Parmi les secteurs qui revêtent un caractère lancinant et névralgique, ceux des transports et des travaux publics apparaissent prioritaires en raison de la persistance du phénomène de saturation chronique des voies de circulation et du fléau encore plus aigu des sinistres sur la route.
La ville de Tiaret se caractérise, ces derniers temps, par la mise en branle d’importants projets liés aux aménagements urbains et surtout la réhabilitation du réseau routier en interne. La capitale du Sersou s’apparente à une ville en chantier où tout a été labouré, enfin des pans entiers d’axes routiers ont été décapés pour être revêtus de bitume non sans allier des opérations connexes sur la voierie. Bien que des appréhensions soient nourries, beaucoup de citoyens y voient quand même le signe d’approches visant l’amélioration du cadre de vie.
Les séances d’audition devant les commissions spécialisées de l’Assemblée populaire nationale méritent une grande diffusion auprès de l’opinion publique dès lors qu’elles concernent des secteurs d’activité de la plus haute importance pour les citoyens.
Les voix citoyennes, de plus en plus audibles et véhémentes, s’expriment sur les réseaux sociaux, les médias et/ou dans presque toutes les discussions, y compris celles dans les chaumières pour décrire cet état lamentable de la chaussée dans la ville de Tiaret.
Le ministère des Travaux publics compte mettre sur pied un système d'information continue sur l'état des routes dans chaque wilaya, a annoncé, jeudi à Alger, le ministre des Travaux publics et des Infrastructures de base, Lakhdar Rekhroukh.
Un système d’information continue sur l’état des routes sera mis en place dans chaque wilaya, a annoncé le ministre des Travaux publics jeudi dernier devant les députés.
Mieux vaut tard que jamais ! L’Etat est-il réellement décidé cette fois-ci à arrêter cette saignée provoquée par l’amateurisme et l’absence de l’esprit des responsabilités tant au niveau de certaines entreprises ou entrepreneurs qu’à celui des collectivités locales ? Qu’on en juge ! Tout le monde en effet a remarqué qu’en matière de travaux publics des anomalies sont monnaie courante.
Alors qu’elle constitue l’unique voie reliant Chlef à Tissemsilt, la RN 19 n’a toujours pas fait l’objet de dédoublement tant attendu pour faciliter la circulation entre l’autoroute Est-Ouest, au niveau de Chlef, et surtout la partie nord de Tissemsilt dont les habitants sont de plus en plus nombreux à emprunter cette ancienne route nationale pour différents motifs.
La ville de Chlef, carrefour important à l’ouest du pays, veut résorber les retards accumulés en matière d’infrastructures routières et renforcer ainsi son statut de ville reconstruite, après le violent tremblement de terre du 10 octobre 1980.
A huit mois de la fin du délai fixé par le ministre des Travaux publics, de l’Hydraulique et des Infrastructures de base pour la réception du dernier trançons du projet de la pénétrante de Béjaïa, l’administration locale tente de booster la cadence du travail.
Lakhdar Rekhroukh, le ministre des Travaux publics et des Infrastructures de base, a visité, vendredi dernier, plusieurs projets à Béchar relevant de son secteur. Il a été question, notamment, de l’inauguration d’un projet d’une route reliant Djebel Antar à la RN6, sur une distance avoisinant les 47km et cela avec un coût de plus de 14 milliards de dinars.
Dans la wilaya de Tiaret, 218 kilomètres de pistes rurales ont été réalisés, ainsi que 14 projets de divers secteurs dans le cadre d’initiatives locales, selon une annonce faite par le wali Ali Bouguerra.
Le réseau routier est dans un piteux état dans les cités périphériques de la ville de Chlef, notamment à Hai Nasr, Ouled Mohamed, Chorfa et Lala Aouda.
Il a fallu attendre des années pour que ce projet soit réellement concrétisé au grand bonheur des habitants et des visiteurs des stations thermales, venant de plusieurs wilayas de l’Est.
La signalisation routière horizontale et verticale fait partie de notre décor quotidien, en ce sens qu’elle est indispensable pour la sécurité des usagers sur nos routes.
Des travaux d’aménagement de l’accès nord de la ville de Tébessa, plus connu par Trik Kcentina ont été lancés récemment en présence du wali Said Khalil.
Le coup de starter a été donné lundi dernier en marge de la visite hebdomadaire au niveau du chef-lieu de wilaya de Ali Bouguerra, wali de Tiaret, accompagné du secrétaire général de la wilaya, le P/APW et certains directeurs d’exécutifs et le staff de l’assemblée populaire communale.
Située à moins de 5 km de Constantine, la localité de Bekira, dépendant de la commune de Hamma Bouziane, a connu une extension urbanistique spectaculaire ces dernières années, au point de faire dire à ses habitants que cette désormais ex-bourgade mérite d’être érigée en commune.
Les travaux de réalisation de la voie de contournement du sud de la ville de Chlef, entre Hai Bensouna et Hai Salem, viennent d’être lancés au grand soulagement des usagers et habitants de la région. Il s’agit d’un projet de désengorgement routier qui va faciliter l’accès au pôle urbain de Hai Bensouna à partir de Hai Salem.
Toute la partie est du littoral de la capitale n’est dotée que d’une seule route et d’un seul pont qui se trouve au lieudit Quahouet Chergui. De Bordj El Kiffan à Alger-Plage, les automobilistes doivent emprunter tous le même axe routier, en l’occurrence la RN 24.