Les prix du pétrole ont légèrement augmenté en ce début de semaine de cotation, suite à l’annonce par la Chine d’une croissance de ses exportations et importations. L’échec des négociations autour d’un cessez-le-feu en Palestine occupée a également influencé les échanges de l’or noir.
L’Agence internationale de l’énergie (AIE) a relevé son estimation de croissance de la demande de pétrole en 2024 de 110 000 b/j à 1,3 million de b/j, en raison de l’amélioration des perspectives économiques aux Etats-Unis et de facteurs liés au transport maritime de l’or noir, suite aux attaques des Houthis en mer Rouge.
La nouvelle initiative de l’OPEP+ est perçue par les analystes comme un indice d’une «forte unité au sein du groupe», et «la détermination à défendre un prix planché supérieur à 80 dollars le baril au deuxième trimestre.»
L’OPEP+ qui a entamé, en ce début d’année, une nouvelle série de réductions de production pour stabiliser le marché pétrolier, prévoit de tenir une réunion en ligne de son Comité ministériel conjoint de surveillance (JMMC) début février.
Les prix du pétrole ont nettement augmenté en cours de cotation hier, alors que des informations, selon lesquelles l’armée américaine a mené des frappes en Syrie, donnent des indices d’une aggravation de la situation au Moyen-Orient, ce qui pourrait avoir un impact sur l’approvisionnement en provenance de cette région productrice-clé.
Les cours du baril de pétrole ont grimpé à la clôture de vendredi poussés par la guerre en Palestine. Les craintes d’une extension de la guerre dans la région ont fait gagner au prix du Brent (référence de la mer du Nord) 5,68% pour se vendre à 90,89 dollars.
L’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) imprime un ton optimiste à ses prévisions pétrolières pour les mois à venir, en relevant notamment, dans son rapport mensuel du mois d’août, les fondamentaux plus sains du marché tout, en tablant sur des prévisions d’une demande de pétrole robuste en 2024 et de bonnes perspectives de croissance de l’économie mondiale.
Avant la livraison du rapport officiel de l’Opep prévu aujourd’hui, des responsables de l’organisation affichent un optimisme certain sur la demande de pétrole malgré les vents contraires économiques pesant sur les prix.
Les prix du pétrole se dirigeaient vers une deuxième semaine de baisse, les données économiques américaines décevantes et l’incertitude concernant de nouvelles hausses des taux d’intérêt pesant sur les perspectives de la demande.
Les prix du pétrole ont bondi hier, à l’ouverture des place de cotation, enregistrant leur plus forte hausse quotidienne en près d’un an, après l’annonce surprise de plusieurs pays membres de l’OPEP+ de réduire leur production de manière volontaire. Le baril de Brent frôle les 85 dollars.
La production de pétrole brut de l’OPEP a diminué de 70 000 barils par jour (bpj) en mars par rapport à février, en raison de la chute de la production en Angola et des problèmes d’exportation en Irak, selon une enquête Reuters, qui précise que les dix producteurs de l’OPEP faisant partie du pacte OPEP+ ont vu leur respect des quotas bondir à 73% des réductions promises en mars, contre 169% en février.
L’Opep+ devrait s’en tenir à son accord sur des réductions de production de 2 millions de barils par jour (bpj) jusqu’à la fin de l’année, estiment certains délégués de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), soulignant que les prix sont actuellement impactés par la crise bancaire et non par les fondamentaux du marché.
Les prix du pétrole rebondissaient hier après avoir commencé la semaine par des pertes, les investisseurs se montrant prudents avant la décision de politique monétaire de la Fed, mais rassurés par l’absence de nouvelles turbulences bancaires.
Les prix du pétrole sont tombés, hier, à l’ouverture de la semaine de cotation, à leur plus bas niveau en 15 mois, en raison de craintes d’une récession qui saperait la demande de carburant, dans le sillage des risques liés à la déroute du secteur bancaire mondial.
Les prix du pétrole sont repartis à la hausse vendredi, soutenus par des interruptions de production en Libye et en Equateur, mais aussi par la perspective d’un long week-end férié de déplacements aux Etats-Unis.
La production russe a diminué de 7,5% au cours de la première quinzaine d’avril par rapport à mars, selon des rapports de courtiers, alors que les gouvernements de l’UE tentent de se mettre d’accord pour élaborer des propositions visant à interdire le brut russe.
Les sanctions prises contre la Russie suite au conflit en Ukraine risquent de perturber la production russe de pétrole et, par ricochet, créer un «choc» sur la production mondiale de pétrole, a indiqué l’Agence internationale de l’énergie (AIE) hier dans son rapport mensuel.
L’Agence internationale de l’énergie (AIE) estime que l’impact du variant Omicron sur l’activité économique et la demande de pétrole est resté «relativement modéré» soulignant dans son rapport mensuel consacré au marché pétrolier que la demande mondiale de pétrole devrait dépasser les niveaux pré-pandémiques, en 2022.
Les prix du pétrole se maintenaient hier au-dessus de 82 dollars le baril, soutenus par une offre plus restreinte que prévu de la part de l’Opep+ dont certains pays membres souffrent d’un manque de capacités. Les pannes en Libye ont également soutenu les prix.