sa double campagne, entre estrades et prétoires. «C’est un procès truqué», a affirmé l’ancien président des Etats-Unis devant les caméras, juste avant d’entrer dans la salle d’audience.
L'ancien président américain Donald Trump a officiellement soutenu la candidature de Jim Jordan à la présidence de la Chambre des représentants, qui est devenue vacante après la destitution de l'ancien président de la Chambre, Kevin McCarthy, par un petit groupe de membres de son propre parti, en alliance avec les démocrates.
Les récentes révélations concernant Sam Bankman-Fried, ancien magnat des cryptomonnaies actuellement poursuivi pour fraude et blanchiment après la faillite de FTX, continuent d'attirer l'attention, dévoilant des aspects de plus en plus excentriques de sa personnalité.
L’ex-président américain Donald Trump, accusé avec deux de ses enfants d’avoir surévalué de manière colossale pendant des années leurs actifs immobiliers, est arrivé hier à un tribunal de New York pour un procès civil que le favori des républicains à la présidentielle de 2024 a qualifié de «simulacre», rapporte l’AFP.
Le procès civil de l'ancien président américain Donald Trump et de deux de ses enfants, accusés d'avoir exagéré massivement la valeur de leurs actifs immobiliers pendant des années, s'ouvre ce lundi 2 octobre à New York.
Elle a tenu les Etats-Unis en haleine jusque tard dans la nuit avant de présenter devant les caméras la nouvelle inculpation de Donald Trump. Fani Willis, la procureure qui a enquêté sur les tentatives de manipulation de la présidentielle de 2020 dans l’Etat de Géorgie, est décrite comme stricte et ambitieuse, un bourreau de travail qui «refuse l’échec».
La justice de Géorgie a inculpé lundi l’ex-président américain Donald Trump et 18 autres personnes pour leurs tentatives présumées illicites d’obtenir l’inversion du résultat de l’élection de 2020 dans cet Etat clé, a rapporté hier l’AFP.
L'ancien président Donald Trump et 18 de ses conseillers font face à 41 chefs d'accusation variés, dont la manipulation des élections en Géorgie, dans laquelle le président aurait cherché à obtenir un résultat favorable en sa faveur. Cette est la quatrième inculpation à laquelle Trump fait face en cinq mois, soulignant les problèmes juridiques croissants auxquels il est confronté. L'enquête menée par la procureure du Comté de Fulton, Fani Willis, expose en détail les efforts considérables déployés par l'ancien président et ses alliés pour s'accrocher au pouvoir, non seulement en Géorgie mais également dans d'autres États. Cette affaire implique également dix-huit de ses conseillers et membres de son entourage, notamment Rudy Giuliani, Sidney Powell et Mark Meadows. Selon les procureurs, Trump et ses co-accusés ont sciemment participé à un complot visant à modifier illégalement le résultat des élections en sa faveur, refusant d'accepter sa défaite. Trump fait l'objet de 13 chefs d'accusation, y compris des tentatives de fraude électorale et des pressions exercées sur des employés. La loi sur la délinquance en bande organisée de la Géorgie est utilisée dans ce cas, avec des peines de cinq à vingt ans de prison. Cette inculpation s'ajoute à d'autres poursuites auxquelles Trump est confronté, notamment pour des affaires financières et des tentatives présumées d'interférence dans les élections. Malgré cela, il plaide non coupable et qualifie les accusations de "chasse aux sorcières". L'enquête menée par Fani Willis complète celle dirigée par Jack Smith, le procureur spécial du ministère de la Justice. Les détails révélés montrent les stratagèmes utilisés par Trump et son équipe pour influencer les élections, y compris la pression sur les élus locaux et la propagation de fausses informations. En résumé, Donald Trump fait face à une nouvelle inculpation en Géorgie pour manipulation des élections, s'ajoutant aux autres poursuites qu'il affronte. Les preuves révélées par l'enquête suggèrent que lui et ses conseillers ont activement cherché à influencer les résultats des élections en leur faveur.
Des responsables américains souhaitent que le procès de l'ancien président, également une ancienne star de la téléréalité, soit diffusé quotidiennement, permettant ainsi à l'opinion publique de suivre de près les développements de l'affaire dans laquelle il est accusé d'avoir tenté de renverser les résultats de la dernière élection présidentielle.
Hier, à l'issue de l'enquête menée par le procureur spécial Jack Smith, l'ancien président des États-Unis a été formellement inculpé. Le procureur spécial insiste sur la nécessité d'un procès immédiat.
Une conversation téléphonique pour faire pression sur le gouverneur d'Arizona. C'est ce que relate le Washington Postsamedi, révélant que Donald Trump a tenté de renverser le résultat de la présidentielle de 2020 dans cet état de l'ouest des États-Unis.
L’ex-président américain Donald Trump a pris les devants en annonçant lui-même jeudi soir avoir été inculpé par la justice fédérale, a rapporté hier l’AFP citant l’ancien président. Le républicain, qui rêve de reconquérir la Maison-Blanche en 2024, est poursuivi pour avoir conservé des archives présidentielles en violation des lois américaines.
Donald Trump a été accusé mardi devant un tribunal civil de New York d’avoir violé une chroniqueuse de presse au milieu des années 90, des accusations vivement contestées par son avocat, qui a dépeint l’ancienne journaliste en affabulatrice avide d’argent et de célébrité.
L’inculpation officielle et ultra-médiatisée de Donald Trump a accru hier l’incertitude dans la course à la Maison Blanche de 2024, avec le leader républicain désormais menacé d’un procès pénal et l’actuel titulaire du poste, Joe Biden, qui n’a pas confirmé sa candidature.
Donald Trump, et l'Amérique avec lui, s'apprête à vivre une première historique: il va quitter lundi la Floride pour rejoindre New York, où il doit comparaître le lendemain devant la justice pénale après avoir été inculpé en lien avec un paiement à une star du porno.
Une étape nécessaire pour les uns, «une chasse aux sorcières» pour les autres : l’inculpation historique de Donald Trump jette une nouvelle lumière sur les profondes fractures partisanes des Etats-Unis. L’escalade judiciaire autour de l’ancien président a replacé Donald Trump, un dirigeant à la fois révélateur et amplificateur des divisions du pays, au cœur de l’échiquier politique.
Le président américain, Joe Biden, a décliné tout commentaire hier sur l’inculpation historique la veille de son prédécesseur, et potentiel rival pour la présidentielle de 2024, le républicain Donald Trump. Le président démocrate, qui se déplace dans le Mississippi pour la journée, a été interrogé à plusieurs reprises à ce sujet par les journalistes rassemblés pour assister à son départ de la Maison-Blanche.
Donald Trump a assuré samedi qu'il allait être "arrêté" mardi et a appelé à des manifestations, avant une possible inculpation concernant une affaire de paiement en 2016 visant à acheter le silence d'une actrice pornographique avec laquelle il aurait eu une liaison.
La visite du secrétaire d’état américain à Alger est remplie de «messages subliminaux», puisqu’elle intervient après celles de Tel-Aviv, de Jérusalem et Rabat, ce qui suppose qu’elle couronne une série de visites de capitales qui ont permis à ce diplomate d’élaborer les «synthèses» requises dans ce genre d’exercice.