Écrivaine et femme de théâtre sous le nom de Hajar Bali, elle est aussi comédienne et joue dans le dernier film de Karim Moussaoui, par ailleurs de son vrai métier professeure de mathématiques à Alger.
Joaquin Phoenix, connu pour ses rôles mémorables, de Joker à Johnny Cash dans "Walk the Line", confirme son statut particulier à Hollywood en incarnant Napoléon sous la direction de Ridley Scott.
L'annonce a été faite le mercredi 15 novembre par les organisateurs de la cérémonie des Oscars : l'humoriste Jimmy Kimmel sera le maître de cérémonie pour la quatrième fois.
Le syndicat des comédiens américains, la Screen Actors Guild (SAG-AFTRA), s'est réjoui des nouvelles restrictions sur l'utilisation de l'intelligence artificielle (IA) négociées avec les grands studios d'Hollywood à la suite d'une grève historique.
-Il y a beaucoup de films de guerre, pourquoi un autre film de guerre ? Ce n’est pas un film de guerre, c’est un film contextuel qui ne parle pas d’un affrontement armé, on est en 1945, il n’y a pas encore l’idée de maquis et de moudjahid, on ne parle pas de FLN.
Le réalisateur à succès Darren Aronofsky, connu pour des films tels que Black Swan et Requiem for a Dream, dirigera un biopic sur Elon Musk, a confirmé le studio A24. Ce dernier a remporté une compétition féroce pour obtenir les droits de la biographie de l'entrepreneur milliardaire et propriétaire de X (anciennement Twitter).
Né à Alger à peine 3 mois avant la guerre du Kippour de 1973, il débute dans le théâtre, puis passe rapidement au cinéma, réalisant plusieurs courts métrages et participant à de nombreux films, entre autres Mascarades et L’Oranais qu’il a écrits et réalisés lui-même, Rock the Casbah ou Abou Leïla de Amine Sidi Boumediene, ou des séries comme Highlander et Oussekine. Il a même joué un petit rôle de garde arabe dans le film de Steven Spielberg, Munich, en 2005.
Que faire ? D’abord des films, des documentaires, ou faire la guerre ou manifester ou encore prier, se mettre en colère ou prendre des cachets. Surtout ne pas regarder la télévision, mais voir des films peut-être.
Né à Bab El Oued un 1er novembre, il est militant politique de gauche, a aussi fondé avec d’autres artistes une troupe de théâtre Ruptures, le CDLD, Comité de défense des libertés démocratique, le CCIC, Comité de citoyens intercommunale puis le groupe Bezzef pour finir par monter à Alger un espace de création artistique, Le Sous-marin, et fonder une association caritative et un cercle d’échanges, Sosta.
Comédien, cinéma et théâtre, il a joué dans plusieurs films et séries TV, dont L’Oranais de Lyes Salem, Normal et Harragas de Merzak Allouache, En attendant les hirondelles de Karim Moussaoui et 143 rue du désert de Hassan Ferhani. Il joue Mohamed Boudiaf dans le film de Bachir Derraïs, film qui devrait bientôt être diffusé.
Un accord entre les acteurs hollywoodiens, en grève depuis juillet, et les patrons de studios est envisageable à «court terme», a estimé mardi le PDG de Paramount, Bob Bakish, «optimiste» malgré la suspension des négociations la semaine dernière.
Pas moins de 75 films représentant 18 pays méditerranéens dans les catégories des longs métrages, courts métrages et documentaires seront projetés à la 4e édition du Festival du film méditerranéen d’Annaba qui se déroulera du 3 au 9 novembre prochain, a-t-on appris dimanche du commissaire du Festival, le journaliste Mohamed Allal.
l Le long métrage documentaire Pierre Clément, cinéma et révolution, réalisé par Abdenour Zahzah, a été projeté, samedi, à Alger, en avant-première.
-Vous êtes dans le projet d’un film, Poupiya, sur le choc entre deux générations. Une sortie en 2024 ? Peut-être. (Rires). On n’est pas encore dans le projet, on est sur le projet d’être dans le projet d’un film.
-Vous récupérez les bandes à droite et à gauche, longs, courts, docs, actualités, films ? J’en achète quand j’en trouve sur des sites de vente en ligne, par exemple, et je les restaure quand je peux, car ce n’est pas évident. Ça demande beaucoup de temps et d’argent, de la technologie et des machines.
C’était mieux avant. Une phrase que l’on entend souvent à propos de tout et de rien, les légumes étaient meilleurs, l’air plus pur, les femmes plus gentilles, Bouteflika était plus juste et dans le domaine du cinéma, il y avait plein de salles et de films.
Présidé par la comédienne Nora Bennacer et composé du metteur en scène Ahmed Rezzak, de la comédienne Fatiha Ouared, de la chorégraphe Khadija Guemiri et de l’universitaire Mohamed Lamine Bahri, le jury a estimé qu’aucun spectacle ne réunissait les conditions techniques et artistiques pour décrocher le grand prix Keltoum.
Le Festival international du film de Busan (BIFF) a vu en mai son directeur, Huh Moon-yung, quitter ses fonctions, à la suite d’accusations de harcèlement sexuel qui font l’objet d’une enquête. Kang Seung-ah, le directeur exécutif par intérim, a reconnu que le festival était passé par «une période difficile», avec un budget réduit de quelque 10% en raison de la perte de sponsors.
Je suis né dans une ville au bord de l’Atlantique au Brésil où il y a beaucoup de marins. Et les montagnes, c’est à cause de la Kabylie de mon père. C’est donc un titre qui raconte les deux côtés de ma vie. A l’origine, le film devait s’appelait Algérien par accident. Après réflexion, je me suis dit que je ne suis pas le fruit d’un accident. J’ai retenu plusieurs titres avant de choisir Le marin des montagnes.
-Le bilan des RCB ? Si on devait faire un bilan ? Positif, plus que positif, le but était de revenir, c’était le plus important, tout ce qu’il y a eu autour, c’est du bonus. Les 33 films ont été bien accueillis, les projections se sont bien déroulées, à l’heure, les séances de 20h et de 17h ont toutes affiché complet, c’était incroyable ! On a expérimenté les projections parallèles en plein air cette année sur la place du 1er Novembre au-dessus de la Cinémathèque, et bien c’était full aussi. Cette édition, qui n’était pas gagnée d’avance, a su tenir le pari et l’a remporté haut la main.