Une des femmes courage ayant marqué le cinéma algérien, la battante réalisatrice Yamina Bachir-Chouikh, autrice de Rachida, Louisa Sid Ammi ou encore Hier... aujourd’hui et demain, est décédée hier matin à l’âge de 68 ans des suites d’une longue maladie.
«CODA», «Power of the Dog» ou «Belfast» médaille d’or ? Et l’audience sera-t-elle enfin de retour ? Hollywood retenait son souffle avant le coup d’envoi de la cérémonie de remise des Oscars qui mettra fin au suspense dimanche soir.
Des professionnels du cinéma mènent depuis quelques jours une campagne sur les réseaux sociaux pour exprimer leur inquiétude et alerter l’opinion après la suppression du FDATIC, le Fonds d’aide aux techniques et aux industries cinématographiques qui était jusque-là l’unique source de financement institutionnel du cinéma dans notre pays.
La dizaine de films programmés, réalisés en l’Espagne ou dans les pays du continent sud-américain, traitent de thématiques sociales, politiques, artistiques diverses, parfois teintées d’humour, parfois de fantastique.
Le géant américain du streaming, qui s’impose au fil des années comme un acteur majeur du cinéma entre succès populaires («Don’t look up», 2021) et d’auteur («Roma», 2018 ; «The Power of the Dog», 2021), sort le grand jeu à coup de grands noms hollywoodiens, à la réalisation comme à l’interprétation : Jessica Chastain, Judd Apatow, Guillermo del Toro, Ryan Gosling, Daniel Craig... avec pour point culminant The Gray Man, première superproduction de la plateforme, a annoncé à Paris la direction de Netflix France, lors d’une conférence de presse.
La 36e édition des Awards Goya, la grande fête du cinéma espagnol, a été célébrée cette année au Palau de Les Arts de Valence en hommage au cinéaste Luis García Berlanga, et a récompensé une année de plus les meilleurs titres du 7e art national.
Un autre homme de culture tire sa révérence. Il s’agit du cinéaste Djamel Bendeddouche, décédé durant la nuit de samedi à dimanche, à Alger, à l’âge de 80 ans. Il était le réalisateur du film Arezki l’indigène, sorti en 2008, qui retrace les exploits du bandit d’honneur Arezki El Bachir, en Kabylie, durant la période du colonialisme français.
Entre les deux décrets exécutifs publiés au Journal officiel, moins d’un mois. Le premier, daté du 19 janvier, autorisait le déclassement d’une parcelle de 6 ha du parc en la faisant sortir du régime forestier national pour l’incorporer dans le domaine privé de l’Etat.
Après une première édition expérimentale des plus réussies en mars 2021, les organisateurs de cette manifestation cinématographique reviennent avec une nouvelle édition, riche en projections et en activités variées.
Le prix Cinéma Bouamari-Vautier sera attribué, lundi soir, à l’IMA, en présence de Jack Lang, président de l’Institut du monde arabe, et d’Arnaud Montebourg, président de l’association France-Algérie. Cette cinquième édition du Cinéma Bouamari-Vautier se veut un soutien au cinéma algérien émergent.
En attendant la cérémonie de remise des Oscars, décalée cette année au 27 mars à cause de la pandémie, l’Académie américaine des arts et sciences du cinéma a annoncé mardi la liste des nominés dans les différentes catégories pour cette 94e édition.
Une parcelle du Parc zoologique et des loisirs d'Alger vient d'être déclassée du régime forestier national, afin de réaliser une cité du cinéma, en vertu d'un décret exécutif publié au journal officiel (JO) n°6.
Annuellement, le prix Bouamari-Vautier est décerné par l’association France Algérie, présidée par Arnaud Montebourg. Ce prix récompense en numéraire le premier film fiction et le premier documentaire, en soutien au cinéma algérien émergent.
Alegria Production et le Centre National de la Cinématographie et de l'Audiovisuel (CNCA) ont organisé ce mercredi 5 janvier, à la salle de projection du CNCA( Ouagnouni), à Alger, la projection du premier long métrage de fiction de Anis Djaâd, "La vie d'après".