L’aide au cinéma a été débloquée pour une partie des films déposés, ce qui représente environ 40 ou 50% du budget de ces œuvres. Avec ça, comment produire son film, où, comment, quand et surtout pourquoi ?
-L’ex-Fdatic, le FNDATICPAL, vient de délibérer et accorder un financement pour quelques films et documentaires pour un montant global de 63 milliards. C’est beaucoup, peu, pas assez, comment voyez-vous cette aide vu que vous aviez sonné l’alerte l’année dernière dans le cadre de l’APAC pour la relance du cinéma ?
L'acte de censure d'un documentaire relatant la relation entre un célèbre musicien argentin et Cuba a suscité une vague de protestations parmi les cinéastes cubains, qui revendiquent la liberté d'expression pour leur art.
À l'approche du 78e anniversaire des bombardements de Hiroshima et Nagasaki, qui ont engendré plus de 210 000 décès, le hashtag #NoBarbenheimer fait irruption sur les réseaux sociaux.
Le très rose «Barbie» poursuit sa suprématie dans les cinémas nord-américains pour son second week-end, surclassant son jumeau marketing, le biopic nucléaire «Oppenheimer», selon les estimations dimanche du cabinet spécialisé Exhibitor Relations.
Le film "Barbie", mettant en vedette Margot Robbie et Ryan Gosling, continue de dominer les cinémas nord-américains lors de son deuxième week-end, surpassant le biopic nucléaire "Oppenheimer" au box-office, selon les estimations publiées dimanche par le cabinet spécialisé Exhibitor Relations.
Pour la guerre du feu version DZ, il faut aller chercher loin dans les archives, à l’époque des feuilletons hors ramadhan où il ne fallait pas attendre le sponsoring de Coca-cola pour produire une série. El Harik (L’incendie) de Mustapha Badie, adapté de la trilogie de Mohamed Dib, avait ému les téléspectateurs dans un cinéma en interne sans paillettes, en 10 épisodes, précurseur des miniséries d’aujourd’hui.
-Le cinéma du réel, ça signifie quoi pour vous ? C’est juste un slogan ou une vraie question ? Le slogan appartient aux politiciens et à aux publicitaires. Non, le cinéma du réel a la capacité de traduire la réalité sociale, politique, culturelle, d’un territoire, d’un pays. Le cinéma du réel révèle, plus que la fiction, le fossé (ou les failles) entre la réalité sociale et le mythe. Le documentaire questionne ainsi les mythes avec des personnages du réel qui sont souvent magnifiques, généreux, sincères et parfois affreux et méchants. Une société a besoin de se regarder, de se voir à l’écran, sans prisme. Nous avons besoin de comprendre nos failles et de produire des images nous-mêmes, sur nous-mêmes. Enregistrer le réel, c’est créer une sorte d’album de famille, un imaginaire aussi et dans le même temps, une mémoire audiovisuelle.
l Les deux films les plus attendus de l'été tiennent leurs promesses au box-office nord-américain : la poupée «Barbie», précédée d'une intense campagne marketing, a réalisé le meilleur lancement de l'année 2023 avec 155 millions de dollars de recettes durant le week-end, devant le biopic sur le concepteur de la bombe atomique, «Oppenheimer» (80,5 millions).
Un total de 17 nouveaux films, produits dans le cadre du soixantenaire de l’indépendance, seront projetés à partir de jeudi dans les salles de cinéma du pays et en plein air, a indiqué mardi le directeur du Centre algérien du développement du cinéma (CADC), producteur de ces films.
Les scénaristes sont en grève depuis plus de deux mois, et les acteurs menacent de rejoindre le mouvement social. Mais pour Bret Iwan, le personnage et la narration sont «propres à un interprète, un écrivain, un animateur, un artiste, un créateur».
Un genre à part entière, le film de guerre met en scène l’héroïsme algérien, et ce 5 juillet aura encore été l’occasion de revisiter le glorieux récit national par le cinéma. Mais qu’en est-il de sa qualité cinématographique ?
Producteur et réalisateur diplômé de l’Institut national des arts dramatiques de Bordj El Kiffan, il a produit plusieurs films dont L’Autre monde de Merzak Allouache ou The Murdered sun et Voyage à Alger de Abdelkrim Bahloul et a surtout réalisé et produit Ben M’Hidi, biopic sur le révolutionnaire, qui n’est toujours pas sorti.
Hamida Aït El Hadj, dramaturge et formatrice de comédiens à l’ISMAS, s’est illustrée à la faveur de la 4e édition du Festival du film arabe de Casablanca en décrochant le prix d’interprétation féminine pour «la puissance de son jeu», selon le jury, dans El aïla, le dernier long métrage de Merzak Allouache.
Lors de l'audience lundi à Londres, la vidéo d'un interrogatoire de police a été diffusée. Le plaignant y décrit l'acteur comme «agressif» et à la sexualité «très perturbée».
Le cinquième volet de la célèbre saga «Indiana Jones» a démarré sur les chapeaux de roues pour sa sortie dans les salles obscures en se plaçant largement en tête du box-office nord-américain, selon des estimations provisoires dimanche.
Après un long sommeil, le CADC a décidé d’ouvrir ses tiroirs, La dernière reine et La cinquième saison d’Ahmed Benkemla, puis Abou Leila de Amin Sidi Boumediène à la Cinémathèque d’Alger. Déstabilisant et stressant, comme une séquence intérieur-nuit des années terrorisme.
Le syndicat représentant 160.000 acteurs a accepté vendredi in extremis de prolonger les négociations avec les studios hollywoodiens jusqu'au 12 juillet, évitant ainsi pour l'instant une grève.
Rares sont les films qui montrent Alger, les cinéastes algériens préférant le désert, les campagnes ou les montagnes. Retour sur la projection de La dernière reine à la salle Afrique, restaurée au cœur d’Alger.
D’une durée de 113mn, ce film est une production du Centre algérien pour le développement du cinéma, qui explore le destin houleux de ce personnage haut en couleurs, qui appartient à la légende de la ville d’Alger, dernier survivant de la famille du roi Salim Toumi, joué par Mohamed Tahar Zaoui, convoitée par le nouveau maître des lieux Aroudj Barberousse et qui va tenir tête au nouveau roi et au nouvel ordre établi.