Place Gueydon, du nom de la place du 1er Novembre, Gueydon étant le nom de l’ancien gouverneur de l’Algérie française qui résumait en 1872 après la révolte d’El Mokrani : «Ce que veulent les colons, c’est la souveraineté de la population française et l’écrasement, le servage de la population indigène.»
Youssef Chebbi a choisi un chantier en ruine du quartier Les jardins de Carthage, grand projet immobilier lancé dans la banlieue nord de Tunis à l’époque du régime de Zine El Abidine Benali, pour tourner un polar aux allures d’un drame psychologique. Un film où le fantastique rejoint le spirituel.
Après une grève de 146 jours, le syndicat des scénaristes de films et de séries aux États-Unis a conclu un accord avec les studios américains de cinéma et de télévision. Les termes de cet accord n'ont pas encore été publiés, mais ils devraient être soumis à un vote des 11 500 membres du syndicat.
Un tapis rouge symbolique a été dressé sur le chemin menant à la Cinémathèque de Béjaïa à la place du 1er Novembre (ex-place Gueydon). «La star, c’est le public», est-il annoncé sur une banderole sous forme de porte. L’association Project’Heurtrs, qui célèbre cette année les 20 ans de sa création, et qui organise les RCB, a voulu rendre hommage au public de Béjaïa qui a toujours répondu présent aux projections de films et aux débats. Un public qui porte la plus ancienne manifestation cinématographique en Algérie.
En face la mer, derrière la montagne, en haut le soleil. C’est de l’alchimie, voire de la chimie et si le chlorure de sodium du sel de mer était du chlorure d’argent, composé insoluble dans l’eau et photosensible, on aurait eu grâce au soleil des photographies empilées dans cette mer des différentes époques qu’a vécues Béjaïa, Bgayet, Saldae, au cours de sa longue histoire.
Scénariste et réalisateur autant que comédien, auteur d’une dizaine de films, on lui doit Le thé à la menthe (1984), La nuit du destin (1997), Le soleil assassiné (2004) et Jennia (2019). Bien qu’ayant réalisé plusieurs films français, il est sélectionné pour l’aide au cinéma en Algérie et va bientôt entamer son nouveau long métrage, Jawhara, qu’il va tourner à Saïda, sa ville natale.
LE BONHEUR EST DANS LE FILM Le documentaire Zinet, Alger, le bonheur du réalisateur Mohamed Latrèche, a été sélectionné pour le 6e Festival international d’El Gouna en Égypte où il sera présenté en avant-première. Dans cette œuvre singulière, Mohamed Latrèche raconte le parcours du militant, réalisateur et acteur Mohamed Zinet au détour de son film culte, Tahya ya Didou de 1971 qui entre poésie et esthétique, chante une ode à la Casbah et Alger au sortir de l’indépendance, déclamée par Himoud Brahimi, dit «Momo».
Le film chinois "No More Bets," réalisé par Ao Shen et sorti en août, a suscité des inquiétudes concernant la sécurité en Thaïlande et a nui à l'industrie touristique du pays.
Le cinéaste Rachid Bouchareb et l’écrivain Yasmina Khadra ont débattu de la thématique de l’adaptation des romans au cinéma lors du 6e Festival national de la littérature et du cinéma de la femme de Saïda.
Le court métrage Desert rose, une nouvelle œuvre cinématographique du réalisateur Oussama Benhassine, sur le drame des essais nucléaires français dans le désert algérien, a été projeté samedi en avant-première à la Cinémathèque d’Alger, dans le cadre du programme du soixantenaire de l’indépendance.
L'acteur américain Peter Sarsgaard, récemment couronné meilleur interprète masculin à Venise pour son rôle dans "Memory", a évoqué les dangers d'une utilisation inappropriée de l'intelligence artificielle lors de son discours de remise de prix.
Alors que les acteurs et les scénaristes maintiennent leur grève pour réclamer une rémunération plus équitable, les grands studios hollywoodiens et les plateformes de streaming continuent de faire la sourde oreille.
L’histoire a fait le tour d’Algérie puis du monde, un film de poupées est interdit pour «atteinte à la morale». Enquête sur le thriller de l’été.
Le réalisateur renommé Saeed Roustaee a été condamné à six mois de prison par un tribunal de Téhéran pour avoir projeté son film Leïla et ses frères au Festival de Cannes en 2022, selon un média iranien.
L’aide au cinéma a été débloquée pour une partie des films déposés, ce qui représente environ 40 ou 50% du budget de ces œuvres. Avec ça, comment produire son film, où, comment, quand et surtout pourquoi ?
-L’ex-Fdatic, le FNDATICPAL, vient de délibérer et accorder un financement pour quelques films et documentaires pour un montant global de 63 milliards. C’est beaucoup, peu, pas assez, comment voyez-vous cette aide vu que vous aviez sonné l’alerte l’année dernière dans le cadre de l’APAC pour la relance du cinéma ?
L'acte de censure d'un documentaire relatant la relation entre un célèbre musicien argentin et Cuba a suscité une vague de protestations parmi les cinéastes cubains, qui revendiquent la liberté d'expression pour leur art.
À l'approche du 78e anniversaire des bombardements de Hiroshima et Nagasaki, qui ont engendré plus de 210 000 décès, le hashtag #NoBarbenheimer fait irruption sur les réseaux sociaux.
Le très rose «Barbie» poursuit sa suprématie dans les cinémas nord-américains pour son second week-end, surclassant son jumeau marketing, le biopic nucléaire «Oppenheimer», selon les estimations dimanche du cabinet spécialisé Exhibitor Relations.
Le film "Barbie", mettant en vedette Margot Robbie et Ryan Gosling, continue de dominer les cinémas nord-américains lors de son deuxième week-end, surpassant le biopic nucléaire "Oppenheimer" au box-office, selon les estimations publiées dimanche par le cabinet spécialisé Exhibitor Relations.