Cela fait des mois que la situation demeure inchangée, provoquant une sérieuse dégradation du cadre de vie des riverains qui sollicitent une intervention urgente des autorités.
Pourquoi on lance des travaux de décapage des routes et d’aménagement urbain pour la réfection des trottoirs, puis les laisser à l’arrêt durant des mois ?», s’interrogent des habitants de la cité Djebel Ouahch, dans la banlieue nord de la ville de Constantine, qui affirment vivre une situation déplorable ayant impacté négativement leur cadre de vie.
La cité Sidi-Aïssa, au piémont de l’Edough, à Annaba, est aujourd’hui le théâtre de dégradations désolantes. A peine le bitumage de ses routes achevé, des travaux de creusement de tranchées pour la pose de canalisations ont transformé ces voies en véritables parcours du combattant.
Avec un réseau routier très dense, s’étendant sur plus de 2000 km, la wilaya a d’énormes défis à relever, notamment en ce qui concerne la modernisation des routes nationales.
Le projet routier d’envergure sur le littoral de la wilaya de Chlef a été officiellement lancé, mercredi dernier, par les autorités de la wilaya, à l’occasion des festivités de la célébration du 70e anniversaire du déclenchement de la guerre de libération nationale.
Parmi les secteurs qui revêtent un caractère lancinant et névralgique, ceux des transports et des travaux publics apparaissent prioritaires en raison de la persistance du phénomène de saturation chronique des voies de circulation et du fléau encore plus aigu des sinistres sur la route.
La ville de Tiaret se caractérise, ces derniers temps, par la mise en branle d’importants projets liés aux aménagements urbains et surtout la réhabilitation du réseau routier en interne. La capitale du Sersou s’apparente à une ville en chantier où tout a été labouré, enfin des pans entiers d’axes routiers ont été décapés pour être revêtus de bitume non sans allier des opérations connexes sur la voierie. Bien que des appréhensions soient nourries, beaucoup de citoyens y voient quand même le signe d’approches visant l’amélioration du cadre de vie.
Les séances d’audition devant les commissions spécialisées de l’Assemblée populaire nationale méritent une grande diffusion auprès de l’opinion publique dès lors qu’elles concernent des secteurs d’activité de la plus haute importance pour les citoyens.
Les voix citoyennes, de plus en plus audibles et véhémentes, s’expriment sur les réseaux sociaux, les médias et/ou dans presque toutes les discussions, y compris celles dans les chaumières pour décrire cet état lamentable de la chaussée dans la ville de Tiaret.
Le ministère des Travaux publics compte mettre sur pied un système d'information continue sur l'état des routes dans chaque wilaya, a annoncé, jeudi à Alger, le ministre des Travaux publics et des Infrastructures de base, Lakhdar Rekhroukh.
Un système d’information continue sur l’état des routes sera mis en place dans chaque wilaya, a annoncé le ministre des Travaux publics jeudi dernier devant les députés.
Mieux vaut tard que jamais ! L’Etat est-il réellement décidé cette fois-ci à arrêter cette saignée provoquée par l’amateurisme et l’absence de l’esprit des responsabilités tant au niveau de certaines entreprises ou entrepreneurs qu’à celui des collectivités locales ? Qu’on en juge ! Tout le monde en effet a remarqué qu’en matière de travaux publics des anomalies sont monnaie courante.
Alors qu’elle constitue l’unique voie reliant Chlef à Tissemsilt, la RN 19 n’a toujours pas fait l’objet de dédoublement tant attendu pour faciliter la circulation entre l’autoroute Est-Ouest, au niveau de Chlef, et surtout la partie nord de Tissemsilt dont les habitants sont de plus en plus nombreux à emprunter cette ancienne route nationale pour différents motifs.
La ville de Chlef, carrefour important à l’ouest du pays, veut résorber les retards accumulés en matière d’infrastructures routières et renforcer ainsi son statut de ville reconstruite, après le violent tremblement de terre du 10 octobre 1980.
A huit mois de la fin du délai fixé par le ministre des Travaux publics, de l’Hydraulique et des Infrastructures de base pour la réception du dernier trançons du projet de la pénétrante de Béjaïa, l’administration locale tente de booster la cadence du travail.
Lakhdar Rekhroukh, le ministre des Travaux publics et des Infrastructures de base, a visité, vendredi dernier, plusieurs projets à Béchar relevant de son secteur. Il a été question, notamment, de l’inauguration d’un projet d’une route reliant Djebel Antar à la RN6, sur une distance avoisinant les 47km et cela avec un coût de plus de 14 milliards de dinars.
Dans la wilaya de Tiaret, 218 kilomètres de pistes rurales ont été réalisés, ainsi que 14 projets de divers secteurs dans le cadre d’initiatives locales, selon une annonce faite par le wali Ali Bouguerra.
Le réseau routier est dans un piteux état dans les cités périphériques de la ville de Chlef, notamment à Hai Nasr, Ouled Mohamed, Chorfa et Lala Aouda.
Il a fallu attendre des années pour que ce projet soit réellement concrétisé au grand bonheur des habitants et des visiteurs des stations thermales, venant de plusieurs wilayas de l’Est.
La signalisation routière horizontale et verticale fait partie de notre décor quotidien, en ce sens qu’elle est indispensable pour la sécurité des usagers sur nos routes.