l Avec l’affaire des otages israéliens et palestiniens aux mains des négociateurs du Qatar, retour sur l’histoire des otages américains de Téhéran en 1979, véritable thriller avec ses rebondissements, personnages de l’ombre et intermédiaires, avec au centre, l’Algérie comme négociatrice, ce que peu de films sur le sujet n’ont évoqué. Heureusement, un documentaire algérien qui sort en janvier va laver l’affront.
Le festival du cinéma de Sundance, qui se tiendra en janvier dans les Rocheuses américaines, mettra l'intelligence artificielle (IA) au cœur de l'attention. Aux côtés de célébrités hollywoodiennes telles que Kristen Stewart et Jesse Eisenberg, le programme dévoilé récemment comprend un film musical "génératif" offrant une version différente à chaque diffusion, ainsi que des documentaires explorant l'utilisation de l'IA pour communiquer avec des proches après la mort.
Palace Jugurtha, luxueux établissement hôtelier à l’ouest de Gafsa, au bord de la route qui mène à la frontière algérienne à une trentaine de kilomètres à vol d’oiseau.
Productrice et professeur de littérature anglaise, elle est la Madame Cinéma de Tunisie, à la tête de Nomadis Images, l’une des plus grosses entreprises de cinéma tunisien.
Les investissements publics consentis en faveur des wilayas affichant des retards en matière de développement, notamment en ce qui concerne les infrastructures de base, viennent, faut-il le souligner, en appui des programmes destinés précédemment aux zones dites d’ombre et aux autres plans de développement des régions frontalières.
Le gang du bois du temple est le dernier long métrage du réalisateur franco-algérien, Rabah Ameur-Zaïmeche, projeté en avant-première algérienne aux 18es Rencontres cinématographiques de Béjaïa (RCB), qui se sont déroulées du 23 au 28 septembre dernier.
D’abord le théâtre, le père ou l’oncle maternel du cinéma, dans lequel on ne peut ne pas citer Babor ghraq, pièce incontournable de Slimane Benaïssa de 1983, préfigurant Octobre 1988 et qui a aussi eu du succès au fait que la parole se soit libérée, d’autant qu’elle a été transcrite en langue algérienne.
Un documentaire retraçant la vie de l'actrice franco palestinienne Hiam Abbass a été projeté samedi au Festival international du film de Marrakech, où il est en compétition, trouvant un écho particulier sur fond de guerre dans la bande de Ghaza.
«On peut alors affirmer qu’examiner l’œuvre de Merzak Allouache, dans son ensemble et en continuité, permet de mieux comprendre l’Algérie (…)», tranche Nabil Boudraa, auteur d’un essai sur la production du réalisateur algérois.
Ce sont les stars, sans qui les films passent souvent inaperçus même si le réalisateur a du talent, et en général, ce sont ces acteurs qui ont le meilleur cachet du film. Les comédiens mèneraient une vie de rêve alors que c’est d’être aussi facile qu’on le croit, heureusement le froid de l’hiver est arrivé et c’est la meilleure saison pour eux, en décembre, là où toutes les productions TV pour le ramadan débutent leurs tournages, ce qui multiplie l’offre.
Écrivaine et femme de théâtre sous le nom de Hajar Bali, elle est aussi comédienne et joue dans le dernier film de Karim Moussaoui, par ailleurs de son vrai métier professeure de mathématiques à Alger.
Joaquin Phoenix, connu pour ses rôles mémorables, de Joker à Johnny Cash dans "Walk the Line", confirme son statut particulier à Hollywood en incarnant Napoléon sous la direction de Ridley Scott.
L'annonce a été faite le mercredi 15 novembre par les organisateurs de la cérémonie des Oscars : l'humoriste Jimmy Kimmel sera le maître de cérémonie pour la quatrième fois.
Le syndicat des comédiens américains, la Screen Actors Guild (SAG-AFTRA), s'est réjoui des nouvelles restrictions sur l'utilisation de l'intelligence artificielle (IA) négociées avec les grands studios d'Hollywood à la suite d'une grève historique.
-Il y a beaucoup de films de guerre, pourquoi un autre film de guerre ? Ce n’est pas un film de guerre, c’est un film contextuel qui ne parle pas d’un affrontement armé, on est en 1945, il n’y a pas encore l’idée de maquis et de moudjahid, on ne parle pas de FLN.
Le réalisateur à succès Darren Aronofsky, connu pour des films tels que Black Swan et Requiem for a Dream, dirigera un biopic sur Elon Musk, a confirmé le studio A24. Ce dernier a remporté une compétition féroce pour obtenir les droits de la biographie de l'entrepreneur milliardaire et propriétaire de X (anciennement Twitter).
Né à Alger à peine 3 mois avant la guerre du Kippour de 1973, il débute dans le théâtre, puis passe rapidement au cinéma, réalisant plusieurs courts métrages et participant à de nombreux films, entre autres Mascarades et L’Oranais qu’il a écrits et réalisés lui-même, Rock the Casbah ou Abou Leïla de Amine Sidi Boumediene, ou des séries comme Highlander et Oussekine. Il a même joué un petit rôle de garde arabe dans le film de Steven Spielberg, Munich, en 2005.
Que faire ? D’abord des films, des documentaires, ou faire la guerre ou manifester ou encore prier, se mettre en colère ou prendre des cachets. Surtout ne pas regarder la télévision, mais voir des films peut-être.
Né à Bab El Oued un 1er novembre, il est militant politique de gauche, a aussi fondé avec d’autres artistes une troupe de théâtre Ruptures, le CDLD, Comité de défense des libertés démocratique, le CCIC, Comité de citoyens intercommunale puis le groupe Bezzef pour finir par monter à Alger un espace de création artistique, Le Sous-marin, et fonder une association caritative et un cercle d’échanges, Sosta.
Comédien, cinéma et théâtre, il a joué dans plusieurs films et séries TV, dont L’Oranais de Lyes Salem, Normal et Harragas de Merzak Allouache, En attendant les hirondelles de Karim Moussaoui et 143 rue du désert de Hassan Ferhani. Il joue Mohamed Boudiaf dans le film de Bachir Derraïs, film qui devrait bientôt être diffusé.