Toute la partie est du littoral de la capitale n’est dotée que d’une seule route et d’un seul pont qui se trouve au lieudit Quahouet Chergui. De Bordj El Kiffan à Alger-Plage, les automobilistes doivent emprunter tous le même axe routier, en l’occurrence la RN 24.
Les habitants de la ville d’Annaba souffrent toujours de l’état de ses routes. Lancés du temps de l’ancien maire voilà plus d’une année, les travaux trainent toujours.
Les études du dédoublement de la RN 4 Alger-Oran via Chlef seront bientôt lancées puisque la direction des travaux publics de la wilaya vient d’annoncer l’attribution provisoire du marché y afférent à deux groupes de sociétés spécialisées.
Très empruntée par les automobilistes, la RN5 se détériore à vue d’œil sur plusieurs tronçons traversant le territoire de la wilaya de Boumerdès. La partie allant de Corso jusqu’à la sortie de Thénia est devenue le cauchemar des usagers.
La ville côtière de Ténès fait l’objet également d’une attention particulière des autorités locales, en raison du fait qu’elle reste la destination privilégiée de nombreux estivants, à chaque été.
Les travaux de bitumage des principaux quartiers et artères de la ville de Sidi Bel Abbès débuteront, début mai, à commencer par les quartiers Adda Boudjellal et Sidi Amar.
La saturation du réseau routier, qui dessert le littoral de la wilaya à partir de Chlef vers la ville de Ténès, principale porte d’entrée à la façade maritime, constitue un véritable frein au développement des villes côtières et des secteurs prioritaires, tels que l’agriculture, le tourisme et la pêche.