Le lundi 15 avril 2019, un important incendie s’est déclaré à la Cathédrale de Notre-Dame de Paris, en France, un site exceptionnel classé sur la liste du patrimoine universel. Le sinistre, qualifié de plus grande catastrophe survenue dans ce monument depuis sa construction au XIVe siècle, a soulevé avec insistance la problématique de la protection et de la sauvegarde des sites historiques et archéologiques contre les multiples risques qui les menacent.
La wilaya de Guelma est à présenter lorsqu’il s’agit de patrimoine matériel et immatériel tant cette région n’aura pas fini d’émerveiller ses visiteurs. Mais, contre toute attente, les pouvoirs publics n’ont pas mis en valeur ni même fait connaître ce trésor à l’occasion de la célébration du mois du patrimoine, dont l’ouverture n’a pas manqué de faire rougir de honte, jeudi dernier.
Le choix «exceptionnel» de cette ville n’était pas fortuit. Il s’explique, selon la ministre, par le fait «que la région traduit la nature de la thématique retenue cette année, à savoir Le Patrimoine culturel et gestion des risques lors des crises et catastrophes naturelles».
Des journées portes ouvertes sur le patrimoine et les traditions dans la région du Mzab (Nord du Sahara algérien) sont organisées du 13 au 15 janvier courant au musée public des arts et des traditions populaires de Médéa, capitale de la région montagneuse du Tetteri, sur une initiative conjointe de la direction du misée et l’Office de protection et de promotion de la vallée du Mzab.
Selon la Haute instance de transparence, de prévention et de lutte contre la corruption (HTPLC) seulement 14,95% des élus locaux (APC et APW) ont déposé leur déclaration conformément à la loi, dont certaines ont été rejetées après traitement pour diverses raisons.
L’étude du plan permanent du secteur sauvegardé du Ksar de Ouargla pour le protéger et le préserver sera prochainement lancée, a-t-on appris dimanche de la direction de la Culture et des Arts.
Si Télé-Liban a été lancée en 1959, elle dispose de «bandes-vidéo datant de la Seconde Guerre mondiale et des années 1940».
Les fêtes traditionnelles ont un impact significatif sur l’économie locale. Elles attirent des visiteurs qui viennent d’autres régions, ce qui peut stimuler le tourisme.
Les éditions Bel Horizon ont publié récemment un beau livre intitulé Oran méditerranée signé par Kouider Métayer.
Le ministère de l’Agriculture et du Développement rural a élaboré un projet de loi relatif aux forêts et aux richesses forestières. Le titre retenu pour cette nouvelle loi, qui sera débattue aujourd’hui et demain à l’Assemblée populaire nationale (APN), renferme la nouvelle dimension accordée à la forêt.
Les éditions Barzakh ont édité, dernièrement, pour la première fois en Algérie, un coffret de six contes intitulé Baba Fekrane, signé par Mohammed Dib. Dans cet entretien, l’éditrice Selma Hellal revient sur la démarche et la concrétisation de ce projet.
L’Algérie, qui compte récupérer son patrimoine historique et culturel détenu à l'étranger, œuvre à cristalliser une «vision juridique» pour appuyer son dossier à l’international, a annoncé, avant-hier à Alger, le ministre des Moudjahidine et des Ayants droit, Laïd Rebigua.
En dépit des efforts déployés par les services de la commune de Constantine, le dossier de la revalorisation du patrimoine communal reste toujours d’actualité et remonte à la surface à la moindre occasion. Ce dossier embarrassant pour les communes qui cherchent des sources de financement a été débattu dans l’après-midi de mercredi dernier lors de la session extraordinaire de l’APC de Constantine. Tout a commencé lors de la présentation du compte administratif de l’exercice budgétaire 2022. Un élu intervient pour soulever la diversité des chiffres présentés, surtout en matière de réalisation. Il a estimé que la commune a traversé un grand chemin, mais elle reste loin des ambitions de l’Assemblée qui visait plus loin, surtout en ce qui concerne le secteur de l’éducation, la jeunesse et les sports et les équipements. «Pourquoi ne pas consommer notre surplus budgétaire et attendre l’aide la wilaya ?» s’est-il interrogé. En réponse, le directeur des finances de la commune a avoué la faiblesse du budget communal qu’il faut rattraper avec la revalorisation du patrimoine.
La commune frontalière d’El Kouif à l’est de Tébessa organise jusqu’au 10 mai diverses expositions pour faire connaître la richesse du patrimoine culturel et artisanal matériel et immatériel de cette région.
Exposition, conférences, ateliers de formation et journées d’études sont au programme des différents établissements à caractère muséal dans la capitale, et ce à la faveur des activités prévues dans le cadre du mois du patrimoine inauguré officiellement le 18 avril passé.
L’association de l’histoire et des monuments archéologiques de Guelma a présenté samedi son dictionnaire publié à l’occasion du mois du patrimoine (18 avril-18 mai) comprenant 328 personnalités ayant marqué la vie culturelle, politique, religieuse et artistique dans cette wilaya du 4ème siècle aux temps présents.
Ouverte le 18 avril à l’occasion de la célébration du début du mois du patrimoine, l’exposition a été une occasion pour le public, notamment les écoliers qui commençaient à affluer dès lundi, de découvrir des pans entiers de la culture ancestrale algérienne et africaine. «L’exposition qui comprend des objets du fonds du musée a été pensée en adéquation avec la thématique choisie cette année, à savoir ‘Le Patrimoine culturel algérien et ses extensions africaines’», explique Hicham Sekkal, directeur de l’institution.
C’est dans une triste atmosphère, que la wilaya de Tipasa a officiellement ouvert la célébration du mois du Patrimoine culturel, en cette matinée ensoleillée du 24 avril, au niveau du féérique espace du site de la Villa Angelvy, à proximité du port de Tipasa.
Le secteur de la culture et des arts de Tébessa organise un concours de photographie pour faire connaître le patrimoine culturel matériel et immatériel de la région sud de cette wilaya, à l’occasion de la célébration du mois du patrimoine.
L’artisanat dans l’ex-capitale de l’Empire de Maurétanie de Juba II, Cherchell, a disparu dans l’indifférence totale.