Nul ne peut nier le rôle capital et crucial des femmes dans les régions rurales en Algérie.
Une récente activité organisée par le ministère de la Jeunesse et en partenariat avec celui de la Formation et de l’Enseignement professionnels, autour de la question de l’emploi, a permis de préciser les contours des programmes engagés en direction des jeunes.
L ’arrivée au pouvoir de Donald Trump était attendue avec appréhension par le monde entier, car il est connu pour être imprévisible, partisan du chaos, qui ne respecte ni les peuples ni les Etats.
L’Algérie est bien positionnée pour négocier au mieux la révision de l’accord d’association avec l’Union européenne (UE), notamment en raison d’un contexte géopolitique et énergétique favorable.
Le peuple palestinien est sorti, mercredi soir, de 15 mois d’enfer. La joie et ses larmes ont éclaté à l’annonce du cessez-le-feu conclu à Doha. 15 mois durant lesquels des milliers de femmes et d’enfants sont morts sous les bombes «made in America».
La planète, sous le diktat de l’Occident, est devenue aussi peu gouvernable qu’un navire échappé de son ère», avait écrit, à juste titre, un historien européen, mettant à l’index une ère, où les puissants, ou prétendus comme tels, condamnés à la connivence par la virtualité du pire, sont devenus comme ce cheval sorti de son enclos, cavalant avec vigueur, sans bride, sans but, faisant forcément des dégâts.
Israël s’acharne comme jamais sur la Syrie. On aurait pu penser qu’il accorderait un peu de répit à ce peuple qui sort d’une dictature sanglante qui lui a été imposée depuis 53 ans par le clan Al Assad.
Pour les populations civiles du Liban, ce cessez-le-feu est assurément un immense soulagement après des semaines de bombardements intenses de l’aviation israélienne. Comme à Ghaza, celle-ci a ciblé les villes et les quartiers les plus denses afin de faire le maximum de victimes et de dégâts au niveau des logements et des infrastructures.
L ’Amérique vient de se distinguer pour la quatrième fois par son peu de scrupule, son soutien absolu à l’arbitraire et au crime, son alignement total sur l’injustice et son appui aux ennemis de la liberté et des droits de l’homme. Au Conseil de sécurité de l’ONU, Washington a opposé son veto à une résolution qui appelait à un cessez-le-feu immédiat à Ghaza et à la libération des otages israéliens détenus par Hamas.
Il n’y a pas d’échappatoire, il n’y a pas d’issue, laissons Beyrouth derrière nous, la mer nous fait face, nous renaissons», déclamait le grand poète palestinien Mahmoud Darwiche en février 1983 devant le Conseil national palestinien réuni à Alger.
Que signifie l’invitation officielle adressée à l’Algérie pour être «membre partenaire» des BRICS+ ? A l’issue du sommet des BRICS+ qui vient de se tenir en Russie, l’Algérie a été invitée au même titre que douze autres pays pour être «membres partenaires» et non membres à part entière de ce bloc de pays émergents.
Emmanuel Macron a surpris son monde au soir du 9 juin en décidant la dissolution de l’Assemblée nationale française et la convocation du corps électoral pour en renouveler la composition, deux ans avant la fin de la mandature. Ce faisant, il a précipité le pays dans un engrenage inattendu de polémiques et d’enjeux.
Retour sur la «présidentielle écourtée». Pour en savoir plus, il faudra attendre, peut-être, que le chef de l’Etat l’évoque lors d’un événement public, un Conseil des ministres ou un entretien avec les médias. La dépêche de l’agence officielle APS qui lui a été consacrée n’a pas apporté les éléments de réponse attendus, car se limitant à des généralités, parfois mal formulées.
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a pris tout le monde de court en annonçant l’organisation de l’élection présidentielle le 7 septembre prochain, trois mois avant la date prévue.
Sur une grande rue au milieu des décombres, près d’une mosquée détruite par les bombes, des centaines de Palestiniens se sont rassemblés pour accomplir la prière, en ce premier jour du Ramadhan, 157e jour de la guerre menée par l’armée israélienne contre la bande de Ghaza.
L’entretien téléphonique, qui a eu lieu cette semaine entre les Présidents A. Tebboune et E. Macron, a repoussé la visite d’Etat que doit effectuer Tebboune en France au quatrième trimestre de l’année 2024, «à une date qui sera fixée en commun accord» !
Le largage aérien sporadique de quelques colis d’aide alimentaire est vendu comme un acte de secours de haute importance par des acteurs de la communauté internationale, incapables de s’engager dans un processus diplomatique sérieux en mesure d’assurer le devoir élémentaire de sauver des enfants de la faim.
La situation apocalyptique que vivent les Palestiniens de Ghaza et de la Cisjordanie occupée depuis le début de la guerre, qui entre dans son cinquième mois, contraste dramatiquement, outrageusement avec la démarche institutionnelle de fausse bonne conscience dans laquelle se drape la riposte internationale face à cette tragédie du siècle.
En Algérie, les bilans optimistes, les «inventaires» un peu ostentatoires et les «états des lieux» qui font plaisir libèrent chez certains responsables (surtout les élus locaux) une faconde déconcertante à arborer des chiffres élogieux, parfois surdimensionnés, parfois un peu trop ronflants sans qu’ils prennent la peine de nous expliquer par quels tests de «conformité» ceux-ci ont transité.
Les historiens et les observateurs peinent à réunir les éléments de compréhension de la décennie 1990 qui a ébranlé la société et l’Etat algérien, échappant de justesse à la chute dans le chaos absolu : les événements sont récents, la plupart des acteurs sont en vie, les traumatismes encore à vif et les enjeux politico-religieux toujours en cours. Depuis une quinzaine d’années, les pièces du puzzle s’ordonnent difficilement.