L’inspection du vétérinaire de la wilaya a mobilisé tous ses moyens humain et matériel pour réussir la campagne de vaccination contre la fièvre aphteuse, opération qu’elle a entamée il y a quelques jours en direction des foyers d’élevage.
Parmi les personnes sondées, dont la tranche d’âge est comprise entre 18 et 34 ans, les étudiants et les célibataires ont affiché les taux les plus élevés de réticence.
La campagne de vaccination contre la fièvre aphteuse, lancée il y a quelques jours, semble atteindre son rythme de croisière.
Les autorités mozambicaines ont commencé à vacciner 2,2 millions de personnes afin d’enrayer la propagation de l’épidémie de choléra dans ce pays d’Afrique australe, ont rapporté hier des médias, relayés par l’APS.
Afin de préserver au mieux la santé des voyageurs avant, pendant et après le séjour en Côte d’ivoire, un plan sanitaire, regroupant un ensemble de mesures, a été élaboré par le ministère de la Santé. Explications !
Un foyer de fièvre aphteuse a été signalé, fin de la semaine passée, dans la wilaya de Bouira. Des cas de la maladie touchant le cheptel bovin ont été détectés dans un bâtiment d’élevage situé dans la localité Iwakouren relevant de la commune de M’chedallah, a déclaré, hier, à El Watan, l’inspectrice vétérinaire de la direction des services agricoles (DSA), Mme Benbelkacem Djamila.
Suite à la confirmation de plusieurs cas de fièvre aphteuse dans certaines régions du pays, le ministère de l’Agriculture et du Développement rural a lancé cette semaine, et à titre préventif, une large campagne nationale de vaccination à l’effet de circonscrire sa propagation.
Elle a débuté dimanche et se poursuivra jusqu’au 4 janvier prochain. La campagne de consolidation du programme élargi de vaccination (PEV) de routine pour les enfants de moins de 5 ans vise à renforcer la couverture vaccinale dans les 58 wilayas du pays.
La menace de la Covid-19 est-elle encore présente aujourd’hui? Le virus circule-t-il toujours ?
La campagne de vaccination contre la grippe saisonnière connaît, comme chaque année, un fort engouement et un vrai succès. Les doses livrées aux pharmacies et aux unités de soins sont administrées et écoulées en quelques jours.
Le ministère de la Santé a confirmé mercredi l’apparition de la diphtérie dans «certaines régions frontalières avec les pays du Sahel», principalement dans la wilaya de Tamanrasset, faisant état de «16 cas confirmés».
A travers la Semaine mondiale de la vaccination, qui sera clôturée aujourd'hui, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et ses partenaires ont tenté de combler le retard accusé dans les programmes de vaccination de routine auquel la pandémie de Covid-19 n’est pas étrangère.
En Afrique, l’OMS avertit que 33 millions d’enfants doivent être vaccinés entre 2023 et 2025 pour remettre le continent sur la bonne voie.
Quelque 12 millions d’enfants d’Afrique de l’Est et d’Afrique australe ont manqué totalement ou partiellement la vaccination systématique entre 2019 et 2021, a révélé le Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef).
L’opération de consultations médicales et de vaccination des futurs pèlerins inscrits au titre de l’exercice 2023 a été lancée mercredi dans divers établissements du secteur de la santé de la wilaya de Constantine, a-t-on appris auprès de la Direction de la santé et de la population (DSP).
Plusieurs pays, principalement en Europe, ont recensé des cas de variole du singe ou «monkeypox». Que sait-on aujourd’hui de cette maladie ? La variole du singe comme la variole humaine sont des maladies virales induites par des virus de la famille des poxvirus. C’est une très large famille de virus à ADN et dont la particule virale est enveloppée. Les poxvirus existent depuis très longtemps, chez l’homme, les singes, les bovins, les chevaux, les moutons, les chèvres, les oiseaux, etc. La plupart des poxvirus ne causent pas de maladies graves et/ou létales chez leurs hôtes et ne causent pas des zoonoses chez l’homme. Par contre, le poxvirus des singes est capable d’infecter l’homme et d’induire des maladies chez les personnes infectées. Ce virus était jusqu’à présent endémique dans certains pays de l’Afrique centrale et de l’Ouest. Et plus récemment, il a été importé dans plusieurs pays d’Europe, aux Etats-Unis et en Afrique du Nord. Le réservoir naturel du virus n’est pas encore totalement identifié, mais il s’agirait de rongeurs. Dans les régions africaines endémiques, la mortalité est en moyenne de 5% et qui serait due à des complications de surinfection.
Une analyse de l’impact de la pandémie de Covid-19 réalisée par le Centre de recherche en économie appliquée pour le développement (Cread), à la demande du ministère de la Santé, révèle que la population algérienne cible a manifesté sa réticence à la vaccination anti-Covid-19 à cause des effets secondaires et le manque d’information sur la provenance des vaccins.
Le directeur de l’Institut Pasteur d’Algérie, le Dr Fawzi Derrar, a déclaré hier que le virus Sars CoV-2 est toujours en circulation et la pandémie n’est pas finie, lors de la journée organisée, par l’IPA, sur l’importance de la vaccination, dans le cadre de la semaine mondiale de la vaccination, et pour sensibiliser les journalistes de la presse nationale sur l’importance de la vaccination.
La campagne de vaccination contre les maladies à forte propagation pour les races bovine, ovine ou caprine n’a pas produit l’effet escompté à Souk Ahras à cause des réticences des éleveurs locaux, a-t-on appris auprès d’Ahmed Meguitaâ, inspecteur vétérinaire de la wilaya.
Les épidémiologistes et les biologistes appellent au renforcement de la vaccination contre la Covid-19 pour se protéger du virus Sars-CoV-2, qui connaît de nombreuses mutations.